vendredi 12 août 2011

QUELQUES CLICHÉS DE PARENTIS

En haut, au milieu du palco, le guignol que je côtois depuis 30 ans mais qui ne m'a jamais accordé un regard, il ne salue sans doute que ses pairs, ceux de la caste qu'il croit représenter, il trône comme un matamore, se prend pour une star, comme en recèle le petit monde des m'as-tu-vu de la corrida, ne sait ni apprécier, ni compter.
Vaya aficion de mierda

























































































































































































PARENTIS EN BORN 2011















PARA






EL






RECUERDO













































































































































































7 commentaires:

Bernard a dit…

Pedrito,

Quel plaisir de lire, par tes commentaires sans concession, combien l'ADA de Parentis a de nouveau répondu à l'attente de l'aficion!... Nous n'avons pu en être - et le savions d'avance, pour motif de gardiennage de petits-enfants!...

Mais l'an prochain, si Dieu le veut et que nous négocions mieux le calendrier avec les parents...

Merci à l'ADA - par ton truchement,

Suerte - Bernard "Largo campo"

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup la photo du novillo qui, face au cheval, a posé son sabot sur un capote.
Il est le roi du ruedo à ce moment-là !
StrummerRiot.

pedrito a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
pedrito a dit…

Merci à tous, qui m'honorez de vos visites et de vos commentaires. Je suis un aficionado encore plus comblé.
Et çà compte....

pedrito a dit…

J'ai oublié, StrummerRiot,
effectivement le novillo qui a posé son sabot sur le capote était à ce moment-là le roi du ruedo, c'est symbolique, parce que lui et ses frères sont restés les maitres du rond durant toute la course, ils ont pesé de leur caste beaucoup plus qu'ils n'ont été dominés

Anonyme a dit…

Tanguy !!!
insoportable pajaro tipo "yo soy" de primera. hasta se crei cineasta. que Orzon Güe se vuelca en su tumba. me alegra que no te saludas , camarada, este cateto.
abrazo.

Bebes Matalahuga

pedrito a dit…

Encantado de leer tàl commentario, Bebes Matalahuga: que suerte tienes de siempre beber sin nunca ser ebrio.
La desgracia es que los "yo soy" como este coño de Tanguy son muy muy numerosos, se consideran el ombligo del mundo: y no saben que nosotros aficionados les tomamos como payasos.
Abrazo