jeudi 18 avril 2013

A ALÈS, A MARCIAC, PARTOUT, LA CHASSE AU ROUGE


Lundi 15 avril 2013
 http://www.le-grand-barnum.fr/wordpress/wp-content/uploads/2008/12/daumier1.jpg
 
Allez donc cliquer sur ce "lien". C'est celui de l'Union Locale CGT d'Alès.


Vous y verrez comment la justice est rendue au pays de "fan-fend les principes".
 
C'est peu de dire que la rage noue les tripes.
 
Colère, indignation. Avec un constat : depuis 1947 il y a toujours eu plus de répression anti-ouvrière avec la SFIO et ses clones ou avatars aux afaires qu'avec la droite. Allez comprendre pourquoi, c'est comme les guerres colniales. Vérifiez donc, et vous verrez, ce ne sont pas les 10 de Renault et quelques autres ou encore Madagascar (déjà Mitterrand) Alger (toujours Mitterand) et le Mali (les mannes du père François) qui démontreront le contraire.
 
Les nervis et la violence patronale, tendantiellement c'est sous la droite. Les sanctions pénales, c'est sous ceux qui se disent ailleurs qu'à droite.
 
C'est au nom de la justice qu'un ministre escroc peut impunément donner des interviews. C'est au nom des hurlements de Valls contre les syndicalistes que celle-ci se remet à ressembler aux pires caricatures de Daumier.
 
Et les mêmes élus qui votent la casse du code du travail trainent des pieds pour voter la loi d'aministie. Pourquoi ?
 
On commence à bien cerner les raisons : A voir le train de vie qu'ils affichent. ils sont aussi socialiste que la chèvre de mon voisin est pilote de ligne et tendent autant à gauche que la ligne droite des Hunaudières du circyuit du mans qui se termine par un 90° à droite. 


Valls commande, le proc de Blummollet requiert, le juge acquiesce, au militant d'encaisser la peine... le parquet est bien ciré.


Si tu es accusé sans preuve de jeter un oeuf,  tu n'es plus citoyen. Mais si tu fraudes à la revente d'un hippodrome où à la facturation à la sécu, si tu joues à saute frontières avec des valises de biftons, tu es "un notable en difficulté" au pire en "délicatesse".


Si tu es un escrocs qui impose des sacrifices au nom d'un ministère attribué par Blummollet mais qui perruque sur le dos de la sécu tu n'es pas condamnable.


La justice est de classe la voilà. Hugo l'avait écrit et 150 ans plus tard cela se poursuit.


Si à chaque fois que La Canaille avait jeté un oeuf sur un pandore (ou sur un pantin que le précédent protégeait) il avait du aller en cabane, il aurait économisé quelques loyers à verser à ses bailleurs, la République pourvoyant à son hébergement.


Si à chaque fois qu'il avait tenté, à distance, de faire goûter un sorbet au granite breton- même rose- aux CRS, il avait du être traîné devant les tribunaux cela aurait créer des embouteillages dans les prétoires d'autant qu'il n'était jamais seul.


La seule fois où Canaille le Rouge s'est retrouvé entre deux gendarmes embarqué chez les juges, il le doit à un gouvernement socialiste et, continuité politique, solidarité des réprimés, c'était pour avoir défendu l'emploi industriel face à des bulldozers qui rasaient les usines en Ile de France.


Alors bien sur, Sébastien, d'entrée la solidarité sans faille ni retenue au militant devant une répression qui fait mal d'abord à celui qui la subit mais ridiculise au plus haut point celui qui l'a requis.(certes cela te fait une belle jambe à toi qu'il soit ridicule, mais à côté, c'est toi qui est grand, et lui le courbé).
 
Ensuite, d'accord pour l'amnistie pour tous les militant traqués pour cause de lutte revendicatives. Mais cela ne suffit pas. Ces luttes ne sont jamais engagés par plaisir, tu le sait bien. Elles nous sont imposées.
 
La question, c'est la sortie de ce système. Quand on se réclame du communisme, c'est de le supprimer.



Note de Pedrito: 
Canaille le Rouge écrit sur son blog, qui n'est pas rose, comme son pseudo l'indique , le rose socialiste nous va si mal, à lui, à tant d'autres, et à moi... 
Par exemple, à Marciac, c'est la mise en quarantaine de celui qui pense et exprime différemment, pire encore, c'est  l'omerta, tout le monde sait qui est l'ivrogne qui a saccagé ma clôture pour libérer son chien, mais silence! comme quoi, les nervis, ce n'est pas forcément sous la droite,  c'est aussi ici sous l'emprise de l'alcool, c'est étouffé grâce au silence complice du maire  et de son adjoint.
Nous vivons sous la dictature des réseaux fachocialistes