Le pactole de la maltraitance
l'ignoble, visible.
Mais aussi derrière le fond de scène,
pas plus reluisant.
Ainsi donc , en bon père de famille protégeant ses biens, le patron d'Orpéa - preuve si besoin qu'il maitrisait parfaitement les rouages financiers et la profitabilité qu'il avait charge de piloter- le saigneur des pensions apprenant qu'un opuscule détonnant risquait de peser sur le cour de bourse du groupe et ainsi contrarier ses projets financiers, s'est empressé d'encaisser 580 000€ en revendant sa part accumulée des actions qu'il avait su faire si bien fructifier.
Oui, ce monsieur est une ordure, l'affaire est entendue.
Mais, que lui ?
Les quatorze autre membres du comité exécutif, les cadres ultra-sup du staff de direction, ceux des 13 membres du CA qui ont validé la stratégie ceux qui n'ont rien dit, ont voté les comptes, la répartition des dividendes (toutes fonctions arbitrales légale existant pour organiser l'activité d'un tel groupe) d'innocents perdreaux de l'année ?
Les gens qui dans la précipitation ont voté l'éjection de la tête de gondole des pilleurs ne sont pas eux même des pillards ou impliqué dans le pillage ?
Et que dire des parlementaires, ministres et gouvernements qui ont maçonné les niches fiscales autorisant le pillage des fonds publics et revenus des familles tant en amont par la jungle tarifaire qu'en aval par les incitations fiscale pour qui va participer à la curée.
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