Encore plus à droite que Sarko
Plus répugnant que Marcellin,
en passe de finir de doubler
Le Pen sur sa droite
Le macronisme s'affiche comme une variante de pétainisme passée par l'ENA
40 ans après les faits, sept Italiens, dont d’anciens membres des Brigades rouges, condamnés en Italie pour des actes de terrorisme commis dans les années 1970-1980, installé depuis des décennies en France tous retraités sexagénaires ou septuagénaires faisant l’objet d’un mandat d’arrêt, ont été interpellés mercredi 28 avril à la demande l’Italie, a annoncé l’Elysée.
Selon cette même source, trois autres brigadistes également condamnés par la justice italienne n’étaient pas à leur domicile et sont encore recherchés.
Si la police française laisse courir alors qu'elle sait qui ils sont les assassins des militantes kurdes sur notre territoire, le garde des sceaux qui parait-il fut avocat dans une vie antérieure non seulement à laisser faire mais valide ces pratique qui jettent des cendres de la honte sur notre pays.
Avec cette décision, Macron foule au pied la parole de la France. jamais depuis 40 ans la France n'avait jamais accepter de céder aux injonctions des différents gouvernements italiens.
C'est une nouvelle tache indélébile qui marque l'infamie de ce gouvernement.
« Le président a souhaité régler ce sujet, comme l’Italie le demandait depuis des années », a déclaré l’Elysée , précisant que cela entrait dans le cadre de sa lutte antiterroriste contemporaine.
Le Monde (qui semble partager l'indignation qui s'exprime de plus en plus largement à l'annonce de cette forfaiture) précise :
Pour Me Terrel (avocat des sexagénaires arrêtés ), scandalisée,
« c’est la France qui leur a donné l’asile, les autorités, droite et gauche confondues, et non pas François Mitterrand ». « Depuis les années 1980, ces gens-là sont sous la protection de la France, ils ont refait leur vie ici depuis trente ans, sont installés au vu et au su de tous, avec leurs enfants, leurs petits-enfants… et au petit matin on vient les chercher, quarante ans après les faits ? », s’est indignée l’avocate. « C’est innommable et irrecevable en droit », a-t-elle conclu, décidée à contester ces procédures d’extradition.
Parmi ses clients arrêtés mercredi figure notamment Marina Petrella, 66 ans, ex-membre des Brigades rouges condamnée à la prison à vie et à qui la France a accordé l’asile politique. Le président Nicolas Sarkozy s’était opposé en 2008 à son extradition, autorisée par la justice, en raison de l’état de santé de Mme Petrella.
Les autres personnes interpellées sont Giorgio Petriostefani, Narciso Manenti, Roberta Capelli, Enzo Calvitti, Giovanni Alimonti et Sergio Tornaghi. Les trois personnes encore recherchées sont Maurizio Di Marzio, Luigi Bergamin et Raffaele Ventura, a précisé l’Elysée.
L’avocat d’Enzo Calvitti, s’est aussi insurgé de cette décision, qu’il a qualifiée d’« incompréhensible ». « L’Etat s’était engagé à ce qu’il n’y ait pas d’extradition malgré les demandes répétées des Italiens, alors pourquoi ce revirement, quarante ans après les faits ? C’est un reniement de la parole d’Etat », a réagi Me Jean-Louis Chalanset. Son avocat a précisé que M. Calvitti vivait en France avec un titre de séjour – « pas du tout en clandestin » – et y avait longtemps exercé la profession de psychothérapeute, avant de prendre sa retraite récemment.
Renouant avec la pratique de livraison des réfugiés politiques à l'Allemagne en 39 ou à l'Espagne à l'époque de Franco, nous savions que nous avions une crapule à l'Elysée, il s'affiche comme un enfant de Pétain.
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