vendredi 26 avril 2024

 

Macron : un petit vélo dans la tête (°)

« Macron a-t-il toute sa tête ? » se demandent des médias étrangers. Il l’a… Mais à sa façon. Depuis sept ans qu’il nous en fait voir de toutes les couleurs, ses foutraques sont devenues routines dans le Landerneau politico/people. Puis, il est entouré d’une bande de bras cassés, qui à l'occasion peuvent se fracturer aussi les jambes, tant et si bien que le mouvement « En Marche » est devenu « Renaissance », car moins risqué. Entre ses petites phrases vachardes et bien mesquines, ses attitudes qui mettraient la honte à n’importe qui : la coupe du monde au Qatar où il s’agite dans les tribunes comme le Désossé de Lautrec, à picoler au goulot de la bière dans une discothèque en Afrique, ses invités olé, olé à l’Élysées qui transforment la cour intérieure en une « marche des fiertés » ; on pourrait en citer à plus soif, tant l’ectoplasme a déconsidéré la fonction de président. Mais là, ce n'est pas vraiment le sujet. Soulignons tout de même sa propension à se tourner en ridicule partout où il passe… Il a loupé sa vocation pour le cirque Pinder et l’école Zavatta.

La dérive de l’esprit : Le personnage n’apprécie aucune contradiction, cela vient de son éducation. « Grandir » en étant persuadé de détenir toutes les vérités, fait qu’arrivé à l’âge « adulte », ce type de personnage restera coincé plutôt dans un entre deux psychologiques de préado et d’ado. Si en plus l’égo s’est gonflé tel un Zeppelin… N’oublions pas que l’Édimbourg s’enflamma et en quelques secondes et s’effondra au sol telle une baudruche percée. Peut-être perçoit-il sa fin, dans un déluge apocalyptique, et ainsi, secrètement, en jouit-il (on vous avait dit que ça ne tourne pas rond dans sa t’étête). D’ailleurs ses réactions sont très étranges : rappelez-vous lors de l’inauguration de la coupe du monde de rugby où il fut sifflé si fort, et son sourire en coin du style « sifflez, sifflez bande de minables, moi, ça me fait kifer à mort ! ».

La dérive autoritaire : Macron a sérieusement des velléités de monarque absolu. Il en est arrivé à lancer, contre des maltapropos, des lettres de cachot. Prenons le cas de Marc Doyer. Un brave type, qui ayant perdu sa femme suite aux vaccins du Covid, veut que la vérité soit faite et qu’une enquête soit diligentée. Ce pauvre homme a eu la malencontreuse idée d’envoyer un tweet à Macron, qui, aussitôt, a envoyé les gros bras de la police d’intervention en défonçant sa porte à six heures du matin, en l’embarquant pour une GAV sous le prétexte que ce gêneur l’avait menacé de mort. Comme le dossier était vide, Doyer fut libéré rapidement et le dossier classé sans suite. Paranoïa, abus de pouvoir, utilisation de la force publique à des fins de règlements de compte ? Ce qui est certain, c’est que ce président ne se sent plus, il est hors sol et sa dérive maladive s’accentue de jour en jour, d’où ses rodomontades faisant rire le kremlin, mais ne faisant pas se marrer les autres gouvernements européens : la France envoyant des troupes au sol contre la Russie, ca serait aussi crédible qu’un match de boxe entre Tyson et Brigitte M. (non, pas boney M !).

Plus le temps passe et plus Macron est dans son délire d’illusion d’avoir raison sur tout, surtout ! La seule chose arrêtant ce type d’individu, c'est l’affrontement direct et il y va tout droit « venez me chercher » est psychiatriquement limpide et nous indique expressément ce qui est seul capable de le faire tomber ; car comme la plupart des grands délirants, il donne des clés pour l’arrêter, ne pouvant s’arrêter lui-même. D’où ces provocations permanentes, ces actes pour se mettre tout le monde à dos et cette volonté de briser les conventions venant d’un homme conservateur. L’en même temps et le temps même…

Pour sa défense, les médias en France ainsi que la masse silencieuse font comme si de rien n’était ; tout va bien, monsieur le petit marquis ! La république « avance » à coups de 49,3, on a éborgné et mutilé des Gilets Jaunes, tout va bien. Le pays est mis de plus en plus sous un régime dictatorial qui ne veut pas se nommer, c’est Okay ! Des conférences sont annulées, des spectacles aussi, des syndicalistes, des politiques sont arrêtés, mis en garde à vue, personne n’y trouve rien à redire. On a muselé des enfants, piquousés 75% des gens, souvent en leur forçant la main, on a rendu parias ceux qui refusaient de se laisser vacciner, on a mis en place des QR codes d’infamie, et le pays a plongé de 1000 milliards… Bien sûr, Macron est mille fois responsable, mais en 2022, qui l’a ramené sur le trône ? Qui ? Au lieu de surnommé l’agité « Jupiter », comparons le à Caligula, qui disait en son temps : « qu’ils me haïssent, pourvu qu’ile me craignent.  »

Par la voix de quelqu’un de bien plus sage, Etienne de la Boétie, je répondrais à ce sanguinaire empereur romain : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genou. »

Georges ZETER/avril 2024

 

Avis de Pedrito

(°)  Ou un papillon sous l'abat jour....

       Ou la folie des grandeurs

        etc.....au choix du lecteur citoyen

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