dimanche 31 décembre 2017



Pour cette année 2018, on ne verra hélas plus ces estocades engagées de Fandiño, mais on continuera à subir celles, ignobles du Juli.
Seul Ivan restera dans ma mémoire dédiée à l'art de combattre le toro.
Julian, lui, transforme hélas le desolladero en succursale de planches à billets.
Bonne année taurine à tous. Et que reviennent les bons toros. Car après tout, sans eux, il n'y a pas de combat réel tel que nous le concevons.

Note de Pedrito.
C'est D.G. qui m'a envoyé ce message: je ne résiste pas à vous le faire partager "in texto", tellement il est juste, le bon sens et la rigueur aficionados, comme que je les fais miens.
Merci à toi, et bravo pour cet hommage mérité à Ivan FANDIÑO, un torero macho, con casta, ànimo, y valor, tout le contraire du Juli, le chéri du mundillo et des ballots, celui  qui remplit les étagères et ses comptes bancaires en trichant.
Pour ceux qui en sont toujours à applaudir trop bruyamment les gestes et les pitreries  les plus indignes, ces deux images parlent d'elles-mêmes, NON ?
Qui se livre? Et qui d'ailleurs a payé cher son honnêteté dans les arènes de AIRE SUR L'ADOUR, en cette tarde tragique du 17 JUIN dernier?

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