Moment surréaliste et pourtant bien réel alors que nous sommes sous la grêle, ces fous sont indélicats
Publié le 26 Avril 2020
ce dimanche 26 avril
au JT de 13h00
sur France2
Au
milieu d'une crise sanitaire qui n'a pas de trace équivalente depuis au
moins un demi siècle (grippe de Hong Kong) la journaliste présente
devant l'Elysée nous apprend que : " après avoir suivi le corps médical pour la phase aiguë de la pandémie, le pouvoir politique "reprend la main " (sic) pour "remettre le pays en marche"(resic)
Donc,
en France, pour organiser la sortie d'une crise sanitaire majeure (si
tant est que la notion de sortie soit médicalement à l'ordre du jour),
le pouvoir politique au lieu d'organiser la mise en oeuvre des
préconisations du corps médical, dont l'académie de médecine, fait des
choix qui relèvent d'un arbitrage, décrétant de ce qui selon lui est bon
pour le pays le MEDEF et sa population les actionnaires et rentiers.
Les
choix du gouvernement s'opposant aux préconisations des représentants
des autorités de santé publique sont constitutives de pratiques
homicides de masse relevant de la Haute cour de justice de la République
pour assistance à crime contre l’humanité, et, si l'état de guerre
annoncé par le président était retenu, de complicité de crimes de guerre
accompagné pour tous les cas et à minima de non assistance délibérée à
personnes en danger.
D'un
point de vue purement citoyen (et donc politique) de façon à ne pas
interférer sur ce que le corps médical peut et va certainement engager
es qualité pour que les responsabilités devant notre peuple et devant
l'histoire soit bien établies, face à cette forfaiture institutionnelle,
Canaille le Rouge appelle depuis son confinatorium à harceler par tous
les moyens de droit et pratiques constitutionnelles tout ceux des élus
et parlementaires se constituant rempart des méthodes assassines du
pouvoir, tous les représentant es qualité du pouvoir 'préfets, sous-préfets recteurs et autres autorités régionales et départementales représentant l'Etat .
Il
est bien évident que si ce texte correspondait à vos analyses et votre
colère il est à votre libre disposition sans besoin de faire référence à
cette publication ni même à son auteur.
PS
: il est à noter que dans l'argumentation déployée sur les ondes et
écrans par le pouvoir, tout tourne autour de la remise de "la France au
travail" mais pas un mot venant d'un quelconque membre du gouvernement
ou des parlementaires de sa majorité pour en finir avec les entraves aux
libertés constitutionnelles. Sur ce point particulier le silence ou du
moins l'extrême discrétion des partis politiques garants de la
constitutions est plus qu'alarmant et relèvent d'une forme de
complicité.
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