mardi 27 octobre 2020

LE BATEAU IVRE ET LE TITANIC

Le bateau ivre et le Titanic.

Publié le par Boyer Jakline

Je suis  d’un œil distrait les informations du matin, son coupé.  L’Europe,  la très riche Europe, qui concentre un pourcentage élevé des richesses mondiales, se débat avec Covid19.  Ses pauvres, car elle en produit des millions, sont particulièrement frappés.

Et les gouvernements appliquent des stratégies parallèles, punitive, sauf pour le virus finalement. 

Ce qui permet aux bénis oui oui qui nous servent de journalistes  de répéter en boucle : l’Espagne aussi,  l’Italie  etc... Encore qu’un couvre-feu, l’heure du commandant,  à  23 h (Espagne), ce n'est pas la même chose, que 21 heures,  non?

Les Gallois  sont reconfinés, les Irlandais aussi.  Gestion punitive, pour des peuples nés  rebelles. 

Une amie,  à  Londres, m’explique le mode d’emploi ou comment l’état désormais règle la vie de chacun.  Les parents et les enfants qui n’habitent pas sous le même toit(!) ne peuvent  se rendre visite. Ils ne peuvent se rencontrer que  dehors ou...au restaurant. 

Décidément,  ces gouvernements,  tous "néolibéraux", soit réactionnaires,  rivalisent  d’imagination pour inventer des mesures punitives, imposées d’en haut, sans jamais changer une stratégie dont le virus se moque, de plus en plus interrogée par un nombre croissant de médecins et épidémiologistes.

Le président français,  autorisé par une Constitution qui donne là sa pleine mesure autoritaire,  ne se prive pas  de nous malmener. No limit, me dit un ami au téléphone.

Cette Constitution est née pendant la guerre d’Algérie. Depuis,  le pays est gouverné sur ce mode.

Le président de la start-up nation met en difficulté d’abord tous ces "convertis" à  son projet : précaires, ils sont en grande difficulté économique.  Mais ils ne sont pas les seuls. Beaucoup souffrent,  n’ont pas ou peu de revenus surtout parmi celles et ceux dont les revenus étaient déjà insuffisants

Dans mon article précédent je donnais des informations sur la gestion en Russie. 

Y ajouter les vaccins en cours  de diffusion sur la base du volontariat. 

Bateau ivre et Titanic : dommage,  nous y sommes embarqués.  A moins que nous les quittions !

 

Aucun commentaire: