L’ÉCOLOGIE POLITIQUE EST UN LEURRE
Il est de bon ton dans une certaine gauche de reprendre les thèmes les plus éculés d’une écologie passéiste. Car cela fait tendance, de se réclamer du « développement durable » et de prôner la décroissance sans jamais mettre en cause le capitalisme.
NE JAMAIS REMETTRE EN CAUSE LE CAPITALISME !!!
Sous peine de passer pour des ringards, face aux modernistes ….
Tiens ! Bizarre….. On entend le même discours en tauromachie ! « Modernes » contre « puristes » toristas !!
Mais ne quittons pas le sujet : par exemple, n’avons-nous pas récemment entendu sur les « medias » aux ordres de la pensée unique sous toutes ses variantes un dirigeant écologique picard, devant une assemblée du Medef (!!!!), expliquer comment le label « développement durable », pouvait devenir source d’affaires et donc de profits ?
L’écologie politique développe en général une idéologie du passé, en ce sens qu’elle fige les capacités de la société à résoudre ses problèmes, en agitant des démons comme : les déchets nucléaires, les dérèglements climatiques, la production alimentaire industrielle. Trop souvent, ces thèmes sont l’objet de campagnes qui se fondent certes sur des réalités, mais qui développent l’argument selon lequel les nouvelles technologies et les sciences seraient responsables des problèmes rencontrés.
Or, justement, c’est le contraire, et c’est bien parce que l’humanité consacre la moitié de ses richesses à L’ARMEMENT, que la production est destinée essentiellement et presque EXCLUSIVEMENT à l’accumulation financière du capital, que les richesses ne sont pas consacrées autant qu’elles devraient l’être pour la recherche du développement. Par exemple, Génération Écologie et les Verts hurlent contre les déchets nucléaires. Mais les déchets sont là ! Ils existent ! Et il faut arrêter d’agiter un épouvantail qui ne règle pas ce problème.
Pourquoi ne pas penser plutôt que ces déchets pourraient, grâce au développement de la recherche, être traités de telle sorte qu’on en diminuerait la nocivité, et surtout on pourrait diminuer la DURÉE de leur radio activité. (Voir ci-dessous l’article du C.N.R.S.)
Certains chercheurs envisagent même de les transformer en matière utile à d’autres applications. C’est plus sage que de distiller la peur, qui n’a jamais un moyen pour faire progresser la démocratie, si ce n’est pour certains politiciens servir à rassembler des voix de gogos déboussolés, le temps d’un scrutin.
UN REACTEUR « MYRRHA… CULEUX »
(Article du C.N.R.S.)
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© SCK*CEN/Mol & CNRS/IN2P3/IPN Orsay
Le projet Myrrha pourrait donner naissance à un nouveau système nucléaire capable de transmuter les déchets radioactifs.
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La transmutation fait aussi partie des axes de travail privilégiés par le programme Pace. Mais en parallèle, le CNRS s'est lancé, en collaboration avec le Centre d'étude de l'énergie nucléaire belge (SKC-CEN), dans le projet Multi-purpose hYbrid Research Reactor for High-tech Applications (Myrrha). Objectif : réaliser le premier représentant d'un nouveau système nucléaire dont un des buts principaux est de transmuter les déchets radioactifs. Dans un réacteur classique, la fission d'un noyau bombardé par des neutrons libère un neutron qui, à son tour, fissionne un autre noyau et ainsi de suite : on parle de réaction en chaîne. Dans le nouveau système ADS (Accelerator Driven Systems), une source de neutrons – un accélérateur de particules – est extérieure au réacteur, ce qui permet de mieux maîtriser la réaction en chaîne. De fait, ce réacteur dit « sous-critique » est très flexible et contrôlable, un gage de sa sûreté. De plus, l'ADS permet, de façon contrôlée, de transmuter les déchets hautement radiotoxiques, autrement dit de transformer des isotopes à vie longue en d'autres à vie plus courte, voire stables. Ainsi, les actinides mineurs qui ont des durées de vie de centaines de milliers d'années y seraient transmutés en fragments de fission à vie beaucoup plus courte, environ cent ans. Bilan de l'opération : une réduction immédiate de la toxicité des déchets à long terme et donc une réduction du temps de stockage.
Il est de bon ton dans une certaine gauche de reprendre les thèmes les plus éculés d’une écologie passéiste. Car cela fait tendance, de se réclamer du « développement durable » et de prôner la décroissance sans jamais mettre en cause le capitalisme.
NE JAMAIS REMETTRE EN CAUSE LE CAPITALISME !!!
Sous peine de passer pour des ringards, face aux modernistes ….
Tiens ! Bizarre….. On entend le même discours en tauromachie ! « Modernes » contre « puristes » toristas !!
Mais ne quittons pas le sujet : par exemple, n’avons-nous pas récemment entendu sur les « medias » aux ordres de la pensée unique sous toutes ses variantes un dirigeant écologique picard, devant une assemblée du Medef (!!!!), expliquer comment le label « développement durable », pouvait devenir source d’affaires et donc de profits ?
L’écologie politique développe en général une idéologie du passé, en ce sens qu’elle fige les capacités de la société à résoudre ses problèmes, en agitant des démons comme : les déchets nucléaires, les dérèglements climatiques, la production alimentaire industrielle. Trop souvent, ces thèmes sont l’objet de campagnes qui se fondent certes sur des réalités, mais qui développent l’argument selon lequel les nouvelles technologies et les sciences seraient responsables des problèmes rencontrés.
Or, justement, c’est le contraire, et c’est bien parce que l’humanité consacre la moitié de ses richesses à L’ARMEMENT, que la production est destinée essentiellement et presque EXCLUSIVEMENT à l’accumulation financière du capital, que les richesses ne sont pas consacrées autant qu’elles devraient l’être pour la recherche du développement. Par exemple, Génération Écologie et les Verts hurlent contre les déchets nucléaires. Mais les déchets sont là ! Ils existent ! Et il faut arrêter d’agiter un épouvantail qui ne règle pas ce problème.
Pourquoi ne pas penser plutôt que ces déchets pourraient, grâce au développement de la recherche, être traités de telle sorte qu’on en diminuerait la nocivité, et surtout on pourrait diminuer la DURÉE de leur radio activité. (Voir ci-dessous l’article du C.N.R.S.)
Certains chercheurs envisagent même de les transformer en matière utile à d’autres applications. C’est plus sage que de distiller la peur, qui n’a jamais un moyen pour faire progresser la démocratie, si ce n’est pour certains politiciens servir à rassembler des voix de gogos déboussolés, le temps d’un scrutin.
UN REACTEUR « MYRRHA… CULEUX »
(Article du C.N.R.S.)
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© SCK*CEN/Mol & CNRS/IN2P3/IPN Orsay
Le projet Myrrha pourrait donner naissance à un nouveau système nucléaire capable de transmuter les déchets radioactifs.
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La transmutation fait aussi partie des axes de travail privilégiés par le programme Pace. Mais en parallèle, le CNRS s'est lancé, en collaboration avec le Centre d'étude de l'énergie nucléaire belge (SKC-CEN), dans le projet Multi-purpose hYbrid Research Reactor for High-tech Applications (Myrrha). Objectif : réaliser le premier représentant d'un nouveau système nucléaire dont un des buts principaux est de transmuter les déchets radioactifs. Dans un réacteur classique, la fission d'un noyau bombardé par des neutrons libère un neutron qui, à son tour, fissionne un autre noyau et ainsi de suite : on parle de réaction en chaîne. Dans le nouveau système ADS (Accelerator Driven Systems), une source de neutrons – un accélérateur de particules – est extérieure au réacteur, ce qui permet de mieux maîtriser la réaction en chaîne. De fait, ce réacteur dit « sous-critique » est très flexible et contrôlable, un gage de sa sûreté. De plus, l'ADS permet, de façon contrôlée, de transmuter les déchets hautement radiotoxiques, autrement dit de transformer des isotopes à vie longue en d'autres à vie plus courte, voire stables. Ainsi, les actinides mineurs qui ont des durées de vie de centaines de milliers d'années y seraient transmutés en fragments de fission à vie beaucoup plus courte, environ cent ans. Bilan de l'opération : une réduction immédiate de la toxicité des déchets à long terme et donc une réduction du temps de stockage.
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