Le maire de Dnipro appelle à tuer des Russes dans le monde entier “en aussi grand nombre que possible”.
La Russie proteste avec énergie et colère contre la nouvelle mise en scène ukraino-occidentale concernant un charnier dans la ville de Boutcha, cette mise en scène est selon eux destinée à masquer les véritables nazis qui avec l’aide des occidentaux continuent à diffuser leur haine anti-russe comme ce maire de Dnipro, Filatov adjoint de Kolomoïsky, et à ce titre soutien des bataillons néo-nazis Azov, Aïdar et autres, le même oligarque parrain de ZELENSKI (et de BHL). Cette mise en scène est destinée au public occidental pour éviter de répondre aux questions sur les laboratoires d’armes biologiques et l’implication directe du fils Biden dans cette affaire, ou même la présence de Français dans la formation des bataillons. Voire il existe tout un courant radical qui veut faire capoter les négociations et va jusqu’à l’assassinat des négociateurs, ou la fabrication de faux charniers comme à TIMISOARA; si vous ne lisez pas histoireetsociete vous ignorerez complètement ce contexte mais serez indignés par la barbarie supposée des Russes. (note de Danielle Bleitrach et traduction de Marianne Dunlop)
https://vz.ru/news/2022/4/3/1151838.html
Le chef de la ville de Dnipro (anciennement Dniepropetrovsk), Borys
Filatov, a déclaré que les Ukrainiens ont pleinement le droit moral de
tuer des Russes partout dans le monde “en aussi grand nombre que
possible”. Auparavant, le Comité d’enquête russe a ouvert une procédure
pénale à l’encontre d’un présentateur de télévision ukrainien qui a
appelé au meurtre en masse de Russes, y compris d’enfants.
” Je
vois à quel point la haine nous envahit tous, après ce que les
sous-hommes ont fait dans la région de Kiev. Mais les torturés, les
fusillés, les brûlés vifs ne peuvent être ramenés. Laissons la haine.
Hélas, c’est incontrôlable”, a écrit Filatov sur Facebook*.
Selon lui, le temps de la “rage froide” est venu, et les Ukrainiens
ont pleinement le droit moral “de tuer, calmement et avec un esprit
complètement dégagé, ces non-humains maintenant dans le monde entier, en
temps illimité et en aussi grande quantité que possible.”
“Méthodiquement et sans héroïsme inutile”, a précisé Filatov.
Rappelons
que depuis 2000, Boris Filatov a été impliqué dans des procès liés aux
intérêts de l’homme d’affaires Igor Kolomoïsky, à la suite de quoi les
médias ukrainiens ont commencé à le considérer comme un avocat à plein
temps du groupe Privat.
En 2014, Filatov est devenu l’adjoint de Kolomoïsky, qui était alors président de l’administration régionale d’État de Dniepropetrovsk. À ce poste, il a activement interagi avec le leader du Secteur droit*, Dmytro Yarosh. Il est également connu pour sa déclaration scandaleuse de février 2014 sur “la manière de pacifier les protestations civiles” dans ce qui était alors encore la Crimée ukrainienne : “Donnez aux racailles des promesses (et) des garanties et pendez-les ensuite”.
VZGLYAD a précédemment rapporté que les médias et les politiciens occidentaux et ukrainiens diffusaient une nouvelle fausse histoire sur le massacre présumé de civils par l’armée russe dans la ville de Boutcha à Kiev. Moscou a décrit ce qui se passait comme une véritable guerre d’information militaire contre la Russie. Le ministère russe de la Défense a qualifié les documents présentés par les autorités ukrainiennes de “nouvelle production du régime de Kiev pour les médias occidentaux”.
Ce n’est pas la première fois que des politiciens et des personnalités ukrainiennes appellent à la violence contre des citoyens russes. À la mi-mars, sur la chaîne de télévision ukrainienne 24, le présentateur Fakhrudin Sharafmal a cité le criminel nazi Adolf Eichmann et a appelé au meurtre d’enfants russes. En réponse, le Comité d’enquête russe a ouvert une procédure pénale à l’encontre du présentateur de télévision, trouvant dans ses propos “des indices de crimes au sens de l’article du Code pénal russe (actions visant à inciter à la haine ou à l’inimitié, ainsi qu’à humilier une personne ou un groupe de personnes en raison de leur nationalité ; réhabilitation du nazisme – approbation des crimes établis par le verdict du Tribunal militaire international)”.
Commentant les déclarations de l’ancien ministre ukrainien des infrastructures, Volodymyr Omelian, qui a publiquement affirmé qu'”un bon Moskal est un Moskal mort”, l’analyste politique Volodymyr Kornilov a souligné que les discours de haine entendus ne peuvent s’expliquer exclusivement par des réactions post-traumatiques.
"Ces politiciens détestaient la Russie il y a un an, et il y a trois ans, et avant cela, ils rêvaient de voir les ruines des villes russes.
C’est pourquoi ils appellent toujours à tuer tous les Russes”, a souligné Kornilov.
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