Le capitalisme a vocation à tuer ; et il s'applique
Publié le 17 Octobre 2018
La preuve par l'Aude
Jaurès disait que le capitalisme porte la guerre comme la nuée porte l'orage.
Un siècle plus tard il aurait pu ajouter, le capitalisme se "perfectionne", maintenant, il fabrique les nuées et les orages pour tuer même hors temps et zone de guerre.
Il a fallu des heures pour que soit dégagé l'accès du nouvel hôpital de Carcassonne afin que les secours puissent y accéder.
Maintenant les ambulances peuvent passer mais il ne peut faire tous les actes chirurgicaux indispensables, produisant souffrance voire mise en danger graves de populations déjà meurtries : les ascenseurs, les moyens logistiques et technologiques ont été inondés.
Un siècle plus tard il aurait pu ajouter, le capitalisme se "perfectionne", maintenant, il fabrique les nuées et les orages pour tuer même hors temps et zone de guerre.
Il a fallu des heures pour que soit dégagé l'accès du nouvel hôpital de Carcassonne afin que les secours puissent y accéder.
Maintenant les ambulances peuvent passer mais il ne peut faire tous les actes chirurgicaux indispensables, produisant souffrance voire mise en danger graves de populations déjà meurtries : les ascenseurs, les moyens logistiques et technologiques ont été inondés.
Quand
les "décideurs" (lire "hors-sol" et donc au sec), ceux qui permettent
aux assureurs de drainer leur pactole vers des docks à accumulation, qui
construisent l'hôpital, la caserne de pompiers, une crèche ou l'Hôtel
de ville dans une zone inondable, mais laissent les zones historiquement
sûres à disposition des promoteurs, ce n'est pas une défaillance ou de
l'incompétence, mais un choix.
Quand les pompiers épuisés ne peuvent parvenir à faire ce que la société attend d'eux parce que le ministère, nouvellement tenu par un pilier de tripot et tapis vert ; pratique coutumière du joueur de poker, bluffant sur les moyens nécessaires justifiant ainsi ses coups de rabots, participe à liquider les budgets des collectivités territoriales pour surtout ne pas faire de la peine à la banque, ce n'est pas une faute mais un crime.
Quand les membres d'un gouvernements occupés en rencontrer patrons et banquiers ne partent pas toute affaire cessante se mettre à disposition des populations victimes d'un dérèglement climatique systémique issue des choix de leur philosophie "d'abord garantir le taux de profit et après pour les autres s'il en reste", ce n'est pas de l'inconséquence mais des choix de classe qui confirme la dimension criminelle du système
Quand les pompiers épuisés ne peuvent parvenir à faire ce que la société attend d'eux parce que le ministère, nouvellement tenu par un pilier de tripot et tapis vert ; pratique coutumière du joueur de poker, bluffant sur les moyens nécessaires justifiant ainsi ses coups de rabots, participe à liquider les budgets des collectivités territoriales pour surtout ne pas faire de la peine à la banque, ce n'est pas une faute mais un crime.
Quand les membres d'un gouvernements occupés en rencontrer patrons et banquiers ne partent pas toute affaire cessante se mettre à disposition des populations victimes d'un dérèglement climatique systémique issue des choix de leur philosophie "d'abord garantir le taux de profit et après pour les autres s'il en reste", ce n'est pas de l'inconséquence mais des choix de classe qui confirme la dimension criminelle du système
L'urgence
impose d'autres débats qu'ici des querelles d'ego, là la saveur des
placebos ou encore les calculs alambiqués pour prendre la place des
faillis de maintenant qui, sans retournement total de la table, ce
qu'aucun ne propose, laisseront la place dégagée aux bottes brunes
cloutées de haine.
Pour en finir avec les causes des morts, sinistres et dégâts, l'urgence politique est de rompre avec la logique d'un système paré du titre de libéralisme et qui se confirme tout azimut assassin et liberticide.
Pour en finir avec les causes des morts, sinistres et dégâts, l'urgence politique est de rompre avec la logique d'un système paré du titre de libéralisme et qui se confirme tout azimut assassin et liberticide.
Vive la croissance à tout prix! A TOUT PRIX !!!!
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