Sur le blog de la Brega, un certain courageux « anonyme » m’invective, de manière évidemment abjecte, comme savent le faire les lâches : il bave sur les gueulards, sur le « vomi de ma déception » (sic), suite à mes écrits sur la corrida d'ORTHEZ.
J’eusse aimé que la méthode de ce personnage soit traitée de la manière dont il se comporte: à propos anonymes orduriers, destination poubelle.
A croire que sa saloperie ....
J’eusse aimé que la méthode de ce personnage soit traitée de la manière dont il se comporte: à propos anonymes orduriers, destination poubelle.
A croire que sa saloperie ....
Mais comme çà ne lui suffit pas, à moins qu’il ait voulu en rajouter une couche chez le même hôte et que cette fois-ci on l’ai enfin éconduit, il m’envoie un torchon sur ma boite mail, à publier.
A nouveau, obsédé par le vomi que j’aurais déversé contre un Velasco, - il me ressert une seconde fois ce terme délicat-, il m’insulte, promet de venir me saluer un jour pour « m’exposer ses sentiments » (sic), et « salue mon aficion » (resic).
Pas plus, ni moins. Un peu bizarre !
Mais les comportements de ce genre de créature, c'était aussi la méthode des cagoulards de sinistre mémoire, ceux qui pendant la guerre dénonçaient à l’occupant les dangereux communistes, les anarchistes, et tous les terroristes résistants: aujourd’hui, planqués derrière leur clavier, les mêmes courageux accusent et salissent ceux dont idées et écrits ne leur conviennent pas, ceux qui les dérangent, parce qu’ils osent émettre publiquement des avis différents des leurs.
Il est évident que je me contrefous que ce morucho salue mon aficion. Parler dans mon dos c’est parler à mon cul. Même quand on ne partage pas les mêmes idées, j’aime les gens qui n’ont pas peur de dire en face ce qu’ils pensent et ressentent, et çà ne m’empêche pas de les apprécier, jusqu’à les aimer.
Mais les saloperies de certains malades, que je n’envie pas, j’ai connu, çà ne m’impressionne pas, et j’ai mieux à faire que d’être sali puis salué par des mansos sans caste.
Mais les comportements de ce genre de créature, c'était aussi la méthode des cagoulards de sinistre mémoire, ceux qui pendant la guerre dénonçaient à l’occupant les dangereux communistes, les anarchistes, et tous les terroristes résistants: aujourd’hui, planqués derrière leur clavier, les mêmes courageux accusent et salissent ceux dont idées et écrits ne leur conviennent pas, ceux qui les dérangent, parce qu’ils osent émettre publiquement des avis différents des leurs.
Il est évident que je me contrefous que ce morucho salue mon aficion. Parler dans mon dos c’est parler à mon cul. Même quand on ne partage pas les mêmes idées, j’aime les gens qui n’ont pas peur de dire en face ce qu’ils pensent et ressentent, et çà ne m’empêche pas de les apprécier, jusqu’à les aimer.
Mais les saloperies de certains malades, que je n’envie pas, j’ai connu, çà ne m’impressionne pas, et j’ai mieux à faire que d’être sali puis salué par des mansos sans caste.
Anonymes car lâches.
6 commentaires:
Pedrito,
Tu sais que je ne censure jamais les commentaires!
mon cher pedrito je pense que ton couard d'anonyme et le même que celui qui nous insulte sur campos y ruedos, il a laissé un commentaire (le 13°) sous l'article sur orthez fais par tendido 69.
C'est gens la, a mes yeux n'existe même pas, juste bon a cracher sur les autres,tout en prenant bien soin de rester dans l'ombre.
Salut Pedrito,
J'ai lu le commentaire de l'anonyme sur le blog de X. Klein et, franchement, ce genre de propos ne doit même pas être relevé (XK a raison de ne pas censurer) !
Le silence est la seule méthode à opposer à cela ... Même et surtout s'il pollue votre boite mail (un simple clic l'envoie en "liste rouge" et basta !)
Bien à vous, aficionado de verdad (et ne tenez pas compte des imbéciles qui agressent sans arguments, cela n'a aucun intérêt !)
StrummerRiot.
De la graine martyr.
Quoi que.
De la graine de plaignant au tribunal plutôt.
JPc
ben mon pedrito!
tu ne doutes pas un seul instant que je souscris à ce que tu dis.
le peu que j'ai vu des dolores sur le net, ne me déplzaisait pas franchement, question toros. mais nous savons tous que la video est trompeuse.
comme tomas à valence, je l'ai vu bon ou franchement bon à la cape, des débuts de faena de muleta, intéressants, toujours ce "rythme" inimitable. Mais aussi trop d'accrochages de muleta. bon je sens que je vais encore me faire engueuler, mais avec un ami aficionado, je me demande si la corrida c'est bien se mettre soi même en difficulté, en bafouant trop les terrains.
bien à toi "compadre"!
Bizarre que cet "anonyme" soit à ce point perturbé, vindicatif, agressif envers ceux qui résistent- par les seuls moyens qui leur restent- au mal qui mine la fiesta : car ce qui le dérange, ce n'est pas la dégénérescence jusqu'à la casi domestication des tazureaux de combat, ce n'est pas non plus que l'ensemble du monde taurin, du moins la plupart de ses acteurs, se fourvoie dans une voie sans issue, en abandonnant l'un après l'autre les fondamentaux de la corrida, pour les remplacer par un simulâcre de spectacle light, avec des taureaux qui ne sont plus des animaux braves et sauvages. Tant pis si la lidia est remplacée par une quirielle de capotazos approximatifs, idem pour certains banderilleros qui courent avec leurs harpons vers le cul de l'animal alors qu'il leur tourne le dos, et ne parlons même pas des piques, ce mal récurrent de l'"épreuve de bravoure," où "tous les sales coups sont permis", les huissiers qui non seulement ne remplissent pas leur rôle, mais qui plus est dans leur éthylisme avancé, se permettent des gestes obscènes vers le public mécontent de leur passivité.
Non: cet anonyme, ce qui le choque, çà n'est pas que la corrida soit moribonde, c'est que des gens s'insurgent, râlent, protestent, crient, selon les rites séculaires de la corrida, contre ce qu'ils estiment contraire à l'éthique de la fiesta brava.
Contre ce mal qui la tue.
Ce type court de la BREGA à CYR, pour insulter ANONYMEMENT les défenseurs de la corrida. Jusqu'à l'adresse mail de Pedrito.
Con et dangereux
Merci, Pedrito, de bien vouloir lui transmettre mon message.
FRENTE A LOS COÑOS
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