mercredi 17 octobre 2018

KIKADIÇA ? SUR LES FRELONS ET LES ABEILLES ......

Qui, il y a pourtant deux siècles, jugeait (déjà) le pouvoir de 2018 ?

Publié le 17 Octobre 2018
« L’art de gouverner […]
est réduit
à donner aux frelons
la plus forte portion du miel
prélevé sur les abeilles. »
Qui, il y a pourtant deux siècles, jugeait (déjà) le pouvoir de 2018 ?
Et ce type n'était pas exactement dans le droit fil de Robespierre et pas non plus aussi incisive que Louise Michel.
Sans le sou qui devient magistral spéculateur, plus que riche entrepreneur, il a valeur d'expert.
D'où la qualité de cette sentence.
Il s'agit de Saint Simon (lequel en 1793 avait confiné sa particule séculaire sous une pile de mouchoirs en dentelle de soie). 

LES USA DE TRUMP TOUJOURS AUSSI BELLIQUEUX, TOUJOURS AUSSI GUERRIERS

L'escalade de la rhétorique hostile des États-Unis contre Cuba

Article publié le 15 octobre 2018 dans le journal Granma, organe officiel du Comité central du Parti communiste cubain
Le directeur général chargé des États-Unis au ministère cubain des Relations extérieures (Minrex), Carlos Fernandez de Cossio, a souligné que ces derniers mois, le gouvernement des États-Unis a intensifié sa rhétorique hostile contre Cuba. « Il s'agit de déclarations récurrentes de hauts fonctionnaires destinées à fabriquer des prétextes pour accroître la tension dans les relations bilatérales », a déclaré le fonctionnaire.
Il a précisé que « de manière très précise, les États-Unis entendent défendre par tous les moyens possibles la politique unilatérale de blocus économique, qui fait l'objet d'un rejet universel en raison de son caractère criminel et parce qu’elle constitue une violation du Droit international ».
Il a souligné, selon le site web de Cubaminrex, que le gouvernement étasunien « sait qu'il s'agit d'une position qui n'a pas le soutien de la population de ce pays, ni des Cubains qui y vivent », avant de préciser que ses dirigeants s’attaquent au système politique et social librement choisi par le peuple cubain, ignorant le droit souverain de chaque pays à déterminer son destin.
« Ils fabriquent des allégations infondées contre Cuba à propos de soi-disant incidents de santé, en lançant des accusations diffamatoires sur la sécurité de leurs diplomates à Cuba », a ajouté Fernandez de Cossio.
Il a affirmé qu'ils prétendent reprendre la campagne infructueuse contre Cuba sur le plan des droits de l'Homme.
Plus loin, il a indiqué que « loin de dialoguer sur la base du respect, comme Cuba est prête à le faire à des fins de coopération et comme elle le fait avec d'autres pays, le gouvernement des États-Unis a recours à des accusations mensongères et à des campagnes diffamatoires ».
Il a rappelé qu’il s’agit « du gouvernement qui a tourné le dos aux Nations Unies en matière de droits de l'Homme », alors qu’aux États-Unis ou par les actions de leur gouvernement on ne cesse de rapporter de nombreux « cas d'abus avec la peine de mort, de violences policières, de dizaines de milliers de sans-abri, de mauvais traitements aux enfants qui sont séparés de leurs parents et d'attentats qui font des victimes civiles dans des pays tiers, alors que rien de cela ne se produit à Cuba ».
Selon le directeur général, le gouvernement des États-Unis consacre des millions de dollars chaque année à financer des actions visant à « attaquer l'ordre constitutionnel cubain, s'ingérer dans les affaires intérieures et payer des individus qui agissent comme agents d'une puissance étrangère, ce qui est illégal à Cuba, tout comme aux États-Unis et ailleurs ».
Fernandez de Cossio a qualifié d’« irresponsables et provocatrices les déclarations et les mensonges » dont se sert le gouvernement des États-Unis pour justifier le recul qu’il impose aux relations bilatérales. Il a rappelé que « des personnalités ayant un parcours anticubain reconnu ont récemment été intégrées dans les structures de politique étrangère du gouvernement, capables, comme par le passé, de fabriquer des mensonges qui ont été publiquement démantelés, preuves à l’appui, y compris par le Congrès des États-Unis ».
« Cuba est un pays de paix, qui entretient ses relations extérieures sur la base du respect et de la coopération, qui a une trajectoire reconnue de solidarité et d'amitié, en particulier avec les pays en développement », a rappelé le fonctionnaire, avant de souligner que « c'est la politique des États-Unis vis-à-vis de Cuba qui fait l’objet d’un isolement ».
Pour conclure, il a affirmé que, comme on le verra très bientôt, la communauté internationale exigera une fois de plus, le 31 octobre prochain, la levée du blocus aux Nations Unies. « Le gouvernement des États-Unis et son département d'État devraient prêter attention à cette demande universelle. »

UN CADEAU EMPOISONNÉ AU P."c".F.?

Après avoir quitté le PS ce week-end, Marie-Noëlle Lienemann quitte le groupe socialiste du Sénat pour rejoindre celui du CRC (Communiste Républicain Citoyen et Écologiste). Elle démissionne également de la vice-présidence de la Haute assemblée. Cette démission prendra effet à partir du 1er novembre.

Note de Pedrito: c'est certainement pour porter secours au suicidaire Laurent, qui depuis ces dernières années a amarré la barque du PC moribond au chaland social démocrate.... Laurent   se trouve  fortement contesté par le  dernier vote de la majorité des militants communistes qui souhaitent rendre au PC sa véritable raison d'être: un outil politique au seul service du monde du travail, des pauvres, des faibles, des opprimés, et non  un outil électoral à vocation  capitaliste, pardon "libérale",  commandé par le PS.

Le capitalisme a vocation à tuer ; et il s'applique

Publié le 17 Octobre 2018

La preuve par l'Aude
Le capitalisme a vocation à tuer ; et il s'applique
Jaurès disait que le capitalisme porte la guerre comme la nuée porte l'orage.
Un siècle plus tard il aurait pu ajouter, le capitalisme se "perfectionne", maintenant, il fabrique les nuées et les orages pour tuer même hors temps et zone de guerre. 
Il a fallu des heures pour que soit dégagé l'accès du nouvel hôpital de Carcassonne afin que les secours puissent y accéder.
Maintenant les ambulances peuvent passer mais il ne peut faire tous les actes chirurgicaux indispensables, produisant souffrance voire mise en danger graves de populations déjà meurtries  : les ascenseurs, les moyens logistiques et technologiques ont été inondés. 
Quand les "décideurs" (lire "hors-sol" et donc au sec), ceux qui permettent aux assureurs de drainer leur pactole vers des docks à accumulation, qui construisent l'hôpital, la caserne de pompiers, une crèche ou l'Hôtel de ville dans une zone inondable, mais laissent les zones historiquement sûres à disposition des promoteurs, ce n'est pas une défaillance ou de l'incompétence, mais un choix.
Quand les pompiers épuisés ne peuvent parvenir à faire ce que la société attend d'eux parce que le ministère, nouvellement tenu par un pilier de tripot et tapis vert ; pratique coutumière du joueur de poker, bluffant sur les moyens nécessaires justifiant ainsi ses coups de rabots, participe à liquider les budgets des collectivités territoriales pour surtout ne pas faire de la peine à la banque, ce n'est pas une faute mais un crime.
Quand les membres d'un gouvernements occupés en rencontrer patrons et banquiers ne partent pas toute affaire cessante se mettre à disposition des populations victimes d'un dérèglement climatique systémique issue des choix de leur philosophie "d'abord garantir le taux de profit et après pour les autres s'il en reste",  ce n'est pas de l'inconséquence mais des choix de classe qui confirme la dimension criminelle du système
L'urgence impose d'autres débats qu'ici des querelles d'ego, là la saveur des placebos ou encore les calculs alambiqués pour prendre la place des faillis de maintenant  qui, sans retournement total de la table, ce qu'aucun ne propose,  laisseront la place dégagée aux bottes brunes cloutées de haine.
Pour en finir avec les causes des morts, sinistres et dégâts, l'urgence politique est de rompre avec la logique d'un système paré du titre de libéralisme et qui se confirme tout azimut assassin et liberticide. 
Note de P: Rien à ajouter. Tout est dit. Comme sur le Titanic, où les riches passagers continuaient de faire la fête, aucun de ces petits politiciens égoïstes, orgueilleux, incapables , n'a conscience du naufrage et des souffrances qui suivront.
Vive la croissance à tout prix! A TOUT PRIX !!!!