Des apiculteurs lancent un cri d'alarme pour les abeilles devant Hulot
"Les abeilles
meurent": des apiculteurs ont lancé un cri d'alarme jeudi à Paris
concernant des taux de mortalité "d'une exceptionnelle gravité" dans
leurs ruches et reçu le soutien d'un invité surprise, le ministre
Nicolas Hulot.
Réunis sur l'esplanade des Invalides autour d'une quinzaine de ruches et de cercueils symbolisant les pertes subies cet hiver dans les ruches, au cours d'une fausse cérémonie funèbre, des apiculteurs venus d'Ile-de-France, de Bretagne et de Dordogne ont demandé "un plan de soutien exceptionnel" et "la restauration d'un environnement viable pour les abeilles".
"Il faut arrêter de tergiverser, car aujourd'hui, ça a pris de telles proportions que dans certaines régions l'apiculture n'est plus viable", a déclaré à l'AFP Gilles Lanio, président de l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf).
"Les néonicotinoïdes sont une substance sournoise, c'est prouvé, c'est nocif pour les abeilles et il y a un problème de rémanence de ces produits qui restent pendant deux ou trois ans dans le sol", a dénoncé Alain Rouchon, président du syndicat des apiculteurs du Rhône.
En France, la loi sur la biodiversité de 2016 prévoit l'interdiction des néonicotinoïdes à partir du 1er septembre 2018, avec des dérogations possibles au cas par cas jusqu'au 1er juillet 2020. Au niveau européen, trois néonicotinoïdes - clothianidine, thiaméthoxame et imidaclopride - ont été interdits dans toutes les cultures en plein champ.
.....Mais tout cela n'est pas bien grave: notre Jupiter macro - trumpiste et son ministre de l'écologie qui se déplace en 4/4 pour gérer son empire capitaliste n'en ont cure: il faudra attendre encore au minimum 2020 pour commencer à prendre la situation au sérieux.
A moins que d'ici là....
Réunis sur l'esplanade des Invalides autour d'une quinzaine de ruches et de cercueils symbolisant les pertes subies cet hiver dans les ruches, au cours d'une fausse cérémonie funèbre, des apiculteurs venus d'Ile-de-France, de Bretagne et de Dordogne ont demandé "un plan de soutien exceptionnel" et "la restauration d'un environnement viable pour les abeilles".
"Il faut arrêter de tergiverser, car aujourd'hui, ça a pris de telles proportions que dans certaines régions l'apiculture n'est plus viable", a déclaré à l'AFP Gilles Lanio, président de l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf).
"Les néonicotinoïdes sont une substance sournoise, c'est prouvé, c'est nocif pour les abeilles et il y a un problème de rémanence de ces produits qui restent pendant deux ou trois ans dans le sol", a dénoncé Alain Rouchon, président du syndicat des apiculteurs du Rhône.
En France, la loi sur la biodiversité de 2016 prévoit l'interdiction des néonicotinoïdes à partir du 1er septembre 2018, avec des dérogations possibles au cas par cas jusqu'au 1er juillet 2020. Au niveau européen, trois néonicotinoïdes - clothianidine, thiaméthoxame et imidaclopride - ont été interdits dans toutes les cultures en plein champ.
.....Mais tout cela n'est pas bien grave: notre Jupiter macro - trumpiste et son ministre de l'écologie qui se déplace en 4/4 pour gérer son empire capitaliste n'en ont cure: il faudra attendre encore au minimum 2020 pour commencer à prendre la situation au sérieux.
A moins que d'ici là....
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