vendredi 7 janvier 2022

QUI A DIT EMMANUEL MACRON N'EST PAS INTELLIGENT......?

.....La RÉPONSE AUJOURD'HUI
UN REGARD JURIDIQUE SUR L'ACTUALITÉ AVEC RÉGIS DE CASTELNAU
Blog de Jean LÉVY

 

L’interview donnée par Emmanuel Macron au Parisien est lunaire, mais elle a un mérite. Alors bien sûr, il y a l’infatuation, le mépris, la provocation, la grossièreté, les insultes adressées à ceux qui ne pensent pas comme lui, mais toutes ces choses sont finalement habituelles. En faire l’exégèse n’a pas grand intérêt, même si avec la déchéance de citoyenneté proclamée pour une partie des opposants à sa stratégie sanitaire, on est monté d’un cran. Les petits télégraphistes médiatiques du macronisme se contorsionnent pour faire avaler l’insupportable, mais là aussi, ce jeu de rôle routinier est sans intérêt.

Concernant le mérite, c’est que formulée à trois mois de l’échéance présidentielle, cette interview oblige à se poser sur Emmanuel Macron, les seules questions qui vaillent : « qui est ce type ? Et comment se fait-il qu’il occupe le sommet de l’État ? » Et comme on les formule cinq ans après son arrivée et à trois mois de l’échéance présidentielle, cela oblige à regarder en face ce qui nous est arrivé. Et à en dresser le bilan pour que le seul enjeu du 26 avril prochain soit de mettre fin à cette expérience désastreuse.

Emmanuel Macron, parfait inconnu, a été élu par effraction au printemps 2017. Grâce à un coup d’État initié par la haute fonction publique, soutenu par l’oligarchie et finalisé par la magistrature. Sur ce dernier point, l’auteur de ces lignes le rabâche depuis le premier jour.

Les Français ne savaient pas qui il était, mais après cinq ans ils l’ont appris.

• Emmanuel Macron n’est pas intelligent, c’est une imposture que de le prétendre. Ou bien c’est se laisser intimider par son diplôme de l’ENA, ou par une certaine capacité de séduction comment en disposent tous les imposteurs. Son léger vernis de culture masque en fait un vide consternant.

• Emmanuel Macron n’a rien fait dans la vie, n’a aucune expérience sociale réelle, il n’a jamais milité, ne s’est jamais investi dans la vie publique, n’a jamais exercé de responsabilités professionnelles véritables, ne s’est investi dans aucun projet, n’a écrit ni un livre ni un article notable. Entre deux magouilles financières chez Rothschild ou à l’Élysée sous François Hollande, il s’est contenté d’aller jouer au tennis au Touquet.

• Le profil psychologique d’Emmanuel Macron s’approche de celui d’un pervers narcissique, nous disent les spécialistes. Il est manifestement obnubilé par son nombril et dépourvu d’affects en dehors de sa propre personne. Que ses satisfactions égotiques se fassent au détriment des intérêts de son pays ne lui pose aucun problème.

• Nous avons aussi appris (merci Jérôme Sainte-Marie) que le « bloc élitaire » arc-bouté sur ses intérêts de classe le soutiendrait quoi qu’il arrive.

On ne voit pas, comment l’enjeu de l’élection présidentielle pourrait être autre chose que : « Macron, stop ou encore ? » Finalement, la survie de notre pays est en cause, et il sera difficile d’échapper au « tout sauf Macron ».

Mais si nous parvenons à en débarrasser notre pays, il faudra que ceux qui ont favorisé et organisé ce coup d’État rendent des comptes.

Pour ce qui nous est infligé depuis cinq ans.

 

MANIPULÉS. L'HORRIBLE VÉRITÉ SUR FACEBOOK

L’horrible vérité de Facebook

De CUBA, cette description de la réalité de facebook, mais peut-être un des aspects les plus nocifs de cette entreprise de destruction mentale n’est-il pas mis en évidence, l’incapacité à penser un raisonnement complexe et sur le long terme. Les utilisateurs des réseaux sociaux sont affligés d’un vice de la pensée, attendre un résultat immédiat de leurs agissements… Le réflexe du chien de PAVLOV en politique, l’impossibilité de faire un effort en continu et d’avoir la moindre stratégie. Cela va avec l’incapacité totale à lire autre chose qu’un post et des slogans. le rôle du cliché à tous les sens du terme. (note et traduction pour histoireetsociete)

Par :Rosa Miriam Elizalde

Personne ne doute que Mark Zuckerberg fait de grands efforts pour réinventer son monopole. Assiégé pendant des années pour avoir spéculé avec les données des utilisateurs de Facebook, permis la circulation de théories du complot, encouragé le génocide, diffusé des massacres en direct et manipulé des adolescents pour qu’ils ne puissent pas quitter l’écran, même si cela les affecte, l’homme d’affaires tente de changer l’axe de la controverse, sans toucher au modèle économique qui a commencé il y a 18 ans et qui l’a transformé en l’un des hommes les plus riches du monde.

La société Facebook a changé son nom en Meta et a annoncé en grande pompe un énorme investissement pour construire le Metaverse, un espace de réalité virtuelle dans lequel tout pourrait être fait, comme si vous étiez physiquement à l’endroit de votre choix.

Pourquoi ce changement ? Sans y faire directement allusion, la réponse se trouve dans un livre qui vient de sortir en espagnol, par les journalistes du New York Times Sheera Frenkel et Cecilia Kang, Manipulated. La bataille de Facebook pour la domination du monde (Editorial Debate, 2021). Une vérité laide: à l’intérieur de la bataille de Facebook pour la domination.

Dans les océans d’encre qui ont été consacrés à la plate-forme, c’est la première fois que plus d’un millier d’heures d’entretiens ont été documentées avec des cadres, des employés anciens et actuels et les parents, amis et camarades de classe de Zuckerberg, ainsi que des investisseurs et des conseillers de Facebook, et des avocats et des activistes qui se sont longtemps battus contre l’entreprise. Les auteurs ont de meilleures sources que tous leurs prédécesseurs dans le genre et parviennent à briser le modèle économique délibérément conçu pour anéantir la concurrence et presser un tiers des habitants de la planète, avec des bénéfices de 85 900 millions de dollars en 2020, et une valeur marchande de 800 milliards.

Frenkel et Kang démontrent que les méga-profits du réseau social se sont produits à plusieurs reprises au détriment de la vie privée et de la sécurité des consommateurs et de l’intégrité des systèmes démocratiques. Cependant, cela ne l’a jamais empêché de réussir. Sa position privilégiée est due à la vision globale offerte par la plate-forme à ses gestionnaires, avec une équipe de renseignement sur les menaces qui « a déjà travaillé à la National Security Agency, au FBI et dans d’autres agences gouvernementales, étudiant précisément les pirates informatiques et autres ennemis qu’ils ont maintenant sous surveillance ».

L’une des révélations surprenantes du livre est qu’il y a plus de critiques au sein de l’entreprise que nous ne le pensons. De nombreux employés de Facebook ont tenté sans succès d’alerter leurs supérieurs des catastrophes causées par des algorithmes obsédés par la croissance et le profit de la plate-forme. Certains ont même mis en garde contre la catastrophe du Myanmar.

Les dirigeants de l’entreprise ne savaient rien de ce pays, sauf que c’était un nouveau territoire à conquérir. En entrant au Myanmar, Facebook a lancé une allumette allumée sur des décennies de tensions raciales latentes, puis a détourné le regard alors que les militants soulignaient que la fumée suffoquait lentement le pays, indique le livre. En fin de compte, l’ONU a déclaré que les tensions ethniques avaient conduit à un génocide à part entière avec la contribution substantielle de la compagnie du pouce bleu. Il a estimé que 24 000 Rohingyas ont été tués et que 700 000 musulmans ont fui vers le Bangladesh.

Au moment où cela s’est produit, la rhétorique incendiaire des 18 millions d’utilisateurs du réseau social qui n’étaient surveillés que par cinq locuteurs birmans natifs, dont aucun ne vivait au Myanmar, était en hausse. (Il y a deux semaines, il est apparu que des dizaines de milliers de réfugiés rohingyas ont poursuivi Facebook – maintenant Meta – aux États-Unis et au Royaume-Uni, pour avoir promu des discours de haine.)

Le livre démontre que ce cas est peut-être l’exemple le plus extrême de la façon dont les algorithmes de la plate-forme privilégient l’extrémisme, mais pas le seul. Plus de 90% des utilisateurs actifs de Facebook vivent en dehors des États-Unis et du Canada, et l’entreprise ferme souvent les yeux sur les discours de haine car ils stimulent la croissance des utilisateurs, en particulier dans les zones sombres de la planète qui arrivent tard et mal sur Internet.

Mais l’assaut contre le Capitole à Washington il y a un an a placé le problème chez eux, quelque chose dont les Cubains ont également souffert en raison des politiques dures envers l’île qui règnent en Floride et des profondes lacunes de sécurité de la plate-forme sociale.

Le livre montre l’incapacité linguistique à comprendre, et donc à modérer, des millions de messages d’utilisateurs dans des communautés non anglophones; l’incompréhension de leurs propres algorithmes; l’inaction lorsqu’il s’agit d’intervenir là où les programmes d’intelligence artificielle n’atteignent pas (l’entreprise n’adopte que des mesures comprises entre 3% et 5% des cas de discours de haine, et dans 0,6% des publications de contenu violent); et une insouciance palpable, voire une négligence, lorsqu’il s’agit de répondre aux plaintes des utilisateurs.

Ainsi, la triste vérité de Facebook est l’entreprise toxique d’une société privée prête à maintenir son hégémonie et sa domination sur des millions de sujets numériques à tout prix. L’une des personnes interrogées par les journalistes commente que le problème de Facebook est Facebook. Faux. Le problème de Facebook est le système conçu pour que ces monopoles non seulement prospèrent, mais changent même de nom pour se perpétuer. La question posée par Frenkel et Kang semble alors pertinente : qu’allons-nous faire face à cette réalité ?

(Publié à l’origine par La Jornada, Mexique)

 

Le bonheur pour nous tous avec la liberté et la lutte qui en fait le prix

PHOTO Alexander Deyneka. Baignade de femmes. 1952… ou “le réalisme socialiste”… N’oubliez pas qu’en célébrant la NOUVELLE ANNEE vous célébrez la victoire de la Révolution cubaine et la liberté dans son île…

que chacun ait ce qu’il désire le plus… Et qui ne soit qu’épanouissement… pour lui et pour les autres.. Il n’est pas de bonheur qui ne soit don des autres… __

JE VEUX ME BAIGNER UNE DERNIÈRE FOIS DANS LES EAUX TURQUOISES DE CUBA… Là où un jour de l’an mémorable ils ont accompli ce pas de géant de l’humanité, repris le contrôle de leur vie comme de celle de leur île si belle et porté partout le droit à la vie, à l’éducation…

https://youtu.be/M7HK2TxS_mM

mais je cède la parole à CECILIA ZAMUDiO hâtivement traduite :

Les « bons vœux abstraits » ne rimeront à rien si nous ne luttons pas contre la racine du problème. Nous ne pouvons pas continuer à pratiquer des rituels de conformisme téléguidés alors que sur les trottoirs du capitalisme, des millions de personnes dorment sous les intempéries, tandis que des millions d’enfants sont broyés par la précarité, la faim et le pillage sans fin des corps humains, alors que des milliers de personnes meurent de solitude, vieillardes et vieillards, dans les résidences de l’oubli, tandis que des millions d’êtres humains sont poussés sur les chemins de l’exode par l’appauvrissement causé par le capitalisme transnational, et s’ils survivent à des frontières d’horreur, ils seront pressés dans les pires exploitations dans les métropoles capitalistes, servis liés à des entrepreneurs esclavagistes par des lois infâmes sur l’immigration.

Les rituels annuels, transformés en légitimation des heures mortes, ne nous suffisent pas tant qu’une Colombie massacrée, une Palestine occupée et un Congo transformé en enfer nous pèsent à chaque battement de cœur, tandis que des millions de filles dans le monde entier font face à la violence patriarcale qui leur tranche l’espoir dans la gorge, tandis que les guerres impérialistes ravagent des villages entiers, tandis que les mers, les montagnes et les rivières sont dévastées pour accumuler les fortunes qu’une poignée de vautours chérissent sur des banques helvétiques.

Pour que cessent tant de barbarie, pour que cesse la dégradation de l’humanité et la destruction de la planète, il est urgent d’abolir le capitalisme, un système dans lequel une poignée accumule des fortunes sur l’exploitation des travailleurs et sur le saccage de la nature. Il faut lutter pour la justice sociale, contre ce système basé sur l’exploitation, lutter pour un monde dans lequel le système socio-économique est pour le bien-être collectif et non pour qu’une élite de milliardaires accumule des fortunes au détriment des majorités. Il faut abolir ce système de classes dans lequel les moyens de production sont entre les mains de la classe bourgeoise et dans lequel la classe ouvrière – l’immense majorité de la population – est amenée à être exploitée.

Abolir le capitalisme, abolir le patriarcat et le néocolonialisme sont nécessaires pour un monde libre de toute forme d’exploitation._____Texte C. Zamudio traduit par Danielle BLEIT

 

QUI A DIT ......

 QUI A DIT ?


....Les Français ne savaient pas qui il était, mais après cinq ans ils l’ont appris.

Emmanuel Macron n’est pas intelligent, c’est une imposture que de le prétendre. Ou bien c’est se laisser intimider par son diplôme de l’ENA, ou par une certaine capacité de séduction comment en disposent tous les imposteurs. Son léger vernis de culture masque en fait un vide consternant.

Emmanuel Macron n’a rien fait dans la vie, n’a aucune expérience sociale réelle, il n’a jamais milité, ne s’est jamais investi dans la vie publique, n’a jamais exercé de responsabilités professionnelles véritables, ne s’est investi dans aucun projet, n’a écrit ni un livre ni un article notable. Entre deux magouilles financières chez Rothschild ou à l’Élysée sous François Hollande, il s’est contenté d’aller jouer au tennis au Touquet.

• Le profil psychologique d’Emmanuel Macron s’approche de celui d’un pervers narcissique, nous disent les spécialistes. Il est manifestement obnubilé par son nombril et dépourvu d’affects en dehors de sa propre personne. Que ses satisfactions égotiques se fassent au détriment des intérêts de son pays ne lui pose aucun problème.

 

 

Note  de Pedrito.

La réponse dans un prochain post. Les passages surlignés l'ont été par moi.... mais j'aurais pu surligner tout le texte, tellement le personnage dont il s'agit ne mérite aucune "circonstance atténuante". Ou alors il faut être un mouton bêlant l'air rm de rien pour lui accorder la moindre qualité, le moindre mérite, puisque effectivement il n'a jamais RIEN fait de sa vie, sinon plastronner parmi les ors des puissants et des banquiers. Et trahir le dangereux comique qui se disait " président normal" .