mercredi 6 novembre 2013

LES ASSASSINS SONT A L'OEUVRE PARTOUT: MÊME AU MEXIQUE!




Ricardo López "El Cade".


TORERO CAMBRIOLÉ ET ASSASSINÉ AU MEXIQUE

Il s’appelait Ricardo LÒPEZ ALFARO " EL CADE".

Il avait 32 ans. C’était un torero, un matador, même si on en a peu parlé. Surtout pas dans la presse pipole à scandale des figurinas. Un "second couteau. Un sans grade, loin du cercle fermé des milliardaires filous des ruedos Il estoquait avec la main gauche. Un torero tout de même! Mexicain! Le MEXIQUE: un autre pays d'aficion! Où déjà il y a quelques semaines un autre sans grade, Juan Luis SILIS, a failli périr, sous la corne du toro, lui. ( Lire le texte de Florent, "Aficion a los Toros"))

Deux cambrioleurs s’étaient introduits dans sa maison de TLAJOMULCO L’infortuné torero originaire de VERA CRUZ a eu le tort de les surprendre chez lui dans leur sale besogne: il a reçu un coup violent sur la tête, asséné avec une arme ou un objet que la police n’a pas retrouvé à ce jour, et il a payé de sa vie sa rencontre avec ses agresseurs. Ses tueurs! Transporté en ambulance à l’hôpital de GUADALAJARA , il devait y décéder quelques heures seulement après avoir reçu de son assassin le ou les coups mortels.
Voler les modestes biens de Ricardo ne leur suffisait pas : ils lui ont aussi pris la vie. Comme çà ! Sans honte ni scrupule ! Ni regrets, évidemment.
Il semble qu’ils étaient deux : un homme et une femme, jeunes ! Que des voisins ont vu s’enfuir. « La femme est l’avenir de l’homme », chantait Jean FERRAT. Toutes les femmes ne ressemblent pas hélas, à ce symbole d’amour vénéré par Jean et ses fans. La preuve par ces innombrables crimes rapportés chaque jour par les médias, au cours desquels elles font autant preuve d’inhumanité que les hommes les plus cruels.

Pour la petite histoire, « El CADE » fit partie au début de sa trop brève carrière de l’équipe de Pablo Hermoso de MENDOZA. A ses côtés, il toréa environ 110 fois, il vécut à partir de 2003 dans la propriété du rejoneador navarrais. Il avait pris. l’alternative à San Andrés TUXTLA, - Vera Cruz, MEXIQUE- en février 2007, des mains de Alfredo RIOS « El CONDE », témoin Pablo de MENDOZA.

Hommage à ce torero inconnu, qui ne méritait pas le triste sort que d'infâmes ordures lui ont réservé.

Al hijo de puta que te mató, maestro, que se muere en el peor suffrimiento que se podria inventar....

¡ Adios, torero !

4 commentaires:

el Chulo a dit…

mon cher pedrito,
je ne comprends pas le "même au Mexique" que par ailleurs on peut apprécier pour certains cotes, et encore, mais qui reste un pays de rufians.

pedrito a dit…

Simplement parce qu'il m'arrive de rêver que les rufians justement qui sévissent partout, en Chine, en Russie, en Afrique, en Europe, aux USA....et même ailleurs, surtout chez nous, épargnent des pays et domaines qui me sont + chers que d'autres.
Et ce pauvre "CADE" dont on parle si peu méritait, à mon sens, un petit hommage.
Imagine que je meure sous les coups d'un tueur: qui le saurait? Imagine maintenant que cette chose arrive à Julian ou Manzanito: que de cris, de lamentations, de larmes et d'appels au meurtre?

el Chulo a dit…

oui mais c''est un autre problème ça! le Mexique reste très "insecure" comme on dit aux us

pedrito a dit…

Et moi je reste un grand enfant, naïf,....Merci pour tes visites, cher Chulo