samedi 5 mai 2018

LES ÉMULES DE DANY " LE ROUGE "

« Dany le Rouge » a toujours été plus libéral que libertaire. Il est le meilleur avocat du capitalisme vert, l'homme dont le système a besoin pour imposer ses fausses solutions à la crise. Entré chez les Verts par opportunisme, sa course politique le rapproche peu à peu de la droite décomplexée. Chantre de la mondialisation, enfant chéri des médias, il allie superficialité et supercherie au bénéfice de son hypernarcissisme participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou dégradations. Pour la plupart, ils ont été arrêtés avec des ciseaux, des pierres, des masses et des masques dans leur sac. Mais ce qui étonne le plus, ce sont les profils de certains d'entre eux, rapporte Franceinfo. L'un des prévenus est un homme de 29 ans, diplômé de l'École Centrale, consultant avec un salaire à 4 200 euros par mois. Son casier judiciaire est vierge.

Parmi ces casseurs rrrrrévolutionnaires émules de "Dany le Rouge", arrêtés le soir du 1° MAI, beaucoup ont donné de fausses identités au moment de leur interpellation, raconte Franceinfo : "Vous vous appelez Anne ?", demande la présidente. "Non, j'ai menti : mon vrai prénom, c'est Andréa", répond-t-elle. Cette Française, fille de directeur financier, avait précédemment déclaré aux policiers qu'elle était Suédoise. L'un d'eux, fils de chercheur au CNRS, explique avoir donné un faux nom "dans la panique de la garde à vue". L'audience des six prévenus a été renvoyée au 30 mai. 
Comme Cohn Bendit, "Dany le Rouge", ce casseur gauchiste repeint en vert caca d'oie, et qui prétendait vouloir abattre le capitalisme en MAI 68,  ces casseurs manipulés -ou autorisés en sous main- par le pouvoir, finiront comme papa ou maman, comme cadres supérieurs dans le commerce, la finance, loin, très loin, des fins de mois difficiles des salariés, qui eux, manifestent non pas pour casser le travail ou les voitures de ceux qui bossent, mais pour que leurs justes revendications sociales soient satisfaites.
(°)Ce ne sont pas les grévistes qui, par plaisir, font grève, ce sont les agressions libérales, en rendant les métiers et les vies impossibles, qui déclenchent les grèves. Les grèves ne paralysent pas, au contraire elles débloquent des situations intenables. Les grèves ne sont pas violences, au contraire elles empêchent les surcroîts de violences qu’imposent aux salariés ces dirigeants d’entreprise qui ­peuplent les ministères, avant de repartir vers les directions d’entreprise ou de banque.
 

(°)Blog Le Grand Soir
Note de Pedrito: pour illustrer ce texte, voici l'image du "révolutionnaire" Cohn Bendit, le casseur de 68 qui prétendait vouloir "renverser le capitalisme", et fit échouer la vague du rassemblement populaire, cautionnant servilement 50 ans plus tard  le Pdg ultra capitaliste de la République Française.




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