lundi 4 juillet 2022

Condamnation

 

Petite gourmandise

Condamnation

Le Pancho Villa germanopratin, le guerilléro de l'écran vert vient de se prendre un de ces coups de pieds au cul qui marque durablement celui qui le reçoit et exige respect de celui qui l'administre.

Rappel des faits : apportant des éléments d'information valant pour les journalistes preuves de leurs assertions, le titre dénonce le versement à BHL de 9 000 000€ par le Qatar en remerciement d'avoir justifié les opérations de guerre menée par le dit Qatar contre la Libye de Khadafi.

En premier instance le tribunal non seulement déboute BHL mais lui fait payer 3 000  de dommage et interet au journal fondé par Denis Robert. En Appel la cour confirme 

 Yousef Hussain Kamal Al-Emadi, alors ministre de l’économie et des finances de l’émirat et président de la Qatar National Bank (QNB). Ce dernier aurait ordonné qu’un « chèque certifié de 40 millions de riyals qataris [9,1 millions d’euros] soit remis à Bernard-Henri Lévy. Sur ordre de l’émir [Hamad Al-Thani]. »

En premier instance le tribunal non seulement déboute BHL mais lui fait payer 3 000  de dommage et interet au journal fondé par Denis Robert. En Appel la cour confirme 

Non satisfait de ce premier jugement, l’écrivain avait fait appel. L’audience s’est tenue le 25 mai. Son avocat, maître Alain Jakubowicz, a tenté de convaincre la cour que la diffamation était réelle, en sortant de nouveaux motifs : nous aurions suscité des réactions diffamatoires sur les réseaux sociaux contre son client après la publication de notre enquête. L’avocat de Blast, maître Julien Kahn, a brillamment démonté l’argumentaire de son confrère en démontrant que ces tweets étaient postérieurs à la première décision de justice. Au contraire, les tweets réagissant à notre enquête initiale reprenaient nos informations sans les déformer.

En Appel la cour confirme 

Finalement, la Cour d’appel, qui a rendu son jugement mercredi 29 juin, donne raison à Blast et déboute Bernard-Henri Lévy. Non seulement, la cour confirme le jugement de première instance, mais elle confirme aussi la condamnation de BHL à nous payer 3 000 euros au titre des frais de justice. Notre victoire est donc totale.

Denis Robert au prononcé du jugement a déclaré :

"La Cour d’appel de Paris a balayé ces arguments, authentifié la qualité de notre travail et indiqué que nous servions l’intérêt général en pratiquant envers et contre tous ce journalisme là. "

3 000€ de dommages et interets il va falloir qu'il en fasse des poses guerrières en studio pour que les droits à l'image lui permettent d'acquitter la facture :

 

Les preuves que le missile du massacre de la gare de Kramatorsk n'est pas  russe mais ukrainien - Ça n'empêche pas Nicolas

Donbass : il a suffi d'une vidéo au JT de France 2 dimanche soir 3 juillet, pour réduire à zéro les mensonges diffusés par les Occidentaux sur l'agression des méchants russes contre le Donbass.

En effet, un journaliste français présent sur place à Lissytchansk, à l'arrivée victorieuse des forces russes, nous a décrit la joie de la population libérée. Jeunes, vieux, en famille, tous remerciaient les soldats russes, considérés comme des héros.

Ainsi, s'écroule la montagne de mensonges, accumulées par  l'information officielle mensongère d'une invasion des troupes de Moscou en territoire ukrainien.

Poutine l'avait annoncé : l'objectif de ses troupes était de libérer le Donbass de la terreur instituée par les autorités de Kiev depuis 2014


Certes, durant ces huit ans de reconquête militaire, les Ukrainiens - et parmi eux, le bataillon néo-nazi Azov - ont transformé les mines, les complexes industriels  en de fortins renforcés, constituant une véritable ligne fortifiée , dont dès avant le conflit les images occidentales et leurs commentaires nous annonçaient imprenables...

C'est ce qui explique les délais nécessaires à leur libération par l'armée russe.

Ainsi l'oublast de Lougansk est aujourd'hui totalement libéré. Après celui de Donetsk.

Saluons la libération  de ces territoires à la grande joie de leur population !

JEAN LEVY