Oui nous avons un gouvernement d’escrocs mais comment échapper au piège du “consensus” de la Macronie ?
Il arrive un moment ou sans remettre en cause les voix qui refusent que la classe ouvrière, les plus pauvres, fassent les frais d’une telle politique, on ne peut pas en rester là… Si l’on ne peut qu’approuver la dénonciation de ces gens qui chassent les plus démunis en bande organisée, cautionner si peu que ce soit cette querelle de succession de la Macronie, tirant à droite et à gôche” dans l’entente parfaite sur la vassalisation de l’UE, le militarisme sans ressources réelles et la toute puissance des marchés financiers, trusts de l’armement, Zelensky bis… Le fait est que prétendre limiter la dénonciation sans remise en cause géopolitique, et sans élucidation des “fondamentaux” de la dite bande c’est non seulement leur faire un cadeau, à eux et à l’extrême-droite (qui peut centrer son “opposition” sur la défense de la suprématie raciale occidentale), mais s’interdire la recherche de solutions en rupture avec les leurs. C’est ce qui oriente désormais ma démarche qui n’est pas “contre” le peu qui est tenté, mais qui s’intéresse plus aux perspectives déjà là… Il m’est impossible de ne pas penser l’action “ailleurs” que dans le cadre actuel du consensus de ces élections européennes, dans le refus de l’OTAN, de l’économie de guerre qui se substitue aux dépenses sociales, à celles sur le climat, à l’exigence du socialisme et au moins à la conscience d’enjeux planétaires de coopération dont l’écho est national, local… Un certain nombre de publications d’histoireetsociete sont de ce fait totalement en dehors du “champ du politique” électoral actuel et doivent être lus comme tels, la perspective est au-delà.. (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Face au dérapage du déficit public annoncé ce mardi 26 mars, Bercy agite la menace de nouvelles économies, de l’assurance-chômage aux arrêts maladie.
Après le doublement, dès le 31 mars, du reste à charge des patients sur les médicaments, les transports sanitaires ou les consultations médicales, qui doit rapporter 800 millions d’euros de recettes annuelles, plusieurs postes de dépenses sont dans le viseur.
Le freinage des dépenses liées aux arrêts maladie est une « priorité », a déclaré mardi Bruno Le Maire. « C’est le sujet sur lequel nous allons concentrer nos efforts » car « chacun voit bien qu’il y a des abus », a précisé le ministre de l’Economie et des Finances à des journalistes.
Depuis plus d’un an, le gouvernement répète qu’il juge nécessaire une réforme. L’Assurance-maladie estime à 13,5 milliards d’euros (hors maternité) la dépense d’indemnités journalières hors Covid en 2022, soit une hausse moyenne de 3,8 % par an depuis 2010, que ni la croissance démographique ni la hausse des salaires ne suffisent à expliquer.
Les médecins libéraux, qui négocient actuellement des hausses de rémunération avec l’Assurance-maladie, pourraient s’engager, dans leur convention, à maîtriser leurs prescriptions d’arrêts de travail. Parmi les « engagements collectifs » réclamés par l’Assurance-maladie, figure l’objectif de « ralentir » de 2 points de pourcentage la croissance annuelle, actuellement estimée à 6 % selon Thomas Fatôme, le directeur général de l’Assurance-maladie.
Par l’intermédiaire de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024, l’exécutif a déjà limité à trois jours la durée des arrêts prescrits par téléconsultation (sauf exceptions, notamment lorsque la téléconsultation est faite par le médecin traitant).
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