vendredi 25 juillet 2014

CORRIDA DE BARTOLOMÉ SANZ





 
FRASCUELO: MISE EN BOUCHE, AVEC "RELAMPAGO"

PIQUE CRAPULEUSE, LE PIQUERO VRILLE ET FERME LA SORTIE VERS LE CENTRE: POURTANT ON EST À CÉRET, ET NUL NE PROTESTE.

Su majestad el maestro


Et vint la leçon de toreria, d'art, de dominio, dont chacun se souviendra....
      ....et l'oreille de poids, incontestablement méritée. FRASCUELO: arte, valor, pundonor....
¡Gracias, maestro, por esos momentos inolvidables!





Les  conseilleurs d'Alberto: souvent aussi bruyants pétitionnaires, que médiocres peons. Bièènnn! Bièènnn!









Alberto LAMELAS, que l'on dit mort de faim. Mauvaise passe, sans doute.


Une demi d'école: Olé, pour le talentueux peon de brega d' Esaü FERNANDEZ
                                                                     



Esaü FERNANDEZ, lui aussi à la peine: pourtant, les Bartolomé SANZ n'étaient  surtout  pas des foudres de guerre: peu ou pas braves, nobles, sans beaucoup de ce jus qui transmet la peur et l'émotion. TOREABLES!! Mais on ne se bouscule pas pour venir toréer à CÉRET. Ne viennent que ceux qui ont faim de contrats. SURTOUT PAS LES FIGURAS, QUI N'OSERAIENT MÊME PAS PRENDRE LA ROUTE DU VALLESPIR !!


1 commentaire:

Maxime a dit…

Lamelas magistral ! Meilleur que Frascuelo à mon sens.
maxime