La Grèce en feu, pourquoi ?
Publié le 26 Juillet 2018
La météo ? Bien sûr
Des pyromanes spéculateurs,
de grandes probabilités
Des empêcheurs de combattre l'incendie ?
Ils sont connus
Ce
sont les fers des sabots de la troïka de l'UE qui ont mis le feu :
privatisations tous azimuts et accélérée du domaine forestier et
foncier, incitation à la spéculation foncière et immobilière, coupes
claires dans les moyens de secours voir privatisation de partie de leurs
activités. Voilà comme en matière de santé publique, de service public
en réseau les résultats de la politique acceptée et mise en oeuvre par
Syriza et Tsipras son dirigeant et premier ministre de Grèce.
Ils ne pourront pas parler de fatalité, de causes imprévisibles. Depuis des mois le parti communiste grec (KKE) annonce le cataclysme prévisible attisé par les choix de soumission au diktat des marchés financiers piloté par la BCE, le FMI et la commission de Bruxelles.
Concernant notre pays, en matière de responsabilité,il faut le dire clairement et fermement, Moscovici est non pas complice mais coauteur du crime au côté de tous les gouvernements eurocrates qui se succèdent à Paris.
Cette phrase de Tsipras prononcée le 23 novembre 2017 dans les colonnes du Figaro éclaire sur les causes et les choix qui en amplifient les conséquences :
Cette liquidation conduit à cela : à l'impossibilité de faire face collectivement et socialement aux fléaux qui touchent la Grèce. En cela Tsipras et Syriza se comportent comme le premier parti socialiste venu : gérant loyal et zélé du capital.
Heureusement pour elle, quelque soit par ailleurs les débats de fond, la Grèce dispose toujours d'un parti communiste qui allie activité militante de terrain et réflexion de fond anticapitaliste. le KKE est le seul à allier cette dialectique de l'action de masse concrète de solidarité de lutte pour les Libertés et de combat contre le Capital dont l'UE son bras armé.
Ils ne pourront pas parler de fatalité, de causes imprévisibles. Depuis des mois le parti communiste grec (KKE) annonce le cataclysme prévisible attisé par les choix de soumission au diktat des marchés financiers piloté par la BCE, le FMI et la commission de Bruxelles.
Concernant notre pays, en matière de responsabilité,il faut le dire clairement et fermement, Moscovici est non pas complice mais coauteur du crime au côté de tous les gouvernements eurocrates qui se succèdent à Paris.
Cette phrase de Tsipras prononcée le 23 novembre 2017 dans les colonnes du Figaro éclaire sur les causes et les choix qui en amplifient les conséquences :
« ...
j'ai une communication régulière et continue avec le président Macron,
même si nos opinions ne sont pas toujours similaires, dit-il. Nous avons
la même vision, les mêmes convictions. »
"Même vision mêmes convictions",
Tsipras aura réprimé, cassé, vendu à l'encan le peuple Grec et
ses richesses, attisé les brandons qui la fait ravager aujourd'hui.
Comment, sauf à persister à partager les "mêmes visions et mêmes
convictions" que le Néron du Parthenon, le GUE qui héberge le Syriza de
Tsipras peut-il continuer à le soutenir ? Cette liquidation conduit à cela : à l'impossibilité de faire face collectivement et socialement aux fléaux qui touchent la Grèce. En cela Tsipras et Syriza se comportent comme le premier parti socialiste venu : gérant loyal et zélé du capital.
Heureusement pour elle, quelque soit par ailleurs les débats de fond, la Grèce dispose toujours d'un parti communiste qui allie activité militante de terrain et réflexion de fond anticapitaliste. le KKE est le seul à allier cette dialectique de l'action de masse concrète de solidarité de lutte pour les Libertés et de combat contre le Capital dont l'UE son bras armé.
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