UNE PRESSION TROP MOLLE POUR UN PRÉFET TROP ZÉLÉ.

 Il est sous pression? Cela ne l'a pas empêché de tenir des propos condamnables, d'une gravité extrême, quand il s'est exprimé sur les victimes du Covid-19: il y avait environ à ce moment-là un peu plus de 4000 morts en France, ce Chevènementiste - socialiste ancien ou actuel, çà le regarde, mais çà ne change rien, il doit assumer sa politique et ses actes odieux, son comportement exécrable devrait être sévèrement sanctionné - a déclaré avec la morgue que la photo ci-dessus traduit à la perfection, que c'était la faute des victimes si elles étaient atteintes par le virus, qu'elles et ils n'avaient pas été suffisamment disciplinés, quelque chose comme çà. Faire matraquer des manifestant(e)s ne lui a pas suffi, il en a remis une couche un peu plus tard avec les victimes de la pandémie qui frappe la planète. En les culpabilisant. 

Il est vrai que c'est devenu une manie dans ce gouvernement: on culpabilise, on infantilise à tour de bras, - sans parler de ses incessants changements d'avis dans la gestion tristement calamiteuse de cette pandémie- je suis obligé par ex. pour aller acheter mon pain de me rédiger une autorisation de sortir de chez moi, je m'autorise à me rendre chez le boulanger! C'est pas quelque chose d'extraordinaire, çà? Il fallait l'inventer. Pour nous habituer à courber l'échine et tout accepter sans avoir le droit de résister aux machinations de toutes sortes qui deviennent force de Loi!  
Je persiste et je signe: Macron le mal élu , nous culpabilise, il nous infantilise, pour oser braver son courroux dans sa lutte acharnée  pour imposer au peuple travailleur ses "réformes", exigées par les banques et les milliardaires européens  
  

Pour revenir au préfet Lallement, chaque Français garde l'image de ce sourire engageant qui le fait aujourd'hui reconnaître et apprécier entre tous. Sa franche bonhommie fait penser à certains personnages d'une époque qu'on croyait révolue, mais dont s'inspirent de plus en plus de représentants des "forces -dites- de l'ordre", racistes et fascisants comme il n'est pas permis dans une nation républicaine. Il y a peu, c'était des policiers, des gendarmes.....Aujourd'hui, des pions de la macronie. Il est sous pression? Il est toujours préfet. Pourquoi n'a-t-il pas été congédié? Remplacé? Pour son comportement condamnable. Il se sent protégé, invulnérable, comme ceux, avec casques et matraques,  dont il a la responsabilité, ceux qui chassent le "bougnoul" qui ne sait pas nager. Souvenir de la torture officialisée en Algérie par des militaires et vrais chrétiens. Pardon aux VRAIS! Il est sûr que si l'idée prend à Macron d'entreprendre la grande lessive, il va devoir entreprendre un sacré boulot, entre la violence des uns et l'incompétence de la plupart des autres, à commencer par lui-même, et si en plus il consulte le baromètre de sa popularité, il ne va plus rester grand monde là-haut, à Paris.
Quand un préfet socialiste balance à une manifestante gilet jaune "on n'est pas dans le même camp", on se rend compte à quel point il y a loin de la coupe aux lèvres pour goûter le monde nouveau promis par Jupiter: dans cette société aux multiples benallas, la justice n'est pas la même pour tous, seule une Union Populaire spontanée pourra mettre en chantier les changements qui s'imposent pour la construction d'un monde économiquement, socialement, et écologiquement, vivable.
Vivable. Plus juste. Tout simplement.