Madame Bergé,
Je ne voudrais pas être grossier, mais vos réflexions sur les retraités : «S’ils
gâtaient un peu moins leurs petits-enfants, beaucoup plus des retraités
« auraient la capacité » de faire l’effort demandé par le gouvernement
sur les pensions. »,
me font bondir au point de risquer de sortir du cadre de la bien-
séance.
Pour ma part j’ai 2 filles divorcées qui auront 50 ans dans quelques jours, 5 petits enfants et une arrière petite fille. Et
croyez –moi, j’aimerais pouvoir les « gâter ».
Expliquez-moi
comment faire pour une enseignante du primaire seule, sans
l’aide de ses parents , avec un remboursement d’emprunt
représentant presque le 1/3 du salaire pour l’acquisition d’un modeste
appartement, 1 enfant en étude de médecine à plus de 200 km et un autre
en faculté encore à charge???
Née
dans une famille de comédiens, Je pense que vous avez été une enfant
gâtée et vous en faites une généralité. En outre la
manière dont vous avez sauté d’un « cheval sur l’autre » en passant de
l’UMP à LR pour atterrir à LREM, prouve, s’il en était besoin, que vous
êtes le type même d’opportuniste qui cherchera à continuer de vivre aux
crochets des contribuables.
Votre cursus Sciences Po vous prédestine d'ailleurs à rester dans "le pot de confiture".
En temps qu’élue, avec vos semblables montrez l’exemple et rognez sur vos salaires et vos indemnités. Vous avez les moyens de
participer au redressement de la France.
Mais je suis persuadé qu' un jour, interpellée sur la situation dramatique de nos concitoyens vous répondrez comme Coluche : « Si
vous avez besoin de quelque chose, appelez-moi. Je vous dirai comment vous en passer."
Toutefois
je pense que si vous voulez continuer à conserver votre confortable
fauteuil d’élue, il vous faudra encore retourner
votre veste et aller chercher dans un autre parti votre dépôt de
candidature. Les retraités ont encore le droit de vote, ils risquent de
se rebiffer...
D’Aurore vous ne portez que le prénom, et « en marche » votre parti mène tout droit la France au crépuscule.
Soyez assurée, Madame Bergé, que je vous adresse les mêmes sentiments de mépris que vous avez à l’égard des retraités.
Note de Pedrito
Cette lettre a été écrite et envoyée à sa destinataire par mon cher ami Pierrot, dont avant tout je salue le courage ( je sais, Pierrot, c'est pas original, mais c'est pourtant son prénom, beaucoup de mes amis des générations 35 /50 s'appellent Pierre, comme moi ), et j'ai voulu la publier ici, avec son autorisation, tellement elle reflète un ressentiment populaire quasi unanime - et donc le mien ! - vis à vis de l'équipe macronienne dans son ensemble, acharnée à la destruction sociale de notre système progressiste hérité de la Libération, et cette "dame" - cette morue - en particulier, cette égérie tatchérique, dont la monstrueuse connerie s'enracine dans des profondeurs abyssales.
Qui est-elle? D'où sort-elle, de quel droit ouvre-t-elle son caquet infect, pour insulter les retraités avec la morgue de Marie Antoinette répondant au peuple qui réclamait du pain: " "Qu'ils mangent de la brioche!" Belle gueule, soit, mais comme souvent avec un cœur froid de sorcière, et deux pois chiches dans le cerveau faisant office de matière grise. Voilà les trouvailles de Macron pour nous concocter ses "réformes", prélude au changement promis, à la rupture entre la politique politicienne du passé, et la sienne, propre, transparente, juste,.........
Mon Pierrot, je ne puis me conformer comme toi aux règles de la bienséance. J'espère que les retraités lui rendront politesse égale à son incommensurable connerie. Nous appartenons à une génération dont cette pouf.....n'a même pas idée des sacrifices et des efforts qu'elle a consentis. Pour ma modeste personne, pendant la guerre de 39/45, des départs à l'école sans déjeuner, comme me le rappelait encore il y a quelques années mon oncle Olivier Artus, Pas de vacances scolaires oisives non plus, à 8 ou 9 ans les jeudis et dimanches et tous les étés passés à garder le bétail dans les fermes de la famille, puis, avec l' âge ado, foins, moissons, dépiquages, vendanges, sans discontinuer ni se plaindre, nous apprenions à vivre, (premières "vacances" après la naissance des enfants) pour nous, gosses, pas de jouet dans le soulier à Noël, une orange, ou deux billes de chocolat, puis mille travaux à l'avenant, jusqu'au départ dans le Nord, avec là-bas comme menu du soir dans ma chambre de bistrot pain et margarine. Je crois savoir que chez toi non plus, on ne pétait pas dans la soie. Et on ne se plaignait jamais. Pas de caméra ni de pseudo journaliste pour me demander comment je m'en sortais avec 360 F par mois et 9 H par jour en 1958 à la filature des 3 Suisses, de Croix, alors que le 15 du mois j'étais "à sec ". Puis 27 mois en Algérie. Avec tout ce que çà comporte de famille brisée ( Mes parents sont morts à 6 mois d'intervalle lorsque j'étais là-bas ). Puis la vie a repris et s'est écoulée, en bossant, au prix de sacrifices, comme il fallait le faire. Comme je devais le faire. En luttant, aussi, pour bâtir un monde meilleur. Alors, aujourd'hui, entendre cette moins que rien - je cherche mes mots, il n'y en a pas pour lui signifier le dégoût qu'elle m'inspire - que se poser en donneuse de leçons, je me dis que lui botter le cul lui ferait sans doute le plus grand bien. J'ai la haine contre ces parasites qui se prennent pour des élites, mais qui ne valent PAS UN CLOU!!! Comme son ami Benalla, ce trou duc qui cague sur les institutions républicaines : Qui le protège, qui le conseille, avec l'argent de qui? Comme son petit Jupiter, cet enfant gâté puis enfant pourri de la politique politicienne, qui laisse se propager le ver dans tous les fruits, celle-là, enfin, horreur Bergé, à son tour outrepasse tout ce qu'on pourrait craindre de la part de ces prétentieux, rustres, malappris, la plupart nés avec une cuillère en argent au coin des les lèvres. Et aussi que 1789 est loin, très loin, et peut-être un jour faudra-t-il recommencer. Mais ne plus se laisser reprendre par des bourges gougnafiers au seul service des milliardaires ce que nous avons mis tant de temps à bâtir: un système social qui donne de l'urticaire aux maffias capitalistes de la planète.
Pauvre salope: comme si NOUS, avant elle, nous n'avions pas travaillé pour payer une retraite à celles et ceux qui, à l'époque, n'avaient JAMAIS cotisé !!!!!!!
Je t'embrasse, toi et ta perle , encore merci, mon Pierrot
Note de Pedrito
Cette lettre a été écrite et envoyée à sa destinataire par mon cher ami Pierrot, dont avant tout je salue le courage ( je sais, Pierrot, c'est pas original, mais c'est pourtant son prénom, beaucoup de mes amis des générations 35 /50 s'appellent Pierre, comme moi ), et j'ai voulu la publier ici, avec son autorisation, tellement elle reflète un ressentiment populaire quasi unanime - et donc le mien ! - vis à vis de l'équipe macronienne dans son ensemble, acharnée à la destruction sociale de notre système progressiste hérité de la Libération, et cette "dame" - cette morue - en particulier, cette égérie tatchérique, dont la monstrueuse connerie s'enracine dans des profondeurs abyssales.
Qui est-elle? D'où sort-elle, de quel droit ouvre-t-elle son caquet infect, pour insulter les retraités avec la morgue de Marie Antoinette répondant au peuple qui réclamait du pain: " "Qu'ils mangent de la brioche!" Belle gueule, soit, mais comme souvent avec un cœur froid de sorcière, et deux pois chiches dans le cerveau faisant office de matière grise. Voilà les trouvailles de Macron pour nous concocter ses "réformes", prélude au changement promis, à la rupture entre la politique politicienne du passé, et la sienne, propre, transparente, juste,.........
Mon Pierrot, je ne puis me conformer comme toi aux règles de la bienséance. J'espère que les retraités lui rendront politesse égale à son incommensurable connerie. Nous appartenons à une génération dont cette pouf.....n'a même pas idée des sacrifices et des efforts qu'elle a consentis. Pour ma modeste personne, pendant la guerre de 39/45, des départs à l'école sans déjeuner, comme me le rappelait encore il y a quelques années mon oncle Olivier Artus, Pas de vacances scolaires oisives non plus, à 8 ou 9 ans les jeudis et dimanches et tous les étés passés à garder le bétail dans les fermes de la famille, puis, avec l' âge ado, foins, moissons, dépiquages, vendanges, sans discontinuer ni se plaindre, nous apprenions à vivre, (premières "vacances" après la naissance des enfants) pour nous, gosses, pas de jouet dans le soulier à Noël, une orange, ou deux billes de chocolat, puis mille travaux à l'avenant, jusqu'au départ dans le Nord, avec là-bas comme menu du soir dans ma chambre de bistrot pain et margarine. Je crois savoir que chez toi non plus, on ne pétait pas dans la soie. Et on ne se plaignait jamais. Pas de caméra ni de pseudo journaliste pour me demander comment je m'en sortais avec 360 F par mois et 9 H par jour en 1958 à la filature des 3 Suisses, de Croix, alors que le 15 du mois j'étais "à sec ". Puis 27 mois en Algérie. Avec tout ce que çà comporte de famille brisée ( Mes parents sont morts à 6 mois d'intervalle lorsque j'étais là-bas ). Puis la vie a repris et s'est écoulée, en bossant, au prix de sacrifices, comme il fallait le faire. Comme je devais le faire. En luttant, aussi, pour bâtir un monde meilleur. Alors, aujourd'hui, entendre cette moins que rien - je cherche mes mots, il n'y en a pas pour lui signifier le dégoût qu'elle m'inspire - que se poser en donneuse de leçons, je me dis que lui botter le cul lui ferait sans doute le plus grand bien. J'ai la haine contre ces parasites qui se prennent pour des élites, mais qui ne valent PAS UN CLOU!!! Comme son ami Benalla, ce trou duc qui cague sur les institutions républicaines : Qui le protège, qui le conseille, avec l'argent de qui? Comme son petit Jupiter, cet enfant gâté puis enfant pourri de la politique politicienne, qui laisse se propager le ver dans tous les fruits, celle-là, enfin, horreur Bergé, à son tour outrepasse tout ce qu'on pourrait craindre de la part de ces prétentieux, rustres, malappris, la plupart nés avec une cuillère en argent au coin des les lèvres. Et aussi que 1789 est loin, très loin, et peut-être un jour faudra-t-il recommencer. Mais ne plus se laisser reprendre par des bourges gougnafiers au seul service des milliardaires ce que nous avons mis tant de temps à bâtir: un système social qui donne de l'urticaire aux maffias capitalistes de la planète.
Pauvre salope: comme si NOUS, avant elle, nous n'avions pas travaillé pour payer une retraite à celles et ceux qui, à l'époque, n'avaient JAMAIS cotisé !!!!!!!
Je t'embrasse, toi et ta perle , encore merci, mon Pierrot
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