jeudi 1 novembre 2012

EN ESPAGNE COMME EN FRANCE, INDULTO RIME AUSSI AVEC INSULTO


 INDULTO= INSULTO
(L' INDULTO EST UNE INSULTE A L' AFICIÒN)

C'est le cri du coeur d'un aficionado de verdad: chaque jour, ou presque, sur son blog "DE JABUGO Y OROS", l'excellent FERNANDO NARANJO DURAN publie ses petits pamphlets sous forme de poèmes taurins, ou l'humour n'a d'égal que le talent dont fait preuve le sympathique jubilado - retraité - de BADAJOZ.

J'ai bien apprécié celui qui traite de l'indulto crapuleux.  Crapuleux, on ne le dira jamais assez, parce que les toros n'ont jamais été aussi faibles, aussi nobles, aussi domestiqués, qu'aujourd'hui, et justement parce que on n'a jamais gracié autant de ces pauvres animaux sans force, sans défense, ni sauvagerie, que de nos jours.
TOUS les indultos, absolument TOUS, résultent de combines fomentées depuis les callejons, par les taurinos eux-mêmes, secondés par leurs lèche-cul toujours prêts à se mobiliser pour assurer la claque et faire monter la pression des publics gogotisés: entre les vessies et les lanternes, sur les gradins, plus personne - ou PRESQUE - ne réagit face aux supercheries des maquignons et de leurs complices.
Les rares aficionados qui osent protester contre les magouilles pourtant évidentes sont qualifiés de pisse vinaigre par les tricheurs et leurs lèche culs: ainsi, on en vient à cette aberration où UNE FIGURA, FUT-ELLE RESPECTABLE, CHOISIT ELLE-MÊME DOUZE TORITOS NOBLISSIMES, PUIS EN CONSERVE SIX, POUR SON SOLO NIMOIS, JUSQU'A CET INDULTO THÉATRAL PROGRAMMÉ.
Quelques uns ont gagné ce jour-là beaucoup de fric. Mais la corrida, qu'a-t-elle gagné? A qui fera-t-on croire que la corrida spectacle sauvera la corrida combat?
En México y en España
se prodigan los indultos.
Para mí.. ! Taurino insulto!
Es una necia guadaña
hiriéndome en las entrañas
y a los pastos de bravuras
los siega sin composturas
indultando  al toro bobo
así nos comerá  el lobo
entre tantas  "confituras"

Fernando naranjo duran 22-10-2012

Au Mexique et en Espagne
On généralise les indultos.
Pour moi, ceci est une insulte des taurins
Une sottise grossière
Qui me crispe les entrailles
Et les prés pour le bétail brave
Sont fauchés avec pour seule préoccupation
Que de gracier leur demi toro
Ainsi le loup  nous mangera
Conséquence de leurs magouilles




¡ Enhorabuena, felicidades, señor Fernando ! 
Y que bonito pais que tu provincia. ¡ Viva EXTREMADURA !

Hoy, aqui, en Francia, nos falta la cadena de Merida, Badajoz, suprimida desde hace unos meses. Ya no sabemos porqué. Nosotros, aficionados galos, lo lamentamos mucho. 
¡ Que pena !




1 commentaire:

Anonyme a dit…

Salut Pedrito !

Vous vous êtes fait rare et je me réjouis de votre retour ...
Effectivement, l'indulto d'un toro ne veut plus rien dire puisque l'on ne gracie que des bestioles qui servent à la muleta ...
Les organisateurs de spectacles règnent mais, ils vont bientôt déchanter car le public en général semble avoir repris goût au toro-toro et à la lidia de verdad ... Y'a pas que Nîmes en France !
Bien à vous,
StrummerRiot.