samedi 8 décembre 2018

SIEMPRE PARA GISELE, A LOS AMIGOS DE TRAS EL PIRENEO.

Y AHORA, SIEMPRE PARA GISÈLE, MIS AGRADECIMIENTOS A LOS AMIGOS DEL PAIS HERMANO QUE ME AYUDAN A SOPORTAR MI SUFRIMIENTO

A ANGELA Y PEPE, DE ALCORISA Muchisimas gracias, queridos amigos, por sus palabras de pesame, y sus alientos, para vencer mi pena. Gisele fué una persona maravillosa para mi, una esposa llena de cuidados y de amor para su marido, de muchas cualidades, hé perdido el sentido de mi vida. Todo lo que deseaba yo ella lo hacia, siempre a hacerme placer. Soy ahora sin poder encarar lo que mañana sera. Puta de enfermedad , que me ha robado mi unica razòn de vivir. Ahora, me queda el recuerdo de gente maravillosa como Pepe y Angela, que encontremos en vuestro bonito pais de Teruel. Momentos de felicidad gracias a ti, Pepe, y todos vuestros amigos. Que sean felices, ustedes y su familia, todos y todas, mucho y mucho tiempo. Seran en mi corazon para siempre.
Fuerte abrazo. Gracias al cielo o a la casualidad buena de haberles encontrado

A BORIS.... Siempre me recordaré de un hombre atractivo, simpatico, de fuerta personalidad y de buenos sentidos, que conoci por primera vez me parece en Orthez. Y hoy, en estos duros momentos, tus palabras me dan un placer immense, permiten créer todavia en hombres buenos y a esperar dias poco mejores. Pero no ceso llorar a mi pequeña leona que no puso lograr esa puta madre de cancer de mierda Y me quedo solo. A sufrir, esperando dias mejores....
Un abrazo fuertisimo, querido Boris, y si un dia futuro te conduce hasta Tarbes, para te aqui : siempre seras el amigo bienvenido.

A PEDRO …...G.M. tu no hablas bien el galo, pero lo dices perfectamento : aqui tambièn, te queremos, y mi puerta sera abierta GRANDE si tu pregrinacion te conduce hasta mi pueblo. Un abrazo fuerte, maestro.

A TONI.....Mi gran amigo Toni, compañero, hijo, hermano, que ha llegado hasta mi, muchos kilometros, para saludar a mi esposa querida, y manifestar su amistad, eso, nunca lo olvidaré. Eres un buen hombre como hay pocos, sobre todo me recordaré de tu cariño para amigos como nosotros dos, y para Gisele, mi tesoro tan querido, haberla aconpañado con nosotros, a pesar de la distancia de Irun a Tarbes. Un abrazo fuertsimo, querido Toni y no olvides nunca que tienes aqui un amigo que espera tu visita, si lo quieres, cuando tu quieres, en mejoras crconstancias.
Un besito a tus « mujeres ».

AGUSTIN...... Querido Agustin, tus palabras son tambièn palabras de aliento, de profunda humanidad, las de un hombre buenisimo. Me han ido al corazón, como siempre, y soy orgulloso tener un amigo de tantos sentimientos. Siempre, todo lo que me quedara de vivir, me recordaré de tu Azpeitia gracias a ti, Agustin, a tus sentimientos que son los de un hombre bueno. Los buenos momentos pasados juntos a difrutar de lo mejor de la existencia, con tu profunda amistad que distribuyes con gran generosidad. Gisele te queria mucho, le gustaban nuestros viajes hasta tu bonito pueblo, y los buenos momentos que esperabamos difrutar contigo y todos los amigos. Aqui tambièn, en Francia, no olvides que tu tienes un amigo que te quiere como la buena persona que eres, con una puerta gran abierta por tu proxima visita, si tu quieres, cuando quieres : Gisele, mi esposa querida, seria tan feliz ofrecirte su hospitalidad.
Un abrazo fuertisimo, Agustin, tambièn a tus padres, tu hermano, y besitos cariñosos a tu esposa y tus niños.
Muchisimas gracias por tus palabras de apoyo a mi gran pena, y tu amistad

ENCORE ET TOUJOURS, MES REMERCIEMENTS, POUR MA PERLE CHÉRIE A JAMAIS PERDUE POUR MOI...

 MI VIDA , TODA MI VIDA , MI AMOR PERDIDO.....QUE TU ES BELLE! COMMENT NE PAS T'AIMER?
PHOTO DU HAUT: DÉJÀ LA SOUFFRANCE S'EST INSTALLÉE, ELLE FIGE TON BEAU SOURIRE: SALOPERIE DE MAL!!!
EN BAS: TU PARAIS EN RÉPIT, PLUS SEREINE....PAS POUR LONGTEMPS!
A ROSINE ET BERNARD....Vous étiez près de moi, hier, pour me témoigner de cette affection dont on a tant besoin dans des moments si cruels, si difficiles. J'ai passé quelques courtes heures en votre présence, mais combien réconfortantes. Depuis votre Lauragais qui fut aussi le mien pendant 22 ans, vous pensiez à moi, ma douleur, ma solitude. Et vous êtes venus jusqu'à moi, pour pleurer avec moi. Du fond du cœur, je vous en remercie, et je vous embrasse très fort. Les belles amitiés sont des piliers de réconfort: la votre m'est si précieuse....

A MARIO..... Il est encore bientôt pour que je sache ce que mon demain sera fait: là-dedans, il y a encore une terrible tempête qui me secoue dans tous les sens. J'ai atteint le sommet de la colline, mais j'ai surtout le vertige. L'horizon est encore trouble....  Et ma boussole s'est affolée. Veremos. Mille mercis pour tes signes d'amitié et de secours.

A GISELLE ET HERVÉ......Quels délicieux souvenirs nous conservions de nos mémorables virées à Sommières, dans votre belle maison ensoleillée, suivies des sorties Alésiennes. Que nous étions heureux! Même si nous le savions, il faut le répéter encore et encore, car l'absence de ma grande chérie me laisse aujourd'hui un goût d'autant plus amer. Je vous garde au plus profond de mon cœur, par  contre  quelque ancien témoin de ce bonheur perdu a elle aussi perdu surtout la mémoire, les sentiments, un  cœur de pierre, je lui souhaite simplement de souffrir, souffrir, comme elle a laissé souffrir Gisèle sans un mot, sans un signe: preuve sans doute d'une sensibilité ou intelligence supérieure à la notre, à celle de Gisèle, qui l'aimait pourtant comme une sœur, n'a jamais mégoté ni amitié ni amour. Mais la roue tourne, tournera/....A vous deux, mes chers amis gardois, à vos enfants, je vous souhaite de vivre longtemps longtemps ensemble, en meilleure santé possible.
Je vous embrasse de tout mon cœur.
 
A FLORENT ....Nous t'avons aimé, ma Gisèle adorée et moi, puis quelque chose, un petit grain de sable, a enrayé cette belle mécanique. Puis aujourd'hui, tu prends part à mon IMMENSE deuil. Je suis sûr que Gisèle se réjouirait, comme moi, mais surtout pour moi, qu'elle voulait protéger de tout, elle était tellement inquiète de partir en me laissant seul, ces dernières semaines où elle lâchait prise, cela, j'en ai la conviction profonde. Ton message me réchauffe le cœur. Et c'est pas banal. Le soir où elle m'a parlé - très faiblement - pour la dernière fois, le mercredi 28, je quittais la chambre après l'avoir embrassée , plusieurs fois, comme chaque soir, vers 20 H, je déposais sur son lit la sonnette, le téléphone- j'appelais, deux sonneries, en arrivant à la maison, pour la rassurer, avant qu'elle ne s'endorme - . Arrivé à la porte de la chambre, je l'entends m'appeler, si faiblement que je n'ai pas compris ce qu'elle me disait. Je suis retourné à son lit, me suis penché vers elle, elle voulait simplement me répéter " à demain, mon bichon"- c'est ainsi, même à 80 balais, ou plutôt surtout, à 80 balais, on peut aimer très fort-  comme pour s'assurer que nous nous reverrions, que nous nous reparlerions. Je lui ai dit à peu près ceci, comme CHAQUE SOIR: " à demain, à tout à l'heure, ma biche chérie, je t'aime, repose toi bien, dors bien ,appelle, si tu as mal"....
Le lendemain matin, jeudi, à mon arrivée, elle ne s'est même pas réveillée. A croire qu'elle pressentait son départ. Et s'est éteinte à 3H30 le lendemain matin, vendredi . De toute la journée, je ne l'ai entendue que râler. C'était atroce, insupportable....
Depuis, je revis sans cesse cet horrible film. J'ai essayé pendant près de 3 ans de l'entourer de toute ma tendresse, de la protéger, même de l'infâme  connerie  d'un ami - ancien, pour nous - commun. Il n'a rien compris! Il bavait, même, alors qu'elle souffrait, que NOUS souffrions du crabe. Il bavait, comme bavent les cons, les faux culs, les ignares, et j'en passe... J'ai souvent enragé pour elle. J'ai de la haine, même, surtout pour un  facho qui ne s'en croit pourtant pas, et qui se croit socialiste.
Tu partages un peu de ma douleur: je t'en remercie de tout cœur. ET je te saluerai avec plaisir, si je retourne aux arènes
Abrazo fuerte, merci encore pour tes mots de réconfort.

A JOËL YAN , A PIERRE ET FRANÇOISE, A RENÉ, A CLÉMENT, A ANNIE, QUI SUIVENT MES ÉCRITS SUR LE BLOG, MES TRÈS SINCÈRES REMERCIEMENTS POUR LEURS MOTS DE RÉCONFORT.

POUR MA GISÈLE CHÉRIE : LA SUITE ......

A ANDRÉ ET BRUNO, DU HAUT VALLESPIR....

Cher André, comme vous le constatiez chaque année, nos retrouvailles auprès de vous, en face de la « Cobla millenaria », étaient de grands moments de joie, Gisèle appréciait tellement de rencontrer ses visages familiers et ô combien sympathiques. Nos échanges témoignaient de ces plaisirs toujours renouvelés, nous vous devons de bons moments d’amitié, je vous en remercie mille fois pour Gisèle, en son souvenir, elle qui a tout partagé avec moi, elle était une compagne merveilleuse, toujours de bonne humeur, heureuse de vivre auprès de sa « perlote » - petite perle - et de nos proches, connaissances et amis. Elle vous appréciait énormément, vous, nos compagnons de tendido que je n’oublierai jamais. Il es t trop tôt pour que je sache si je referai un jour le pèlerinage à Céret. La douleur est tellement forte.... Je ne manquerai pas de vous le dire. 
Je vous embrasse, ainsi qu'à Bruno
.

TU RAYONNAIS, MÊME DANS LES LES CŒURS ....

QUE TU ES PRÉSENTE ET BELLE !

POUR MA GISÈLE: HASTA SIEMPRE,.....POUR TOUJOURS

A PATRICK ET ISABELLE C.......
Quels merveilleux moments nous avons partagés. Les douceurs épicuriennes complétaient dans la joie les heures d’aficion. Et Gisèle, je le répète, vivait pleinement ces moments simples de convivialité et d’affection avec les gens formidablement agréables tels que vous, je suis au moins heureux de lui avoir fait découvrir et partager avec des gens agréables cet univers où elle s’est tellement plu. Mais pourquoi, pourquoi est-elle partie si tôt, à me laisser si seul, désemparé ? Anéanti ? Moi qui avais tant besoin d’elle, de son amour, de son aide ? Putain de putain de mal abominable, qui ne laisse aucune chance aux êtres les plus aimables, inoffensifs, foncièrement bons, admirables, comme Gisèle le restera à jamais.
Vos mots me touchent intensément, ils sont à la mesure de mon immense chagrin. « El tiempo que va pasando, no borrara mis ojos »
Encore une fois mille mercis pour votre part à ma peine, votre amitié que je n’oublierai pas et qu’elle aurait tant voulu prolonger.

A PATRICK, DE SALON …..
Ces souvenirs communs que vous évoquez resteront gravés dans ma mémoire , ils demeurent enfouis au plus profond de notre âme commune, à ma perle chérie et à moi. A vous lire, Patrick, mon cœur saigne, c’était ma raison de vivre, que j’ai perdue, et je vous remercie de partager vous aussi comme ceux qui l’ont connu et aimée mon chagrin. Nous étions à chaque fois heureux de retrouver ces amis aficionados que d’aucuns traitent d’assassins, mais qui ont souvent des sentiments que devraient leur envier ceux qui les insultent et les méprisent : simplement parce qu’ils ne croient juste que ce qu’ils éprouvent, le reste, autrui, n’étant que "rustrerie" sauvage. Comme si Gisèle, par exemple, pouvait être capable de cruauté, d’inhumanité, d'agressivité,elle qui ne fit jamais aucun mal à personne, mais qui ne fut par contre pas épargnée.
Merci mille et mille fois, cher Patrick, pour la votre, d’humanité fraternelle.

A MA CHÈRE DELPHINE....
Comme elle vous aimait, vous appréciait, comme nous vous aimons, nous t’aimions, depuis que nous vous avons connue. Les choses sont ainsi : les sentiments naissent, parce que c’est la loi de la nature, parce que dès les premiers instants on se reconnaît dans l’autre. Et toi, Delphine, nous t’avons reconnue tout de suite comme une belle personne, pleine de bien et de bon. Que j’aurais tant voulu que la vie nous fasse rencontrer et profiter de ces bonheurs simples encore longtemps.....Longtemps.....La saloperie d’ordure de cancer en a décidé autrement, et moi, je te garderai dans mon cœur pour DEUX : pour ma grande chérie, et pour moi, jusqu’au bout du chemin qui me reste à parcourir.

A CHRISTIAN, DES LANDES.....
Toi aussi, récemment, tu as du faire ton grand deuil : perdre une mère, c’est qu’elle chose de cruel, de très cruel. Et tu prends part à mon deuil à moi avec beaucoup de vérité et de sincérité, tu sais que Gisèle t’aimait beaucoup, comme elle aimait tous ces amis avec qui nous avons partagés tant de bons moments d’amitié vraie, d’affection, de convivialité, de virées « tras los montes », au pays frère, des moments qui forgent les sentiments qui marquent à jamais une vie, qui ont marqué NOS vies.
Merci cher Christian, pour tes mots, pour ton attachement et ton affection pour ma petite perle, ma « biche » que j’adorais, pour le chagrin immense qu’elle me procure aujourd’hui, et pour la part que tu prends à ma peine.Tu te souviendras de "ma biche", j'en suis certain.
Je t’embrasse très fort, tu resteras dans NOTRE cœur à tous les deux.

ANNY ET JEAN CLAUDE....
On devait se revoir cet été, lorsque vous descendiez de ce cher NORD que j’ai connu et aimé. Mauvais présage : çà n’a pas pu se faire, Gisèle s’en faisait pourtant une grande joie, mais.....Pourtant, nous nous connaissions depuis peu, mais le courant était tout de suite passé, et ma petite femme chérie vous avait de suite reconnus comme des chouettes gens, et aimés....Et nous aurions tant voulu continuer de partager avec vous d’autres belles heures, comme celles que nous avions connues.
Merci mille fois pour votre amitié, merci d’avoir apprécié et aimé ma petite perle, elle le méritait tant, n’est-ce-pas ?
Je vous embrasse très fort.

BASTIEN EL PUMA.....
Ah ! El Puma ! Comme elle t’aimait aussi, ma Gisèle adorée, comme ton image lui était devenue familière et agréable, à l’ombre des platanes de l’andanada Parentissoise, au milieu de toute l’équipe avec qui nous aimions nous retrouver. Quelle douleur, à la pensée qu'elle ne sera plus jamais auprès de moi, pour revivre ces heures de fraternité et de bonheurs simples partagés. Et que ferais-je donc là-bas, ou ailleurs, sans elle, alors qu’elle m’a laissé si désemparé ? Est-ce que le temps qui passe sera à la hauteur, pour m’accorder la moindre motivation ? J’en doute....J’ai un tel mal là-dedans.....
Merci pour tes mots de réconfort. Je t’embrasse. Passe quand tu veux, si tu le peux......