LES FAINEANTS
Publié le 10 Septembre 2017
par
aragon 43
in
HUMOUR
Ainsi, Macron le banquier de chez Rothschild , le petit bourgeois picard, considère que nous sommes des fainéants.
Je me souviens de ces patrons ( qui n'ont pas changé même s'ils ont un langage plus châtié) qui traitaient leurs ouvriers de fainéants parce qu'ils ne voulaient pas faire des heures supplémentaires dans une fonderie que j'ai connu.
Je me rappelle de ces insinuations proférées dans les usines textiles par les gardes-chiourmes des patrons et notamment quand les femmes allaient aux toilettes et mettaient du temps pour revenir sur les métiers.
Plus tard, dans mon usine, dont les installations tournaient 24 h sur 24, avoir entendu le chef du personnel dire que ceux qui n'étaient capables de se lever tôt le matin pour prendre leur poste à 5 heures et arrivant en retard dans l'usine, n'étaient que des fainéants.
Ailleurs, dans l'expression de petits patrons, il n'était pas rare de les entendre dire qu'un tel ou une telle avait un poil dans la main.
Le mot "fainéant" s'incrustait aussi lors de matchs de foot et certains supporters reprenaient les formules des contremaitres en gueulant "fainéant" quand un joueur manquait le but ou bien lorsque le gardien encaisser un but
On traitait aussi les femmes de "feignasses"au boulot. Le mépris était monnaie courante chez certains tôliers et un chocolatier, dans le Nord, ne disait-il pas de manière méprisante qu'un ouvrier pouvait vivre avec un jaune d'œuf pour passer la journée. Les employés-es de sa boite l'avaient baptisé "jaune d'œuf".
Et Macron, maintenant nous dit, après sa sortie de" petit chef", qu'il ne s'adressait qu'à ceux qui avaient gouverné avant lui : donc, c'est un compliment qu'il s'adresse à lui car n'a t'il pas été ministre de l'économie dans les gouvernements de Hollande.
En fait, Macron fait donc partie des fainéants, mais des vrais, ceux qui mettent le peuple dans la misère.
Bernard LAMIRAND
Je me souviens de ces patrons ( qui n'ont pas changé même s'ils ont un langage plus châtié) qui traitaient leurs ouvriers de fainéants parce qu'ils ne voulaient pas faire des heures supplémentaires dans une fonderie que j'ai connu.
Je me rappelle de ces insinuations proférées dans les usines textiles par les gardes-chiourmes des patrons et notamment quand les femmes allaient aux toilettes et mettaient du temps pour revenir sur les métiers.
Plus tard, dans mon usine, dont les installations tournaient 24 h sur 24, avoir entendu le chef du personnel dire que ceux qui n'étaient capables de se lever tôt le matin pour prendre leur poste à 5 heures et arrivant en retard dans l'usine, n'étaient que des fainéants.
Ailleurs, dans l'expression de petits patrons, il n'était pas rare de les entendre dire qu'un tel ou une telle avait un poil dans la main.
Le mot "fainéant" s'incrustait aussi lors de matchs de foot et certains supporters reprenaient les formules des contremaitres en gueulant "fainéant" quand un joueur manquait le but ou bien lorsque le gardien encaisser un but
On traitait aussi les femmes de "feignasses"au boulot. Le mépris était monnaie courante chez certains tôliers et un chocolatier, dans le Nord, ne disait-il pas de manière méprisante qu'un ouvrier pouvait vivre avec un jaune d'œuf pour passer la journée. Les employés-es de sa boite l'avaient baptisé "jaune d'œuf".
Et Macron, maintenant nous dit, après sa sortie de" petit chef", qu'il ne s'adressait qu'à ceux qui avaient gouverné avant lui : donc, c'est un compliment qu'il s'adresse à lui car n'a t'il pas été ministre de l'économie dans les gouvernements de Hollande.
En fait, Macron fait donc partie des fainéants, mais des vrais, ceux qui mettent le peuple dans la misère.
Bernard LAMIRAND
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