BAISSEZ VOTRE FROC, VOUS DEVIENDREZ FACILEMENT.....
JOURNALISTES..... ET REVISTEROS DES CALLEJONS
Vous serez journalistes.....Ou "revisteros"!
Revisteros: Vous savez? Ces gens qui écrivent sur le papier ou sur la toile pour les revues taurines inféodées au mundillo, le monde taurin seulement cupide pour la plupart, - éleveurs, empresas, jusqu'aux plus modestes organisateurs qui s'imaginent par leur présence visible pouvoir jouer dans la cour des grands, ils finissent tous ou presque par se se prendre le melon, et depuis les callejons, organisent la claque et imposent leurs peñas "CHHHHHHHHHHUUUUUTTTTTTT",- car seul compte le fric généré par la pseudo corrida, ils ne tolèrent les uns et les autres aucune critique d'aucun aficionado opposé à la corrida cirque, cette "fiesta circo" dénoncée régulièrement et honnie par nos frères espagnols aficionados a los toros .
Ceux qui vivent de la corrida, éleveurs, empresas, depuis des décennies, scient la branche sur laquelle ils sont assis, ils sont les acteurs coupables et responsables de la dégénérescence de la fiesta brava, de là-haut ils comptent leur oseille mal acquise, à élever des demi-toros domestiqués, et laissent faire leurs basses oeuvres par les seconds, les sans grade, ainsi que la plupart des photographes et "revisteros" autoproclamés ou adoubés par le système, communément qualifiés de "lameculos", ( du verbe "lamer"= lécher), squattent les callejons, en général le rôle de ces relais de la presse taurine sous contrôle consiste à passer la brosse à reluire dans le bon sens du poil, pour remercier les organisateurs, par leurs écrits élogieux, de les avoir autorisés à disposer d'une accréditation, ce sésame qui leur permet d'être vu de tout le monde, gratuitement, et donc de passer auprès des gogos assis sur les étagères pour quelqu'un d'indispensable au bon déroulement du spectacle.
Et les jeunes recrues du système font comme les anciens: au départ, on est conquis par leur audace, par leurs propos et leurs écrits qui tranchent avec la soumission au système des "journalistes spécialistes" que l'on connaissait.
Et puis, comme leurs ainés, ils finissent par rentrer dans le rang: ils obéissent, se couchent, ils ne donneront plus jamais un coup de pied dans la fourmilière, pour faire bouger un système véreux, leur impertinence disparait. Définitivement. Ils la gardent juste contre ceux qui au début leur faisaient confiance. Et qui, eux, ne trahiront jamais leur indéfectible aficion.
Revisteros: Vous savez? Ces gens qui écrivent sur le papier ou sur la toile pour les revues taurines inféodées au mundillo, le monde taurin seulement cupide pour la plupart, - éleveurs, empresas, jusqu'aux plus modestes organisateurs qui s'imaginent par leur présence visible pouvoir jouer dans la cour des grands, ils finissent tous ou presque par se se prendre le melon, et depuis les callejons, organisent la claque et imposent leurs peñas "CHHHHHHHHHHUUUUUTTTTTTT",- car seul compte le fric généré par la pseudo corrida, ils ne tolèrent les uns et les autres aucune critique d'aucun aficionado opposé à la corrida cirque, cette "fiesta circo" dénoncée régulièrement et honnie par nos frères espagnols aficionados a los toros .
Ceux qui vivent de la corrida, éleveurs, empresas, depuis des décennies, scient la branche sur laquelle ils sont assis, ils sont les acteurs coupables et responsables de la dégénérescence de la fiesta brava, de là-haut ils comptent leur oseille mal acquise, à élever des demi-toros domestiqués, et laissent faire leurs basses oeuvres par les seconds, les sans grade, ainsi que la plupart des photographes et "revisteros" autoproclamés ou adoubés par le système, communément qualifiés de "lameculos", ( du verbe "lamer"= lécher), squattent les callejons, en général le rôle de ces relais de la presse taurine sous contrôle consiste à passer la brosse à reluire dans le bon sens du poil, pour remercier les organisateurs, par leurs écrits élogieux, de les avoir autorisés à disposer d'une accréditation, ce sésame qui leur permet d'être vu de tout le monde, gratuitement, et donc de passer auprès des gogos assis sur les étagères pour quelqu'un d'indispensable au bon déroulement du spectacle.
Et les jeunes recrues du système font comme les anciens: au départ, on est conquis par leur audace, par leurs propos et leurs écrits qui tranchent avec la soumission au système des "journalistes spécialistes" que l'on connaissait.
Et puis, comme leurs ainés, ils finissent par rentrer dans le rang: ils obéissent, se couchent, ils ne donneront plus jamais un coup de pied dans la fourmilière, pour faire bouger un système véreux, leur impertinence disparait. Définitivement. Ils la gardent juste contre ceux qui au début leur faisaient confiance. Et qui, eux, ne trahiront jamais leur indéfectible aficion.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire