« Dany le Rouge » a toujours été
plus libéral que libertaire. Il est le meilleur avocat du
capitalisme vert, l'homme dont le système a besoin pour imposer ses
fausses solutions à la crise. Entré chez les Verts par
opportunisme, sa course politique le rapproche peu à peu de la
droite décomplexée. Chantre de la mondialisation, enfant chéri des
médias, il allie superficialité et supercherie au bénéfice de son
hypernarcissisme participation à un groupement formé en vue de
commettre des violences ou dégradations. Pour la plupart, ils ont
été arrêtés avec des ciseaux, des pierres, des masses et des
masques dans leur sac. Mais ce qui étonne le plus, ce sont les
profils de certains d'entre eux, rapporte Franceinfo. L'un des
prévenus est un homme de 29 ans, diplômé de l'École Centrale,
consultant avec un salaire à 4 200 euros par mois. Son casier
judiciaire est vierge.
Parmi ces casseurs rrrrrévolutionnaires émules de "Dany le Rouge", arrêtés le soir du 1° MAI, beaucoup ont donné de fausses identités au moment de leur interpellation, raconte Franceinfo : "Vous vous appelez Anne ?", demande la présidente. "Non, j'ai menti : mon vrai prénom, c'est Andréa", répond-t-elle. Cette Française, fille de directeur financier, avait précédemment déclaré aux policiers qu'elle était Suédoise. L'un d'eux, fils de chercheur au CNRS, explique avoir donné un faux nom "dans la panique de la garde à vue". L'audience des six prévenus a été renvoyée au 30 mai.
Parmi ces casseurs rrrrrévolutionnaires émules de "Dany le Rouge", arrêtés le soir du 1° MAI, beaucoup ont donné de fausses identités au moment de leur interpellation, raconte Franceinfo : "Vous vous appelez Anne ?", demande la présidente. "Non, j'ai menti : mon vrai prénom, c'est Andréa", répond-t-elle. Cette Française, fille de directeur financier, avait précédemment déclaré aux policiers qu'elle était Suédoise. L'un d'eux, fils de chercheur au CNRS, explique avoir donné un faux nom "dans la panique de la garde à vue". L'audience des six prévenus a été renvoyée au 30 mai.
Comme Cohn Bendit, "Dany le Rouge", ce casseur gauchiste repeint en vert caca d'oie, et qui prétendait vouloir abattre le capitalisme en MAI 68, ces casseurs manipulés -ou autorisés en sous main- par le pouvoir, finiront comme papa ou maman, comme cadres supérieurs dans le commerce, la finance, loin, très loin, des fins de mois difficiles des salariés, qui eux, manifestent non pas pour casser le travail ou les voitures de ceux qui bossent, mais pour que leurs justes revendications sociales soient satisfaites.
(°)Ce ne sont pas les grévistes qui, par plaisir, font grève,
ce sont les agressions libérales, en rendant les métiers et les
vies impossibles, qui déclenchent les grèves. Les grèves ne
paralysent pas, au contraire elles débloquent des situations
intenables. Les grèves ne sont pas violences, au contraire elles
empêchent les surcroîts de violences qu’imposent aux salariés
ces dirigeants d’entreprise qui peuplent les ministères,
avant de repartir vers les directions d’entreprise ou de banque.
(°)Blog Le Grand Soir
Note de Pedrito: pour illustrer ce texte, voici l'image du "révolutionnaire" Cohn Bendit, le casseur de 68 qui prétendait vouloir "renverser le capitalisme", et fit échouer la vague du rassemblement populaire, cautionnant servilement 50 ans plus tard le Pdg ultra capitaliste de la République Française.
Note de Pedrito: pour illustrer ce texte, voici l'image du "révolutionnaire" Cohn Bendit, le casseur de 68 qui prétendait vouloir "renverser le capitalisme", et fit échouer la vague du rassemblement populaire, cautionnant servilement 50 ans plus tard le Pdg ultra capitaliste de la République Française.
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