vendredi 30 avril 2021

Encore plus à droite que Sarko

 Plus répugnant que Marcellin,

en passe de finir de doubler

Le Pen sur sa droite 

Le macronisme s'affiche comme une variante de pétainisme passée par l'ENA

Encore plus à droite que Sarko

40 ans après les faits, sept Italiens, dont d’anciens membres des Brigades rouges, condamnés en Italie pour des actes de terrorisme commis dans les années 1970-1980, installé depuis des décennies en France tous retraités sexagénaires ou septuagénaires faisant l’objet d’un mandat d’arrêt, ont été interpellés  mercredi 28 avril à la demande l’Italie, a annoncé l’Elysée.

Selon cette même source, trois autres brigadistes également condamnés par la justice italienne n’étaient pas à leur domicile et sont encore recherchés.

Si la police française laisse courir alors qu'elle sait qui ils sont les assassins des militantes kurdes sur notre territoire, le garde des sceaux qui parait-il fut avocat dans une vie antérieure non seulement à laisser faire mais valide ces pratique qui jettent des cendres de la honte sur notre pays.

Avec cette décision, Macron foule au pied la parole de la France. jamais depuis 40 ans la France n'avait jamais accepter de céder aux injonctions des différents gouvernements italiens.

C'est une nouvelle tache indélébile qui marque l'infamie de ce gouvernement.

« Le président a souhaité régler ce sujet, comme l’Italie le demandait depuis des années », a déclaré l’Elysée , précisant que cela entrait dans le cadre de sa lutte antiterroriste contemporaine.

 

 

Le Monde (qui semble partager l'indignation qui s'exprime de plus en plus largement à l'annonce de cette forfaiture) précise :  

Pour Me Terrel (avocat des sexagénaires arrêtés ), scandalisée, 

« c’est la France qui leur a donné l’asile, les autorités, droite et gauche confondues, et non pas François Mitterrand ». « Depuis les années 1980, ces gens-là sont sous la protection de la France, ils ont refait leur vie ici depuis trente ans, sont installés au vu et au su de tous, avec leurs enfants, leurs petits-enfants… et au petit matin on vient les chercher, quarante ans après les faits ? », s’est indignée l’avocate. « C’est innommable et irrecevable en droit », a-t-elle conclu, décidée à contester ces procédures d’extradition.

Parmi ses clients arrêtés mercredi figure notamment Marina Petrella, 66 ans, ex-membre des Brigades rouges condamnée à la prison à vie et à qui la France a accordé l’asile politique. Le président Nicolas Sarkozy s’était opposé en 2008 à son extradition, autorisée par la justice, en raison de l’état de santé de Mme Petrella.

Les autres personnes interpellées sont Giorgio Petriostefani, Narciso Manenti, Roberta Capelli, Enzo Calvitti, Giovanni Alimonti et Sergio Tornaghi. Les trois personnes encore recherchées sont Maurizio Di Marzio, Luigi Bergamin et Raffaele Ventura, a précisé l’Elysée.

L’avocat d’Enzo Calvitti, s’est aussi insurgé de cette décision, qu’il a qualifiée d’« incompréhensible ». « L’Etat s’était engagé à ce qu’il n’y ait pas d’extradition malgré les demandes répétées des Italiens, alors pourquoi ce revirement, quarante ans après les faits ? C’est un reniement de la parole d’Etat », a réagi Me Jean-Louis Chalanset. Son avocat a précisé que M. Calvitti vivait en France avec un titre de séjour – « pas du tout en clandestin » – et y avait longtemps exercé la profession de psychothérapeute, avant de prendre sa retraite récemment.

Renouant avec la pratique de livraison des réfugiés politiques à l'Allemagne en 39 ou à l'Espagne à l'époque de Franco, nous savions que nous avions une crapule à l'Elysée, il s'affiche comme un enfant de Pétain.

 

vendredi 23 avril 2021



Que dit Poutine ?

J’ai écouté l’émission C dans l’air consacrée à Poutine, où trouvent-ils pareille bande de commentateurs? Partons d’une idée simple concernant Poutine, et qui parlera peut-être aux Français: Poutine est pour les Russes assez proche de ce que fut De Gaulle pour nous, l’indépendance et la grandeur de la France, mais aussi l’homme des monopoles et avec un parti à sac et à corde, des voyous. Ses adversaires, les communistes qu’il s’emploie à réduire mais dont il sait qu’ils sont les seuls patriotes et surtout dont il doit tenir compte pour l’équilibre social et le consensus. A partir de là il nous faut comprendre ce qu’il dit face à l’agression occidentale qui ne désarme pas. Il marque effectivement une ligne rouge et reflète l’opinion russe. Les Russes sont persuadés que l’OTAN, les USA, l’UE dans une crise profonde n’ont d’issue que dans la guerre. Ils ne veulent pas la guerre, Poutine pas plus que les autres. Mais de plus en plus monte l’idée, s’il faut s’y résigner ils la feront comme ils l’ont toujours faite parce qu’on est venu les chercher. Poutine a donc marqué la ligne rouge mais proposé “la coexistence pacifique”. Le terme n’est pas innocent, il a repris la posture de l’URSS et la discussion sur le désarmement, il a même eu un lapsus révélateur en parlant du “pacte de Varsovie”, révélateur sur l’expérience de 1991, d’une dissolution unilatérale alors que de l’autre côté l’OTAN se renforçait. Mais le paradoxe de ce discours de mise en garde c’est que la majeure partie était consacrée à créer les conditions de l’unité intérieure. De ce point de vue sans reprendre totalement les propositions des communistes, en particulier la transformation de la nature même de l’État, il a lâché du lest et annoncé un plan de développement qui emprunte certaines exigences des communistes qui sont celles du KPRF et du peuple russe. Ziouganov lui a répondu déjà que cela ne suffisait pas et qu’il fallait complètement réorienter l’état, l’arracher à la cinquième colonne libérale, en donner la direction aux seuls patriotes autrement ce serait un simple effet d’annonce. S’il n’allait pas jusqu’au bout de sa démarche de coexistence pacifique et de mobilisation du peuple russe comme l’URSS, il donnerait de la force au courant déjà prêt à trahir et à se donner une fois de plus à l’occident comme ils l’ont fait en 1991. (note de Danielle Bleitrach)

RECHERCHEVladimir Poutine s'adresse à l'Assemblée fédérale, le 21 avril 2021

Poutine conseille aux autres pays de ne pas «franchir la ligne rouge» avec la Russie

© Sputnik . Sergueï GouneevRUSSIE12:23 21.04.2021(mis à jour 22:00 21.04.2021)URL courtePar Anastasia Patts9057713S’abonner

Vladimir Poutine espère qu’aucun pays n’aura à l’esprit de «franchir la ligne rouge» dans ses relations avec la Russie qui tracera elle-même ladite ligne selon les cas.

La Russie tracera elle-même «la ligne rouge» dans ses relations avec les autres pays, a déclaré ce 21 avril Vladimir Poutine lors de son allocution à l’Assemblée fédérale.

«Je suis obligé de le dire. Nous ne manquerons pas de patience, de responsabilité, de professionnalisme, de confiance en soi et en la justice, ainsi que de bon sens quand nous aurons à prendre des décisions», a déclaré le chef de l’État.

«Mais j’espère qu’aucun n’aura à l’esprit de franchir cette ligne rouge de la Russie. Nous tracerons ladite ligne selon les cas.»

La promesse d’une riposte «prompte et dure»

Même avec ses rivaux, la Russie ne souhaite pas couper les ponts, a-t-il ajouté, mais si c’est ce qu’ils veulent, alors ils doivent être prêts à une riposte.

«En effet, nous souhaitons maintenir de bonnes relations avec tous les acteurs internationaux, dont ceux avec lesquels elles ne marchent pas vraiment, et c’est un euphémisme de le dire. En réalité, nous ne voulons pas couper ces ponts. Mais si quelqu’un qualifie nos bonnes intentions d’indifférentes ou de faibles, et s’il est déterminé à couper les ponts, alors il doit savoir que la réponse de la Russie sera asymétrique, prompte et dure», tranche le Président russe.

Les organisateurs de provocations menaçant la sécurité de la Russie «le regretteront comme longtemps ils n’avaient rien regretté.»https://www.youtube.com/embed/XLJ9zdemKKAVladimir Poutine a également rappelé que la politique russe au niveau international visait à assurer la paix et la sécurité pour ses citoyens et à développer son pays.

La stabilité internationale

La proposition d’échanger sur la stabilité stratégique et globale au niveau international a été évoquée par M.Poutine.

«Leader dans la mise au point de systèmes de combat de nouvelle génération et le développement de nouvelles forces nucléaires, la Russie exhorte ses partenaires à discuter les questions d’armement stratégique et de stabilité globale».

Selon lui, la création d’une zone de cohabitation pacifique pourrait faire l’objet de discussions.

Des sanctions illégales

Enfin, Vladimir Poutine a déploré la récurrence de la mise en place de sanctions économiques illégales:

«Malheureusement, il semble que tout le monde soit déjà habitué aux sanctions économiques illégales politiquement motivées et aux tentatives brutes de certains d’imposer leur volonté aux autres».https://www.youtube.com/embed/HJ69S0p_c-s


 

mardi 13 avril 2021

Et le Virenque du jour est décerné à :

Brice Hortefeux pour :

Et le Virenque du jour est décerné à :

Il mange au restau à l'insu de son plein gré.

Alors que la garde à vue du chef Christophe Leroy, soupçonné d’avoir organisé à Paris des repas luxueux clandestins avec Pierre-Jean Chalençon, a été levée vendredi, Mediapart fait de nouvelles révélations.

Le média d’investigation révèle que l’ancien ministre de l’Intérieur et actuel député européen Brice Hortefeux a participé à un repas dans un restaurant clandestin parisien, aux côtés de l’éditorialiste Alain Duhamel, qui officie notamment sur BFMTV.

Notons au passage que nous ne savons rien du statut des personnels utilisés pour le service, la plonge et l'assistance au Vatel bénévole. Cela sent comme un fumet de travail au noir ou (et) d'escroquerie au préjudice de l'UNEDIC au titre du chômage partiel. 

La ministre du travail va-t-elle diligenter une procédure pour tirer cela au clair ? 

Médiapart lève un solide morceau de coin de voile avec ce qui suit : 

"...quelques adresses prestigieuses parisiennes se sont organisées depuis des mois pour accueillir un public trié sur le volet dans des arrière-salles ou des appartements attenants, spécialement loués pour l’occasion.

« On a un certain type de clientèle qui vient ici. Pour venir en ce moment, il faut déjà avoir le numéro, être client depuis un petit bout de temps. La clientèle de ce genre de restaurant, ce n’est pas forcément des politiques à 100 %. Ce sont des patrons d’entreprise la plupart du temps et leur entourage. Les tarifs varient [à partir dun] minimum [de] 350 euros par personne, et après cela peut aller plus haut selon les vins », explique à Mediapart, sous couvert d’anonymat, un serveur d’un restaurant huppé du VIIIe arrondissement à Paris qui propose des repas clandestins. « Ce qu’on nous dit ici, c’est qu’à chaque fois qu’une descente de police est prévue, le patron est avisé en amont », ajoute cet employé.

« On va aussi souvent chez les particuliers. On envoie une équipe sur place au nom du restaurant, mais ce n’est pas au restaurant. Ils évitent au maximum de faire des repas dans le restaurant pour les raisons évidentes, complète-t-il. Mais quand ils organisent des repas dans le restaurant, il y a quand même un respect de quelques règles. En théorie, ce n’est pas au-dessus de six personnes. Au maximum, j’ai servi des tables de 10 au restaurant. C’est pas non plus des grosses soirées clandestines et tout le personnel a un masque. »

Ce serveur est « payé intégralement au black » : « Les clients paient aussi au black, il n’y a pas de paiement en carte bleue et la facture est envoyée après, et je pense qu’ils passent ça sur de l’emporté. Ils doivent le déclarer mais d’une autre façon. Moi je sais que je ne suis pas déclaré. »

« La plupart des salariés présents au restaurant sont déclarés officiellement en chômage partiel mais viennent travailler », ajoute un autre employé, qui travaille pour un restaurant coté de Paris, où le patron organise des déjeuners avec des personnalités. « Il a la réputation de se croire au-dessus des lois », complète le serveur...."

Mais le mis en examen pour divers affaires, second couteau de sarkozy, précécesseur du stayre puant en place à Beauvau, ne semble pas inquiété par le ministre en charge de la justice (lequel à son grand dam, a été apperçu récemment à une heure proche du couvre-feu, à pied comme à l'habitude de tout ministre dans Paris, rue Vivienne. Ce qui fait désordre).

Le gamin qui plaide de bonne fois ou pas ne pas savoir qu'il est receleur de Smartphone volé passe d'abord par la case garde à vue avant de pouvoir éventuellement se faire assister d'un avocat pour s'en sortir.

Le même qui avec ou sans smartphone est choppé à 19h01 sur la pelouse devant chez lui écope de 135€ et d'un passage non volontaire au poulailler avec éventuellement une accusation de rébelion pour justifier qu'il y ait été embarqué. 

Les hors sols ne sont même plus à l'abris puisque nous avons appris qu'au mépris de la constitution et sans que le perroquet du perchoir de frémisse d'une rémige ou ne bouge un ergot, un député a été interdit d'accès à l'Assemblée Nationale par des membres de la guardia civil du caudillo de l'Elysée.

Pendant ce temps, la pandémie continue ses ravages

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