Gracias a ti, David, de toda manera el viaje solo vale la pena, salir de la casa procura siempre su pequeño lote de placer, emoción, encontrar también aficionados tontos o locos, como mi, y pasar buenos juntos ratos Abrazo, gracias por tu visita
Mon cher Chulo, tu le sais aussi bien que moi, les hivers sont longs, interminables....Et les aficionados sevrés de ruedos si naïfs! Un retour à FITERO, après 14 ans,- sans compter la halte à Béhobie- çà me tentait plus que la braderie aux oreillettes de porcelaine de SAMADET (d'après les copains témoins et pourtant peu exigeants)
Si nécessaire, ce qui est probable, et s'il n'y a pas plus de monde que la dernière fois où j'y suis allé, on risque de m'entendre. Ce jour là, il y a 12 ou 13 ans, nous étions environ 400 (!!!) assis sur les gradins de cette placita navarraise, et parmi ces 400, nous étions une centaine de Français, évidemment agglutinés auprès des barreras, et nous parlions notre langue, bien sûr, et encouragions notre "poulain", qui ne pouvait pas NE PAS NOUS ENTENDRE!
De toute la corrida, il n'a pas eu un regard vers nous. PAS UN !!! Ni un signe!! RIEN !!! NADA !!!!
Au moins, samedi, à FITERO, il n'y aura pas le glaçon arlésien, comme le surnomme un ami aficionado de son pays
6 commentaires:
Espero que os emocionéis mucho y que el viaje valga la pena. Un abrazo, amigo Pedrito.
David Zamora
Gracias a ti, David, de toda manera el viaje solo vale la pena, salir de la casa procura siempre su pequeño lote de placer, emoción, encontrar también aficionados tontos o locos, como mi, y pasar buenos juntos ratos
Abrazo, gracias por tu visita
Quelle aficion, mon Pedrito!enseccinence
Mon cher Chulo, tu le sais aussi bien que moi, les hivers sont longs, interminables....Et les aficionados sevrés de ruedos si naïfs!
Un retour à FITERO, après 14 ans,- sans compter la halte à Béhobie- çà me tentait plus que la braderie aux oreillettes de porcelaine de SAMADET
(d'après les copains témoins et pourtant peu exigeants)
Mais quand même, du Juan Pedro!!!!
je plaisante, tu le sais!
Si nécessaire, ce qui est probable, et s'il n'y a pas plus de monde que la dernière fois où j'y suis allé, on risque de m'entendre. Ce jour là, il y a 12 ou 13 ans, nous étions environ 400 (!!!) assis sur les gradins de cette placita navarraise, et parmi ces 400, nous étions une centaine de Français, évidemment agglutinés auprès des barreras, et nous parlions notre langue, bien sûr, et encouragions notre "poulain", qui ne pouvait pas NE PAS NOUS ENTENDRE!
De toute la corrida, il n'a pas eu un regard vers nous. PAS UN !!! Ni un signe!! RIEN !!! NADA !!!!
Au moins, samedi, à FITERO, il n'y aura pas le glaçon arlésien, comme
le surnomme un ami aficionado de son pays
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