samedi 15 février 2020

par Oufkir et le Mossad (...)

Mehdi Ben Barka « enterré sous le musée
Louis Vuitton » par Oufkir et le Mossad
par @yabiladi fr

samedi 15 février 2020, par Comité Valmy

Mehdi Ben Barka à Nagasaki avec Claude Beaulieu et un camarade congolais quelques mois avant son assassinat.

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Mehdi Ben Barka « enterré sous le musée
Louis Vuitton » par Oufkir et le Mossad

Le Mossad a permis aux services secrets marocains, en 1965, de piéger l’opposant socialiste Mehdi Ben Barka et de l’emmener à Paris. C’est ce qu’a déclaré, la semaine dernière, le journaliste au New York Times et investigateur israélien Ronen Bergman, auteur de « Lève-toi et tue le premier : l’histoire secrète des assassinats ciblés commandités par Israël ». Un livre qui a été publié aux éditions Grasset, rapporte la radio Europe 1.
« Le service de renseignements du Maroc a rendu un service énorme aux Israéliens en donnant au Mossad la capacité d’écouter les conversations les plus secrètes des dirigeants arabes », a affirmé le journaliste au micro d’Europe 1, expliquant que le Maroc voulait « quelque chose en échange, car dans le monde du renseignement, il n’y a rien de gratuit ».
Bien qu’il réfute toute implication du Mossad dans l’enlèvement et la torture de l’opposant socialiste au roi Hassan II, il précise que les services secrets d’Israël auraient « aidé les assassins à se débarrasser du corps ». Et de préciser que le corps de Ben Barka aurait été « enterré sous ce qui est aujourd’hui le musée Louis Vuitton, dans le bois de Boulogne ».
En d’autres termes, l’écrivain affirme que l’opération de tuer le leader de la gauche marocaine a été réalisée en contrepartie des services rendus par le Maroc au Mossad, lors du sommet de la Ligue arabe, tenu à Casablanca du 13 au 18 septembre 1965.
Le livre de Ronen Bergman revient sur le rôle déterminant joué en son temps par l’Etat hébreu dans l’élimination physique du principal opposant au roi Hassan II, le 29 octobre 1965 à Paris.
En février 2018, le journaliste avait déclaré que les assassins de Ben Barka, assistés par le Mossad, auraient « porté sa dépouille jusqu’à une forêt ». « Il l’ont jetée dans un trou profond qu’ils ont recouvert de terre et d’un produit chimique destiné, dès la première pluie, à la dissoudre », explique-t-on.
13 février 2020
Blog Comité Valmy

QUE RESTERA-T-IL À JUPITER, SI MÊME LES PREMIERS DE CORDÉE S'ENFONCENT DANS LA GADOUE?

5 Février 2020
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Comme le dit si bien mon camarade Guy Hervy pour Benjamin Griveaux, pris dans une vidéo dite spéciale, je reprends ces propos:
"Il faut bien le constater, quand ça veut pas, ça veut pas.
Non content de se faire remonter les bretelles par le Conseil d’État, puis dans la foulée, par le conseil constitutionnel, après ce misérable atterrissage de fortune à propos du congé pour enfant décédé, après l’accueil glacial en vallée de Chamonix, puis au retour la ruade de l’INSEE, voilà maintenant et dans un contexte des plus glauques que pour un des valeureux Rastignac de la macronie conquérante, Paris c’est fini.
Quand tout s’effondre devant soit et s’effrite toujours plus sous les pas, c’est que cela ne marche plus, un peu comme si le produit phare tête de gondole était devenu matière politique et institutionnel le symbole de l’obsolescence programmée."
J'ai bien entendu le chœur des vierges en politique politicienne bramer de ne pas mélanger vie publique et vie privée. La clique politicienne se défend comme elle peut, elle qui agit gravement depuis trop longtemps dans le quotidien de notre vie privée.
De quoi s'agit-il en fait? Benjamin Griveaux, ancien ministre de Macron, quitte son fauteuil de porte-parole du gouvernement et redevient député de Paris. Il est le candidat chouchou de la majorité présidentielle pour les prochaines municipales à Paris. Il se présente en bon père de famille et en père la morale. Normal, pour être le maire de la capitale de la République française.
Et puis, pam sur le pif, -pour rester correct-, une vidéo interdite au moins de 16 ans circule sur les zéros sociaux. Tellement, que le coup frappa si près -sans jeu de mot- que Benjamin Griveaux tomba par terre. Sans que ce ne soit la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau sans que ce ne soit non plus la faute à Rousseau. Parce qu'après tout, Benjamin Griveaux n'est pas le perdreau de l'année, il est majeur et vacciné, et dans la politique politicienne depuis des lustres.
Mais je reprends une fois de plus les propos de mon camarade Guy Hervy: "Bon et si on revenait aux choses sérieuses ?
Luttes sociales retraites, casse des services publics, safari anti-jeunes, violences policières et autres événements hélas non obsolètes, subissant un développement durable, et qui comptent bien plus que les désarrois érotico-glandulaires d'une jeune pousse transfuge du PS, Rastignac en déroute de la Macronie ?"
Et permettez-moi de conclure par ce dessin, pris sur le net:
Municipales à Paris: la débandade du chouchou de l'Elysée et le chœur des vierges en politique politicienne