Surtout
ne pas lire merci. Amenés par Emmanuel Macron, cet ex-banquier
d'affaires posé sur le trône de l'Elysée, lesdits vassaux du
capitalisme international, dont les USA sont le gendarme sur notre
planète avec son billet vert et l'Otan, avaient pourtant fait mille
courbettes pour plaire à leur suzerain.
Réformer
l'OMC encore plus dans le sens du Marché libre et non faussé,
revoir le traité sur le nucléaire avec l'Iran, améliorer la
défense des dits vassaux au profit de l'Otan, tout cela afin de
parapher un morceau de papier pour régenter ENSEMBLE notre planète.
Donald
Trump n'en a pas voulu. Il est le maître tout puissant du
capitalisme international et lui seul décide ce qui sera bon ou
mauvais pour les intérêts de la libre Amérique. Ses vassaux ne
sont que ses supplétifs, un point c'est tout.
Les
médias français aux ordres de la pensée unique, qui avaient déjà
imprimé leurs unes à la gloire d'Emmanuel Macron, ont stoppé net
leurs presses. Ils ne parlent désormais que des "caprices"
de Donald Trump mettant à mal
"la diplomatie mondiale".
Chaque
vassal est donc retourné dans son palais, à sa place. Chacun
s'était cru pourtant plus gros que l'oncle Sam. Mais au contraire de
la grenouille qui voulait être plus grosse que le boeuf, chacun
survivra. Dans sa tour d'ivoire, autour de ses pages, Emmanuel
Macron, a repris sa posture de petit marquis. Toujours au service du
capitalisme international, et des riches et du patronat en son
marquisat.
Et
déjà, lorsqu'il était l'un des pages de François Hollande, ce
dernier à la tête du marquisat de France:
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