Sport cubain : des raisons d’être reconnaissants mais pas complaisants
Dialogue avec le Président de l’Inder, Osvaldo Vento Montiller, au dernier jour de 2019
dimanche 12 janvier 2020
par
par
par Roberto Ramírez
Publié in JIT le mercredi 1er janvier 2020
Publié in JIT le mercredi 1er janvier 2020
La Havane - Maintenir Cuba parmi les 20 pays à l’avant-garde
des Jeux Olympiques de Tokyo sera le grand défi que devra affronter
l’Institut National des Sports, de l’Education Physique et des Loisirs
(Inder) durant l’année qui commence aujourd’hui.
Ce but, exigeant en lui- même, l’est encore plus avec les coups portés par le Blocus Economique, Commercial et Financier imposé par le gouvernement américain, un obstacle qui nous limite dans tous les domaines et exige le maximum de créativité.
Ce but, exigeant en lui- même, l’est encore plus avec les coups portés par le Blocus Economique, Commercial et Financier imposé par le gouvernement américain, un obstacle qui nous limite dans tous les domaines et exige le maximum de créativité.
« Elle s’impose comme jamais avant de
faire appel à l’intelligence collective, à l’apport de tous, au
sentiment d’appartenance et à l’utilisation des ressources potentielles
sur lesquelles nous comptons, synonyme de penser comme pays, dit à ce
sujet le Président de l’Inder, Osvaldo Vento Montiller.
Dans son dialogue avec JIT, il évoqua les
pas importants accomplis au cours de l’année 2019 et s’est dit
également convaincu qu’on travaille pour une bonne participation aux
Jeux Paralympiques de la capitale japonaise.
« Au- delà des événements mêmes, cela
montre clairement que nos compatriotes nous suivent, mais surtout qu’à
Cuba le sport est un droit et un devoir du peuple, affirma Vento en
insistant sur la vision unificatrice qui va au-delà des médailles.
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