Nous vivons le temps des crétins diplômés
mercredi 6 mai 2020
par Francis Arzalier (ANC)
Depuis deux mois que la Nation
Française à été enterrée vivante sous le nom fallacieux de confinement,
nous avons pu juger des "Élites " qui nous gouvernent. Elles ne se
limitent pas aux quelques milliers de politiciens au pouvoir, Président,
Ministres et sous-ministres, qui, depuis le début, après avoir tenté en
cultivant la peur irraisonnée pour créer une " Union Sacrée" autour
d’eux, ont multiplié les discours ampoules, avec une seule et unique
logique : Démagogie et Incohérence.
Mais ce Monarque et sa
Cour s’entourer d’une nébuleuse "d’experts", qui nous abreuvent à
longueur d’antenne de conseils ressassés et contradictoires. " Faites
ceci, ne faites pas cela ! ".
Experts en tout, bien sûr, car ces Messieurs-Dames qui forment nos " élites ", croient qu’à partir du moment où on a fait des études et reçu, au bout, un diplôme d’État, on est capable de juger à la place des intéressés de ce qu’ils doivent faire, dans la rue, chez eux, dans l’entreprise...
Le problème est que l’agrégation de lettres ou de mathématiques ne confère à ceux qui l’ont obtenue aucune compétence en matière médicale et sociétale. Or la nébuleuse de Comités, même quand ils sont dits par abus "scientifiques ", chargés depuis deux mois de nous dire chaque jour ce que nous, Citoyens lambda, devons faire ou ne pas faire face à l’épidémie, ont été désignés par fait du Prince, pour la seule raison qu’ils sont bien vus à l’Élysee.
Nous sommes revenus à la Monarchie d’avant 1789, que Beaumarchais dénonçait dans Figaro : " " Il fallait à la France malade un médecin, c’est un danseur qui fut nommé ! "
D’où la cacophonie des décisions prises et claironnées depuis deux mois, se contredisant d’un jour à l’autre, suivant l’humeur du Prince et de sa Cour. On enferme toute une Nation, mais on se refuse durant plus d’un mois à tester les malades éventuels, les seuls susceptibles de transmettre le virus, comme le font les pays voisins, l’Allemagne par exemple. D’où la contradiction entre le confinement généralisé, et l’ouverture prématurée des écoles et des transports. Etc...
La France de Macron, déjà traumatisée par ses offensives libérales contre les conquêtes sociales, sera t’elle aussi celle du Père Ubu ?
Experts en tout, bien sûr, car ces Messieurs-Dames qui forment nos " élites ", croient qu’à partir du moment où on a fait des études et reçu, au bout, un diplôme d’État, on est capable de juger à la place des intéressés de ce qu’ils doivent faire, dans la rue, chez eux, dans l’entreprise...
Le problème est que l’agrégation de lettres ou de mathématiques ne confère à ceux qui l’ont obtenue aucune compétence en matière médicale et sociétale. Or la nébuleuse de Comités, même quand ils sont dits par abus "scientifiques ", chargés depuis deux mois de nous dire chaque jour ce que nous, Citoyens lambda, devons faire ou ne pas faire face à l’épidémie, ont été désignés par fait du Prince, pour la seule raison qu’ils sont bien vus à l’Élysee.
Nous sommes revenus à la Monarchie d’avant 1789, que Beaumarchais dénonçait dans Figaro : " " Il fallait à la France malade un médecin, c’est un danseur qui fut nommé ! "
D’où la cacophonie des décisions prises et claironnées depuis deux mois, se contredisant d’un jour à l’autre, suivant l’humeur du Prince et de sa Cour. On enferme toute une Nation, mais on se refuse durant plus d’un mois à tester les malades éventuels, les seuls susceptibles de transmettre le virus, comme le font les pays voisins, l’Allemagne par exemple. D’où la contradiction entre le confinement généralisé, et l’ouverture prématurée des écoles et des transports. Etc...
La France de Macron, déjà traumatisée par ses offensives libérales contre les conquêtes sociales, sera t’elle aussi celle du Père Ubu ?
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