samedi 25 septembre 2010

2.021 JOURS QUE LE JEUNE FRANCO-PALESTINIEN SALAH HAMOURI CROUPIT DANS LES PRISONS ISRAÉLIENNES!-



DEUX MILLE VINGT ET UN JOURS !!!!.......
Ce dimanche 26 SEPTEMBRE 2010,
que le jeune Franco Palestinien est détenu dans les prisons de TEL-AVIV, pour avoir osé se rebeller contre son puissant voisin impérialiste israélien, état expansionniste soutenu en cela et armé depuis sa fondation par le symbole de la démo-crassie des maitres du monde "libre" : les USA.
Mais qui continue d'occuper GAZA, et d'étendre sa colonisation, au mépris de la condamnation internationale, avec la bienveillante complicité des Ponce Pilate occidentaux.
Ah! Cher Salah HAMOURI: si tu avais eu la bonne idée de t'appeller, par exemple.... BETTENCOURT. Le royaume de la Sarkozie tout entière aurait depuis longtemps renversé les barrières diplomatiques pour te libérer comme il se doit.
Ce forfait et les autres, tout finira par se payer, mais rien ne te rendra, hélas, ces années de jeunesse volée.
On souffre avec toi, comme pour un fils injustement puni par des bourreaux

HIPOCRESIA, TU NOMBRE ES OBAMA





José M. GuardiaBarcepunditAsí que los republicanos vetaron eliminar la prohibición de que los gays sirvan en el ejército de los EEUU, ¿eh? Pues el departamento de Justicia de Obama debe de ser republicano, porque ha pedido a un juez que mantenga a los gays fuera de las fuerzas armadas a pesar de que un tribunal lo ha calificado como constitucional

Publicaso por Ignacio Ruiz Quintano

de "Salmonetes ya no nos quedan"

jeudi 9 septembre 2010

XÉNOPHOBIE D'ÉTAT OU INSTRUMENT DE CLASSE ?

Dans une discussion sur le texte de Pascal Maillard sur l'insécurité et la xénophobie d'Etat et pour une éthique de la résistance, Annie Lacroix-Riz apporte un point de vue de classe nécessaire aux communistes pour dépasser une réaction de révolte devant le discours Sarkosyste. Ce n'est pas une dérive fascisante, qu'on pourrait éviter avec une alternative centriste ou socialiste, mais bien un choix de la grande bourgeoisie pour atteindre son objectif central de réduction massive des salaires, telle qu'elle l'avait déja fait dans le passé.A Toni Gatlif, aux " Bohémiens en voyage ", à tous les sans-papiers," Aux captifs, aux vaincus !… à bien d'autres encore ! "
Cette indignation contre l'ignominie est lyrique et émouvante, mais il convient de rappeler que la xénophobie, brandie pour la énième fois en France, n'a pas fonction idéologique : pratiquée avec intensité en temps de crise, avec une efficacité particulièrement redoutable dans les pays colonisateurs (la France le fut et le demeure de fait), elle a caractérisé la Troisième république finissante, particulièrement l'ère Daladier-Reynaud, et elle s'insère pleinement dans la lutte pour l'écrasement des salaires - c'est à dire pour le maintien, voire l'augmentation du profit , rendue possible par la division des salariés (entre femmes et hommes, étrangers et Français, jeunes et vieux, etc.). Elle a obtenu l'aval, alors officiel, de la " gauche de gouvernement ", qui était précisément " aux affaires " différence (une des seules) avec la situation actuelle (nous sommes actuellement dans la phase d'assaut du genre Doumergue-Laval) et qui en prit donc l'initiative officielle. Or, l'initiative alléguée fut dictée par les puissances d'argent - c'est la chambre de commerce de Paris, haut lieu du grand capital français, fief de la Confédération générale du patronat français (CGPF), ancêtre du MEDEF, qui dictait à Daladier et à ses ministres leurs textes de 1938-1940 contre les étrangers en général et les juifs étrangers en particulier. Je dis bien dictait, stricto sensu, comme s'en vantait alors le président de ladite chambre devant ses mandants en assemblée générale (preuves écrites à l'appui, puisqu'il comparait les textes soumis aux ministres aux décrets finalement pris) (cf. l'article joint paru dans le récemment défunt Siné Hebdo en mai 2009, " "La chasse aux clandestins " de la 3e République agonisante ").C'est aussi la dimension essentielle de la lutte contre les fonctionnaires, loi LRU comprise, dont ceux-ci n'ont pas pris la mesure. Le sort de notre mouvement l'a démontré en 2009. A l'université, on a eu tendance à croire que l'offensive thatchérienne était idéologique, imputable à un analphabète ignorant des lettres (l'un n'empêche pas l'autre : il vaut mieux pour incarner la lutte contre l'intellect choisir autre chose qu'un fin lettré) et mise en œuvre par une administration débile, procédant à des réformes " absurdes " (pas de langue vivante au CAPES de langue, et autres fantaisies de la même farine, quelle idiotie !). Quand, en haut, on veut tout casser, on pratique une politique d'apparence absurde, qui confronte ses victimes d'en bas à l'incompréhension totale, comme, par exemple, la semaine de six jours et les 48 h hebdomadaires légales rétablies en novembre 1938 dans une France où la moyenne de la semaine de travail était de l'ordre de 36 h.Ce que Naomi Klein qualifie de " stratégie du choc " a une longue histoire, dans la guerre sociale, laquelle ne relève ni des sentiments ni des états d'âme qui sont au cœur du généreux texte cité par Ophélie Hetzel. Georges Sadoul, dans son Journal de guerre, cite le cas de la suppression du congé dominical par " une grande banque " parisienne, congé remplacé par " deux demi-journées de congé qu'on ne pourrait jamais bloquer en une seule ", ce qui accablerait les familles, " surtout les femmes ". Quand la jeune secrétaire " catholique bien-pensante [et…] bien élevée " de l'établissement réclama en 1939 à son sous-directeur le retour au repos dominical en arguant que " la banque n'en marcherait pas plus mal. Pourquoi prendre une mesure si inhumaine ? ", il " rican[a] : "Mais parce que maintenant nous vous tenons, ma petite" " (Journal de guerre (2 septembre 1939-20 juillet 1940), Paris, Les Éditeurs français réunis, 1977, p. 105). L'assaut contre les retraites a été lancé non pas parce que nous vivons plus vieux, mais parce que la " réforme ", partagée par la droite prétendument " républicaine ", l'extrême (dont la première ne se distingue plus guère) et la " gauche de gouvernement ", qui y a souscrit quand elle était " aux affaires " et œuvrait aux traités " européens ". Il va nous ramener aux retraites de misère d'avant-guerre, et a exactement la même fonction que la gigantesque injustice fiscale, la chasse aux étrangers, le combat contre le statut de la fonction publique (désormais sérieusement entamé), etc. Quand nous-mêmes et nos organisations de défense renouerons avec ces analyses couramment faites au cours de la crise systémique des années 1930 par la fraction radicale, très affaiblie aujourd'hui, du mouvement ouvrier - et avec l'action y afférente , nous nous battrons plus efficacement contre l'ennemi commun aux Roms, français ou étrangers, aux étrangers (pauvres, pas riches) en général et à nous-mêmes.Le capitalisme en crise ne " trahi[t pas ses] lois " en œuvrant comme il le fait actuellement, il les met en pratique, comme dans les crises de 1873 et 1929-1931. La droite se fascise aujourd'hui comme elle s'est fascisée dans l'entre-deux-guerres, la gauche de gouvernement ne " baisse [pas] les yeux ", elle est fidèle à elle-même, privée de politique de rechange parce qu'elle ne dispose d'aucun moyen contre le grand capital, qui la contrôle en large part : c'est un fait, pas un jugement idéologique - ceux qui en doutent n'ont qu'à faire un long stage dans les fonds BA et GA des Renseignements généraux aux archives de la Préfecture de police ou dans la série F7 du ministère de l'intérieur, aux Archives nationales, qui pourra les conduire jusqu'à une période assez récente pour certains dossiers des APP. Cette gauche convaincue que le capitalisme relève de la même fatalité que la pluie et le beau temps ne se donnera pas davantage d'alternative en 2012, elle le reconnaît d'ailleurs avec une grande simplicité, et le Canard enchaîné (de la semaine dernière, à propos de F. Hollande) n'est pas le seul à le dire alors que Daladier, chef du parti radical, fit semblant de virer à gauche avant les élections de Front populaire. La population française ou " le peuple de gauche " ignorait en 1936 que Blum et Vincent Auriol tenaient leur programme socio-économique de la Banque de France et des éléments français (issus de la Banque de France) de la Banque des règlements internationaux. Nous n'avons pas l'excuse d'ignorer aujourd'hui que le Parti socialiste, même parmi les adversaires personnels de M. Strauss-Kahn, n'a pas d'autre politique que celle dictée par le FMI - c'est à dire par le club constitué depuis juillet 1944 par les classes dirigeantes de nos pays et celles des États-Unis, garantes en dernière analyse jusqu'à nouvel ordre , du coffre-fort des premières.Tant que nous considérerons qu'aborder ces questions signifie " sortir du cadre de la défense syndicale " ou assimilée, nous perdrons avec la même régularité que nous avons perdu, sans interruption, depuis 30 ans. D'ailleurs, la victoire sociale de 1936 ne fut pas électorale - le programme social et économique de Blum était celui de l'austérité financière de la Banque de France , mais elle fut exclusivement due à l'action de mai-juin 1936 des salariés français, favorisée par les " unitaires " et combattue par la majorité des " confédérés " (dont nos actuelles " directions syndicales " sont presque sans exception héritières) ; elle donna un répit, un vrai, aux familles d'immigrés, victimes depuis le début de la crise d'un véritable harcèlement, policier notamment, répit malheureusement très bref (voir plus haut). " La gauche de gouvernement " a bien vite, après ce grand succès mal préservé, préparé dans une mesure considérable la voie à Vichy, y compris en matière d'immigration, propos, je l'affirme, absolument non polémique.Globalement, c'est nous qui, assurément sans le vouloir, trahissons nos propres intérêts au profit de ceux d'en face, lesquels ne trahissent jamais les leurs, parce qu'ils sont servis par des mandataires efficaces, parce que strictement contrôlés (nous ne pouvons en dire autant), ne cessent jamais de " raisonner ", c'est à dire calculent tous leurs coups, au millimètre près (ça marche tant que nous ne bougeons pas). Ils n'abdiquent jamais. Jusqu'ici, c'est dans le seul camp des salariés que l'abdication a régné. Il n'y a pas de " clercs " en général, il y a des " clercs " qui servent des intérêts de classe, et ceux qui nous accablent, réduisant nos salaires directs et indirects, choisissent, pour nous le faire accepter, ils ont bien raison, ceux et seulement ceux qui leur sont dévoués. Il ne nous reste qu'à recréer les instruments de défense qui rendront visibilité et écho aux " clercs " qui servent notre camp. Il y a du chemin à faire.Nous avons autant ou davantage besoin de lucidité socio-économique et politique (et de connaissance froide de l'histoire) que d'indignation épique (relisant Les Misérables, je reconnais cependant ce que nous devons aux élans de Victor Hugo, et admire le vaillant Baudin, qui déclara : " Vous allez voir comment on meurt pour 25 francs [par jour] ! " avant de se livrer au feu des putschistes de décembre 1851). Il s'impose naturellement de signer toutes les pétitions de défense des Roms, ce que j'ai fait, comme nous tous sans doute. Mais on les défendrait mieux, ainsi que la majorité des gens qui vivent en France, nous compris, en tenant compte de ce qui précède et en renonçant à rêver à 2012, le rêve ayant des chances de virer au cauchemar.
Voir les cas grec, espagnol, etc.
mercredi 1er septembre 2010
par annie.lacroix-riz

lundi 6 septembre 2010

VIVE LA RETRAITE A 95 ANS POUR LES CONS !!!!!....

.....!!!!!!! Pour les medias aux ordres des adeptes du "libéralisme", et tous les manipulateurs d'opinion,
-pour les intouchables milliardaires, vautrés sur leurs ignobles privilèges,
-pour celles et ceux qui admettent, comprennent, ou approuvent, ce système de merde qui enrichit une minorité par les guerres et les armes et qui multiplie les crimes et leurs victimes innocentes
-pour ceux qui payent l'impôt sur la fortune, et ceux qui voudraient le payer
-pour les politiciens couchés devant le veau d'or, valets et fondés de pouvoir à leurs ordres,
-pour le petit dictateur magyar à talonettes, qui commence à me les briser menu, avec ses prétentions à détruire le fruit de siècles de luttes et de victoites sociales
-pour ses sbires, ses ministres sinistres autistes, accrochés à leurs strapontins comme des tiques pendues à la peau des clébards souffreteux, avec une palme spéciale à Woert et à trois ou quatre autres d'entre eux, Fillon, Besson, Ducon....
-pour les antis, les Re-chier et consorts, insupportable graine de dictature, qui ne conçoivent la vie et le goût d'autrui, - et autrui, c'est LARGE - qu'à travers le prisme déformant de leur prétendue défense forcenée des zanimaux. Forcenée!! Ils sont forcenés, fermés, bornés, violents, emmerdants, injurieux, ils nous contraignent à les traiter pour ce qu'ils sont...Mais ces cons-là ne m'interdiront jamais d'aimer ce que leurs pauvres neurones ne pourront jamais caresser,de près ou de loin, de manger et de boire ces ripailles qui donnent un sens à la vie, un art délicieusement incomparable de vivre, voudraient-ils me -NOUS - faire honte parce que je suis épicurien? La nature a fait les choses ainsi, et aucun moraliste ni autre mal baisé n'y changera rien. Mais la fin de la corrida et de la Fiesta Brava n'est que leur première étape. Et celles et ceux que leur discours et leurs mensonges ont momentanément attendris: le savent-ils?
-pour enfin celles et ceux qui estiment qu'après le travail, il n'y a plus de vie, plus rien, que la vie c'est boulot, et que le boulot, c'est la vie, jusqu'à la mort.
Demain, je serai dans les rues de TARBES, avec mes amis, mes camarades, syndiqués - la plupart, sans doute, CGT, CFDT,FO,SUD,UNSA,CGC....il y en a beaucoup trop, pour être efficaces,- ou non, pour dire au locataire de l'Elysée, à l'ami des milliardaires du Fouquet's ou d'ailleurs: YA BASTA ! Assez d'embrouilles, de mensonges, de tromperies, votre mépris du peuple travailleur nous est insupportable.
Sr Sarkozy: FUERA!
60 ans: c'est un âge correct pour continuer à vivre le mieux possible, et les moyens ne sont pas réservés à vos amis les milliardaires!
FUERA TODOS !!!

dimanche 5 septembre 2010

DESCUBREN ISLA DE BASURA EN ATLANTICO CON SUPERFICIE MAYOR QUE CUBA.


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Descubren isla de basura en el Atlántico con superficie mayor que Cuba
5 Septiembre 2010
Tras 22 años de juntar restos de plástico acumulados en medio del océano, un grupo de investigadores estadounidenses descubrió cómo y por qué se formó una isla de basura en el Atlántico . Lo que aún no pudo explicar ningún científico, son las consecuencias que tendrá en los seres vivos semejante contaminación.
Ya se sabía de la existencia de la gigantesca isla de plásticos flotantes del Pacífico Norte. Ahora, investigadores de Woods Hole Oceanographic Institution y de la Universidad de Hawaii en Honolulú dieron a conocer -en la revista Science - los resultados de la recolección de muestras tomadas entre 1986 y 2008 por más de 7.000 estudiantes universitarios en 6.136 localizaciones del mar Caribe y del Atlántico Norte. En este último se da la mayor concentración, que llega a 580.000 piezas por kilómetro cuadrado, en su mayoría milimétricas; la superficie de esa zona supera a la de Cuba.
Si bien los investigadores determinaron que los residuos flotantes tardan menos de 60 días en llegar desde las costas norteamericanas hasta la zona de acumulación, la gigantesca isla de plástico se formó con desechos arrojados desde las tres Américas. No obstante, el mayor caudal proviene del norte.
Fueron arrastrados por corrientes superficiales y, por una circulación ciclónica de vientos, se aglutinaron en una zona de convergencia, en el mar de los Sargazos. Se trata de “una especie de embudo, donde el agua se concentra y termina yéndose hacia el fondo”, explica José Luis Esteves, a cargo del Laboratorio de Oceanografía Química y Contaminación de Aguas del CENPAT-Conicet, en Puerto Madryn. Allí, la velocidad de la corriente es tan lenta, que un velero podría estar 100 años sin moverse.
Los científicos se sorprendieron al comprobar que, pese a que la producción de plástico aumentó mucho en estos años, no pasó lo mismo con la concentración de restos en la zona de mayor acumulación. Descubrieron que en los trozos más pequeños ya se habían establecido microorganismos, y concluyeron que, después de haberse degradado por el clima y la radiación solar, terminan depositándose en el fondo del mar.
“El impacto global, muchas veces no se ve -señala Esteves-. Esos procesos de degradación tienen importancia en el ecosistema, por la disminución de oxígeno.
Hay plásticos más peligrosos que otros, según su composición.
Originalmente tenían un contenido de mercurio muy elevado, que hoy se ha reducido. Pero en el fondo del mar hay bacterias que transforman el mercurio en metilmercurio, que causa malformaciones fetales” cuando es ingerido a través del pescado contaminado.
Es la pesquería la que produce buena parte de la contaminación. Antes de terminar en una isla de basura, los sunchos de plástico ahorcan a los lobos marinos, cortan el pie de gaviotas y se enriedan en los delfines. Las bolsas matan a las tortugas marinas, que las tragan al confundirlas con medusas.
“Cada uno de estos barcos es un pequeño barrio flotante, con los defectos que tiene cualquier vecino con el manejo de sus residuos -observa el investigador argentino-. Pese a que la Organización Marítima Internacional prohíbe el vertido de todo tipo de plástico, no les importa tirar lo que sea, incluidas baterías de la ecosonda”.
Los plásticos son sólo lo visible. ” El problema es lo que incluyen: hay residuos plásticos que contienen pilas o sustancias metálicas -subraya Esteves-. Si son botellas de aceite de vehículos, o de combustible, o sustancias tóxicas, terminan dispersándose en el mar en el lugar donde caigan”.
Además de formar islas de basura, las corrientes marinas y el viento también la amontonan en determinados lugares de las costas. “En la Patagonia hemos detectado zonas de hasta 10 kilómetros.
Cualquier sitio donde haya convergencia oceánica es un lugar potencial de acumulación de basura.
La hay en la isla de los Estados, donde viven sólo cuatro personas, que no son generadoras de basura. Y lo que no quedó ‘colgado’ allí o en las Malvinas, seguirá hasta el centro del Atlántico”.
Esteves ve “extremadamente difìcil” eliminar estas islas, “a menos que haya una campaña de Naciones Unidas. Es una decisión de política internacional”. Entretanto insiste en la necesidad de reemplazar el plástico por otras sustancias, para reducir su uso y para incrementar su reciclado.
(Tomado de Clarin, Argentina)