mercredi 25 juillet 2018

BONNE NUIT, LES PETITS....DORMEZ.... JUPITER A PARLÉ....

25 Juillet 2018
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Affaire Macron-Benalla: Ouf, ça y est, Jupiter a parlé

Pas devant la commission d'enquête parlementaire, puisque selon la constitution monarchique de la République, notre présidmonarc n'a de comptes à rendre à personne.
Non, Il est descendu hier de son Olympe de l'Elysée pour parler à Ses députés à la semelle plombée. Eux qui entérinent Sa politique de droite favorisant les riches et le patronat au nom d'un nouveau monde.
Oui, hier, mardi 24 juillet grâce à Lui, Il est descendu devant Ses commis le représentant à l'Assemblée nationale. C'était au cours de leur pot de fin d'année scolaire. Et entre gens du même monde au service des forces de l'argent, on a adoré La parole divine de Manu 1er.
Pour le reste, vous le peuple d'en bas, circulez, il n'y a plus rien à voir. Manu 1er a programmé au Journal Officiel la mise à la retraite de Son directeur de cabinet. Lui qui a tout endossé hier devant les députés. Sauf de dire combien Alexandre Benalla touchait comme rémunération sans être déclaré au Journal Officiel comme collaborateur du palais de l'Elysée. Chut, secret défense, l'a soutenu la présidente macroniste de la commission d'enquête.
Tout ça tombe bien. Les téloches ce matin diffusent les dires de Notre présidmonarc. La preuve:


De ce fait, mon blog va faire une pause estivale, radieux que tout aille mieux madame la marquise. Non?

COM. DE CRISE A L'ÉLYSÉE

L'image du jour : COM de crise à l'Elysée

repris sur front syndical de classe

UNE AFFAIRE D'ETAT

par Jean LEVY
 Chaque jour nous amène son lot de révélations sur l'affaire Macron-Benalla. C'est ainsi que les hauts fonctionnaires entendus par  les Commissions d'enquête parlementaires laissent entendre qu'il s'agit d'actes dont seul est responsable l'entourage d'Emmanuel Macron. Ils veulent  - eux fonctionnaires de police - à mots couverts se dégager de cette affaire, même s'ils doivent,  le lendemain, corriger leurs propos.
 Il s'agit donc d'un scandale d'État. 
 On peut se poser la question : comment et pourquoi éclate-t-il  au grand jour.  Seul concours de circonstances ou règlement de compte ?
Pourquoi les médias, les chiens méchants du Capital, y compris les plus fidèles soutiens du Président, ceux qui, dès 2016, ont monté Macron au pinacle, pourquoi étalent-ils  complaisamment
 les responsabilités élyséennes ?
Simple souci  professionnel de journalistes, ou changement de pied  de leurs bailleurs de fonds ?
 La suite nous le dira.
 Cependant cet épisode illustre très bien la volonté des hommes de pouvoir d'enfreindre la légalité quand celle-ci gêne leurs ambitions politiques et personnelles. Tous se croient à l'abri de la moindre enquête, protégés qu'ils sont par une procédure qui leur est par nature favorable.

Certes, le caractère du Président de la République, son obsession de pratiquer un pouvoir "jupitérien", son entourage choisi par des amis du premier cercle, lui donnent l'impression d'être, plus que tout autre,  au dessus des lois.
 Rappelons les conditions dans lesquelles s'est déroulée sa campagne électorale. 
Candidat sorti en un tour de main du chapeau de la haute société et de la banque Rothschild , soutien massif de l'oligarchie financière, manoeuvres réussies pour éliminer du paysage politique tout concurrent dangereux, candidate dont on fait le doigt pour préserver la lune, tout a été conçu par ses sponsors pour que seul Macron soit en mesure d'être élu.
Car il fallait aux puissances d'argent un commis directe aux commandes de la France pour formater au plus vite celle-ci aux nécessités d'un capital financier mondialisé. Ce qui suppose une intégration totale de notre pays dans l'espace européen souverain, et l'abandon de pratiques parlementaires trop lentes pour y parvenir.
Ces objectifs, le Président de la République n'est pas regardant sur les moyens de les atteindre, ni sur le choix de ses collaborateurs.
D'où l'affaire Benalla.
Mais l'envergure du  scandale est-il de nature aujourd'hui à sacrifier le soldat Macron pour mieux préserver sa politique ?
Car, au-delà de l'homme, il y a la finance.
C'est elle qui contrôle le gouvernail. 
En attendant que le peuple redevienne souverain.

LA MORALE DU JOUR

Pour rappel, de la relativité à la colère, quand cette dernière viendra le chercher.

Publié le 25 Juillet 2018

Relativité macronienne
Mieux vaut être un BBB (BAC blak bloc supplétif du Château) soudard milicien au service du Princident de la Monarblique et se balader avec casque et armes de X diverses catégories pour cogner sur les manifestants du 1er mai que syndicaliste défendant son emploi, présumé arracheur de la chemise d'un DRH.
Le syndicaliste subira une mise à pied immédiate et définitive ; le soudard une pseudo sanction qui lui a garantie l'intégralité de sa paie valant de trois à quatre fois celle du syndicaliste sanctionné.
Note: Le titre seul est de Pedrito, le billet ô combien opportun et juste est de la Canaille

EN GUISE DE COMPLÉMENT

BENALLA : L’ARC D’EXTRÊME DROITE

Extrait d'un article de Frédéric London

Lire aussi Laurent Bonelli, « Pour une décroissance sécuritaire », Le Monde diplomatique, mai 2017. Un ami suggère de voir dans l’affaire Benalla une manifestation inattendue, mais finalement très cohérente, du managérialisme macronien : en quelque sorte l’organisation au sommet de l’État d’une start-up de la « répression agile » – hors institutions, hors règle, hors tout protocole formel, orientée par la seule « efficacité » –, et c’est une interprétation qui ne manque pas d’intérêt. Assez curieusement, on pourrait y voir aussi, et plus classiquement, une parfaite illustration de la souveraineté devenue folle, c’est-à-dire en fait se comprenant elle-même dans la pureté de son concept, comme puissance absolue et absolument déliée, n’ayant à répondre de rien à personne, faisant valoir l’arbitraire de sa volonté comme acte politique par construction licite, le pur « je veux » d’un pouvoir complètement désorbité.
Il se pourrait qu’il n’y ait pas à choisir entre les deux lectures, comme le suggère d’ailleurs le fait qu’il se soit trouvé des éditorialistes assez complaisants ou assez idiots pour donner, selon son souhait, du « Jupiter » au président de la start-up nation, conjonction en soi tératologique, mais qui dit assez la compatibilité de l’absolutisme politique et de la soi-disant « modernité managériale ». Et le paradoxe de cet accolement contre-intuitif se résout complètement si l’on voit dans la revendication de l’« agilité » l’expression d’un désir du capital de jouir de latitudes indéfiniment étendues, d’y manœuvrer entièrement à sa guise – d’être lui aussi, dans son ordre, souverain. L’agilité, la souveraineté, deux manières de dire, chacune dans leur domaine, le désir des puissances de s’exercer sans la moindre contrariété, sans la moindre force de rappel institutionnelle, la détestation de toute limitation.
Il a fallu trois décennies de transformation profonde des structures économiques pour que le capital acquière la possibilité objective de faire ce qu’il veut, et la certitude subjective de sa toute-puissance. D’une toute-puissance l’autre, en quelque sorte. Celle du capital en miroir de celle de l’État. Et en quel personnage mieux qu’en Macron, fondé de pouvoir du capital (6), devenu zinzin à se prendre pour un roi de France, ces deux formes de la souveraineté absolue pouvaient-elles mieux se rejoindre, fusionner même ? L’absolutisme politique donne alors la main à l’absolutisme économique, l’aide à mieux s’accomplir, lui ouvre la voie juridique à coups d’ordonnances, et dégage les oppositions en faisant donner les cogneurs « agiles » du cabinet privé.
Les « barragistes » ont vraiment bonne mine.
Frédéric London
Et sa déclaration de mardi soir, au milieu de ses proches, prenant sur lui toute la responsabilité de l'affaire, ajoutant, bravache, "Qu'ils viennent me chercher !" se sachant hors d'atteinte, constitue la provocation la plus évidente à l'égard des Commissions d'enquête parlementaires, mais surtout des Français. 
 
Note de Pedrito
"Macron, fondé de pouvoir du capital, devenu zinzin à se prendre pour un roi de France.... " J'ai beaucoup apprécié. Et la suite est limpide, savoureuse, seuls les esclaves, les gogos et bobos divers ne voient que du feu dans le numéro de cirque de leur président des riches....Et applaudissent comme des pauvres malades le petit chef aux abois. Comment peut-on rester macroniste, ou macronien, c'est comme l'on veut, lorsqu'on a tant soit peu la fibre républicaine? Cet absolutisme politique qui donne la main, et la nourrit, à l'absolutisme économique, lui-même fruit des banques, de l'ENA et des énarques énamourés de fric et des dictateurs: rien qui ne gêne ces néo politiciens? Les vieux milliardaires qui forment la cour du roitelet, je veux bien, Macron est là pour remplir et protéger leur mangeoire, mais ces jeunes, élus pour rénover la politique: elle ne sent pas le moisi, le rance, le pourri, cette politique du "je veux", "je le veux", je suis le seul responsable, et je fais ce que je veux, parce que je suis au-dessus de vous tous, et  je ne rends des comptes qu'à qui je veux et quand je veux? 
Macron n'a pas parlé aux Français, il s'est adressé mardi soir à son clan! "Qu'ils viennent me chercher!!!" Son numéro de com. était irréel, pitoyable. Il me semblait entendre "Casse toi, pov con!" "Descends, si t'es un homme"! 
Les petits chefs se suivent et se ressemblent. Celui-ci a perdu tout sens de ses responsabilités. Dans le silence assourdissant de la gauche anesthésiée par 40 ans de pouvoir socialiste et de droite .....En alternance....


MACRON, FILLON,
MÊME ATTENTAT À L’IMPUDEUR.
Ariane Walter

mercredi 25 juillet 2018, par Comité Valmy

Affaire Benalla : la grande manipulation

MACRON, FILLON, MÊME ATTENTAT À L’IMPUDEUR.

Que ce soit « le Monde » (baptisé « L’immonde » par certains), qui ait tiré la première salve, le premier boulet que la Macronie s’est pris en plein bide, voilà qui est la première surprise.
C’était leur chouchou. Et soudain, c’est l’homme à abattre. Par l’intermédiaire d’Ariane Chemin, ils mènent une enquête que personne ne leur demande et qui révèle que le CRS violent du 1 mai, déjà vu sur les réseaux sociaux, est le garde du corps de Macron : Alexandre Benalla.
Et à partir de là, comme pour Fillon, chaque jour, on serait tenté de dire chaque heure, apporte sa révélation.

La presse joue même avec les nerfs de la Macronie, les laissant organiser le mensonge pour aussitôt le jeter à terre. Ainsi, le ridicule Bruno Roger-Petit n’a pas fini de dire que la punition de Benalla a été terrible, qu’il a été mis à l’écart, qu’on le trouve partout.
Le 14 juillet, au Panthéon et même, éveil d’un souvenir saumâtre, lors de l’accueil des Bleus qui ont battu, ce jour-là, le record en vitesse pure de la descente des Champs-Elysées.
Et puisqu’il s’agit de photos, en voici, en voilà : au ski, au tennis, en vélo, collés l’un à l’autre. Normal. C’est son garde du corps.
Les allusions que se permet la presse laissent supposer qu’ils ont aussi reçu quelques photos qu’ils attendent de sortir.
Et ce n’est pas fini !

- Logé au quai Branly !

- 10 000 euros/mois !

- Voiture de fonction avec tout l’arsenal de la flicaille.

- Et chauffeur !

- Et badge d’entrée à l’Assemblée Nationale !
Mais quelle est la finalité de tout ce déballage ?
Toute la presse qui soutenait Macron le noie. Ce sont donc ceux qui ont mis Macron sur le trône qui veulent qu’il en descende. Qui l’a mis sur le trône ? La clique qui a perdu Washington et qui a voulu se consoler en enlevant Paris. Israël, bien sûr, (même si Israël jouait à la fois Clinton et Trump) l’Europe des banques et des grosses boîtes, la cruelle GB, et la clique des Wasp US.
Macron a été choisi par Rothschild, et leur succursale : Bilderberg. François Henrot, directeur à la banque Rothschild, est allé jusqu’à dire, dans une interview, que Macron était d’une intelligence extraordinaire et qu’il savait « raconter des histoires »…heu… « une histoire »…Ce lapsus révélant la bêtise crasse de ceux prétendent diriger le monde. Sois discret quand tu parles magouilles à la télé !!
Manque de bol, leur petit génie, qui a dû être obéissant en son temps, s’est révélé ingérable une fois au pouvoir. Cela arrive souvent.
Première lubie du morveux : imiter les US avec leur Etat profond. Leur CIA bis. Il veut sa police à lui pour se protéger et faire ce qu’il veut. Il s’imagine en prince de l’Europe, en roi du monde, en empereur de la galaxie alors que ce n’est qu’un débile hystérique qui va se noyer tout seul.
Ce que nous nous avons ignoré jusqu’à présent, l’existence de ce Benalla dans sa vie privée et son rôle de spadassin brutal et stupide, bien d’autres devaient le savoir. Pour qui travaille Benalla ? Quand on parle de sécurité privée, on sait qu’il y a beaucoup de chances pour qu’Israël soit dans le coin. Benalla est-il l’agent d’Israël ? Du Maroc ? De la CIA ? De Poutine ?
Et l’autre enfumé qui joue les rois du monde avec sa douairière.
Mais les détails ont aussi leur importance.
Ce qui nous irrite a dû en irriter d’autres. Les discours pédants, les embrassades gluantes, l’exhibitionnisme gênant, la fête de la musique avec « Lèche-moi les boules », puis les scènes à la « Brokeback mountain » lors de la finale, la fureur des supporters des Bleus privés de leur rencontre avec les vainqueurs !
Ce mec est d’une impudeur gênante.
Mais bon…
Qu’a-t-il fait pour que les big boss décident de l’abattre ?
Je propose les solutions suivantes :

- 1 Pas foutu de faire des réformes sans mettre le feu à la France. Et les grosses boîtes en ont marre d’une agitation qui doit commencer à leur coûter chaud. Les affaires sont les affaires. La rentrée commence à les inquiéter. Minc et Pinault ont traduit les frissons des gros pontes.

- 2 Il a dû irriter Israël en n’arrivant pas à faire obéir Trump. Ah ! Pour rigoler, il est bon, mais le résultat de ses voyages, zéro. Trump, très habile ce Trump, laisse tomber la guerre en Syrie. Ce ne sont que quelques sbires qui s’agitent, envoyés de l’État profond, mais Poutine a gagné la guerre de Syrie. Israël est vert. Macron, par ailleurs, a refusé de reconnaître Jérusalem comme capitale. Grosse faute !

- 3 Il bosse avec Poutine en Syrie et participe à la livraison de matériel humanitaire. Faute fatale.
Plus d’autres bricoles. Il a peut-être baisé le petit copain-pine d’un grand de ce monde et l’autre jaloux, veut sa peau. Les grands effets ont parfois de petites causes.
Va-t-il s’en sortir ?
Non.
Pas plus que Fillon.
La mafia des puissants l’a dans le collimateur et ne le lâchera pas. On se souvient d’une certain Benoît XVI qui, lui aussi, a été pris à la gorge brusquement.
Macron voulait inventer sa mafia.
Mais c’est la Mafia majuscule qui lui rappelle qu’il est minuscule et le bouscule jusqu’au tombeau.
Plus jamais cet avorton ne pourra reprendre la parole au nom de la France. Et les révélations ne font que commencer.
À mon avis c’est un scénariste de Netflix qui a été engagé sur ce projet et la première saison risque d’être chaude !!
Pendant ce temps, Poutine règne …Il ramassera peut-être Macron comme il a ramassé Erdogan, après son attentat, si cela est utile à sa politique.
Mais Macron est décidément trop puéril, trop mégalo, trop psychopathe.
Oui, qu’il disparaisse, c’est le mieux.
Pour tout le monde.
En tout cas, président de la République Française.
Non. Plus jamais.
Impossible.
Merci à ceux qui l’abattent même s’ils sont nos ennemis.
Mais allez jusqu’au bout !
Ariane Walter
23 juillet 2018

SA SUFFISANCE L'UNIQUE RESPONSABLE DOIT DÉMISSIONNER !

De mieux en pire

Publié le 25 Juillet 2018

Du mépris vers la forfaiture
De mieux en pire
Un type, disposant d'un blanc seing du chef de l'État, se conduit comme un mercenaire milicien. 
Il est pour cela rattrapé par la justice qui ouvre instruction et le met en examen.
Qu'ils l'aient ou pas élu, les Français attendent des explications de celui qui ne cesse de dire qu'il détient d'eux sa légitimité.
Tel il y a 50 ans De Gaulle partant à Baden-Baden chercher légitimité, notre Tartarin du Touquet Paris Plage fait de même... à la maison de l'Amérique latine.
Par ailleurs président d'une des principales puissances de la planète, historiquement reconnue pour ce qu'elle a apporté à la communauté humaine en matière de liberté de démocratie, ce chef, devant les caméra et sa camarilla, rend hommage à l'usurpateur de fonction et semeur de violence. Il fait applaudir ce délinquant majeur par les membres de sa garde rapprochée.
Il conclue par une provocation s'affichant hors d'atteinte des lois et de la vindicte qu'il sème avec ce "venez donc me chercher" qui va rester dans l'histoire au même niveau du "descend si t'es un homme" de Sarkozy.
Ce Président est-il encore dans le cadre constitutionnel ?
N'agit-il pas plutôt comme une sorte de proconsul justifiant cet appellation qui elle reste contrôlée de Manu El Monarc ? 
N'y a-t-il pas là de quoi saisir la Haute Cour de la République ? 

Note de P. 
Le titre est de moi.
Mais qui est capable de saisir la Haute Cour? Les socialistes, qui l'ont installé sur le plus haut perchoir et nous ont mené dans le mur  de "l'alternance "? La droite, Les Ciotti et consorts, qui ont tenté - et continuent - de blanchir toutes les crapuleries de Sarko, Chirac, Dassault, etc....? Le FN? Aussi gangrené par le fric que les autres, le fascisme en plus! 
Qui? Le PC ?  Il est est inaudible! 
Au moins, puisque sa suffisance le petit monarque provocateur qui se croit au-dessus, des lois de la République, pense nous impressionner et nous la ferme fermer en prétendant qu'il est le seul responsable, puisqu'il couvre tous les fusibles irresponsables,  qu'il démissionne! 
OUI! Qu'il démissionne, le cartel des milliardaires européens lui trouvera vite un remplaçant. Et la vie politique s'en trouvera un peu assainie.