jeudi 18 avril 2024

Publié par El Diablo

 

 

9 juin, Saut fédéral européen : Les jeunes de l’Europe veulent la paix, l’UE veut la guerre

9 juin, Saut fédéral européen : Les jeunes de l’Europe veulent la paix, l’UE veut la guerre !

 

Macron, Scholz, Tusk et von der Leyen, non content de préparer la jeunesse d’Europe à s’engager plus directement en Ukraine euro-nationaliste contre la Fédération de Russie, rêvent également de dissoudre les Etats nations, trop susceptibles de faire prévaloir leurs souverainetés nationales à la « souveraineté européenne », à l’occasion des élections du 9 juin qui permettront à l’UE-OTAN de légitimer leur « saut fédéral européen ». Il faut bien en mesurer la gravité : les parlements nationaux seront appelés à valider a posteriori, dans le dos des peuples, la mise en place d’un Etat fédéral européen reléguant les nations actuelles aux rôles subalternes de Landers allemands ou d’un Etat fédéré nord-américain ; en bref, à devenir, sans aucun débat démocratique, de simples provinces de « l’Empire européen ».

 

Ainsi ce « saut fédéral européen », à défaut d’indépendances nationales, de défenses nationales, de souverainetés populaires, de conquêtes sociales à échelle nationale, de juridictions nationales, de diplomaties nationales, de langues et de patrimoines linguistiques nationaux ainsi que de services public nationaux, y substituera :

- un gouvernement européen supranational qui rendrait les luttes encore plus difficiles en éloignant et en centralisant comme jamais les prises de décisions politiques et économiques et en soumettant les récalcitrants à une répression d’ampleur continentale ;

- une armée européenne enchâssée dans l’O.T.A.N. pour faire la guerre aux peuples extérieurs à l’U.E. (Russie, Serbie…), mais aussi, au besoin, aux peuples des pays membres de l’U.E. qui, tôt ou tard, s’insurgeront contre l’euro-dictature oligarchique ;

- la totale possibilité pour l’O.T.A.N. de faire circuler à sa guise ses armées sur le « territoire européen » sans même avoir à demander le feu vert des ex-Etats-nations : bond en avant géant pour les croisés de la nouvelle ruée vers l’Est, humiliation nationale énorme pour les européens reconduit à la situation de semi-occupation américaine, mais aussi moyen décisif pour l’oligarchie continentale de régler leur compte aux éventuelles insurrections populaires qui peuvent surgir dans les prochaines années.

- une gendarmerie européenne, véritable police transnationale aux ordres du grand capital et de l’impérialisme ;

- un droit européen s’imposant en tous domaines, y compris très vite, dans les domaines économiques et sociaux ;

- une langue unique européenne imposée — l’anglo-américain du « monde des affaires capitalistes » — qui ne mettrait pas deux décennies à dévaster le riche patrimoine linguistique européen dans sa ci-devant diversité ; 

- la règle de la majorité simple succédant à l’unanimité qui permettrait au grand Capital européen de dégommer l’un après l’autre tous les acquis sociaux ou laïques conquis dans le cadre des Etats nationaux, en mettant en place à toute occasion des majorités d’Etats-membres à périmètres variables pour liquider l’ensemble des conquêtes sociales, démocratiques et nationales du monde du travail, des peuples et de la classe ouvrière de nos pays respectifs. 

- l’interdiction officielle du socialisme et des nationalisations démocratiques. Les résolutions adoptées par le Parlement européen, prévoient que tous les Etats-membres s’engagent à « sécuriser les investissements » sur leur territoire, ; c’est-à-dire, en clair, à ne pas toucher aux « valeurs » principales de l’UE: la propriété capitaliste des moyens de production et d’échange! Soit une forme de totalitarisme capitaliste aggravant encore le principe déjà présent dans les traités qui affirme que « l’UE est une économie de marché ouverte sur le monde où la concurrence est libre et non faussée » ;

 

- la criminalisation continentale du communisme par le Parlement européen par l’application stricte de résolution du 16 septembre 2018 et la banalisation du nazisme par l’UE-OTAN qui sanctifie le régime bandériste de Kiev, les néo-mussoliniens de Melloni et les nostalgiques de l’Europe hitlérienne des pays baltes ;

- la casse européenne des salaires qu’organise en permanence la BCE gestionnaire de l’euro ;

- la marche au « conflit global de haute intensité » avec la Chine, l’Iran, la Russie, etc., que prépare l’UE-OTAN sous protectorat étatsunien et sous proconsulat berlinois !…

Quel sombre avenir totalement anti-démocratique, anti-social, anti-écologique, anti-national et belliqueux nous promettent l’Union européenne et l’OTAN !

Mais les jeunes d’Europe peuvent se lever, pour leur avenir, pour celui de leurs pays respectifs, contre l’ordre euro-atlantiste.

Quelque soit le choix de nos organisations de participer ou non aux élections européennes de juin, il est indispensable de faire bloc pour dénoncer la marche impériale européenne au totalitarisme et à la guerre et pour dire NON au saut fédéral européen !

Les jeunes d’Europe veulent la paix, l’Union européenne et l’OTAN veulent la guerre !

 

 

La militance PCF fracturée par l’attitude de la direction Roussel sur la Palestine 

Durant des dizaines d’années, et même si la dérive social-démocrate et euro-complaisante du PCF allait s’accentuant, ce parti jadis anticolonialiste a longtemps gardé un positionnement décent sur la question palestinienne. Le fait que désormais, sur cette question aussi, la dérive social-imperialiste du PCF soit devenue flagrante, le plaçant même à droite de LFI, crée des tensions croissantes y compris chez des militants ordinairement prompts à tout avaler par « esprit de parti » mal compris. Quand on en est, comme Roussel et Chassaigne, à voter les crédits de guerre réclamés par Macron pour guerroyer en Ukraine derrière un régime pronazi couvé par l’OTAN, on peut bien dans la foulée renvoyer quasiment dos-à-dos les deux parties aux prises au Proche-Orient, c’est à dire le peuple palestinien génocidé, et l’agresseur fasciste Netanyahou fauteur de guerre régionale, voire mondiale. 

Bref il n’y a que la première trahison qui coûte et, comme l’écrivait Racine dans La Thébaïde,

« Les premiers forfaits coûtent quelques efforts,

Mais on commet, Attal[1], les seconds sans effort ».

A lire : Interview de Roussel dans l’Huma, déclaration du CCN, les appels à droite toute du PCF.


L’enquête de Médiapart qui démontre la montée de la contestation de Roussel Deffontaine au sein du PCF

Dans une enquête de Médiapart publiée le 11 avril il est fait état d’un « malaise grandit au sein du Parti communiste français (PCF), que même l’exigence de cohésion en pleine campagne pour les européennes du 9 juin ne parvient pas à étouffer complètement » selon les mots du journaliste Mathieu Dejean.

Entre autres éléments, il est rapporté que le 8 mars la section de Gennevilliers dans le 92 a voté à l’unanimité une déclaration « une déclaration protestant contre le refus répété du parti designer les appels à manifester du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI). » Même tonalité du coté de la coprésidente communiste au conseil de Paris Raphaëlle Primet qui a écrit pour témoigner de la « colère contre le manque de prise d’initiative (de la direction du PCF ndlr), de parole et d’actes forts ». Les camarades communistes qui osent privilégier la défense du peuple palestinien, dans la continuité des prises de position de toujours, plutôt que la stratégie de triangulation visant à se rapprocher du PS et d’EELV, en reprenant les éléments de langages de la droite extrême de Macron à Le Pen, pour attaquer les positions de la gauche (LFI notamment) dénoncent un climat de répression interne. Dans la section du 19e, Hadrien Bortot rapporte au journaliste de Médiapart « Le choix fait par la direction de participer à l’idée qu’il y a deux gauches sur la question palestinienne a créé de fortes divisions dans le parti : j’en ai fait les frais en étant taxé de “soutien des terroristes” par une camarade »

Les militants communistes dénoncent ainsi une absence délibérée de la part de la direction du PCF qui est à l’encontre du soutien au peuple palestinien.

Les associations de défense des palestiniens sont interloquées par une double conditions posées par le PCF comprenant notamment que la solution à deux Etats soit définie comme seule solution politique au conflité. Interrogée par Médiapart, Anne Tuaillon, présidente de l’Association France Palestine solidarité (AFPS),longtemps proche du PCF, souligne « Alors qu’il y a un génocide en cours, le PCF fait de cette seule solution une condition pour signer les appels communs. On a du mal à le comprendre, l’essentiel étant de marquer notre solidarité avec les Palestiniens. »

Jean Claude Lefort, député PCF du Val de Marne pendant 20 ans, beau père de Salah Hamouri et figure de la cause palestinienne en France a publiquement annoncé quitter le PCF en raison de ses prises de positions.

Et Médiapart de souligner que la ligne sur le conflit israélo palestinien de Roussel est désormais écrite par le trotskyste Christian Piquet, transfuge du NPA et de la LFI, en condamnant les « pulsions génocidaires » et « pogrom à l’intention génocidaire déclenché le 7 octobre » par le Hamas mais n’employant pas, après la destruction des deux tiers de des constructions de Gaza, le siège interdisant l’aide humanitaire et y installant la fin, et plus de 30 000 victimes civiles les mêmes termes de génocide s’agissant d’Israël. Le candidat PCF aux européennes Léon Deffontaines reprend à son compte les éléments de langage de Macron « Par leur refus de qualifier le Hamas de terroriste, les Insoumis affaiblissent la voix des palestiniens en France » et même de l’extrême droite avec un ignoble « LFI cherche des parts de marché électorales dans des réseaux communautaires ». La député PCF Faucillon, pourtant parmi l’aile la plus réformiste du mouvement s’inscrit en faux « On ne peut pas marquer un mouvement de recul dans une période où il faut avancer sur le cessez-le-feu et sur l’analyse d’un projet colonisateur qui mène une guerre génocidaire : ces mots ont une grande importance, car la qualification des faits, c’est aussi ensuite celle des responsabilités »

Hadrien Bortot souligne « Je pense qu’on a voulu coller au discours médiatique et que six mois après, on essaye de changer de cap tout en ayant cassé le rassemblement nécessaire »


[1] On peut au besoin remplacer ce nom bien venu par un autre, également en deux syllabes…

 


France 2024 : la faillite de la raison

Qui stoppera la marche au massacre à venir ?

mercredi 17 avril 2024 par Francis Arzalier (ANC)

Depuis quelques jours, le bourrage de crâne belliciste par nos médias dits « d’information » vire à l’incandescence, ne reculant devant aucun mensonge pour tordre l’actualité dans le sens d’une guerre mondiale que la plupart d’entre eux ont déjà entamée.

Les dirigeants sionistes d’Israël continuent depuis six mois leurs bombardements et fusillades qui ont déjà tué plus de 30 000 Palestiniens de tout âge en territoire de Gaza et en Cisjordanie, et affamer les autres pour les contraindre à fuir leur pays pour y faire place aux colons israéliens.

Mais, constatant leur incapacité à détruire la Résistance palestinienne, ils ont envoyé des missiles détruire l’Ambassade Iranienne en Syrie, y tuant 13 personnes, diplomates et militants du mouvement de Libération Nationale Hezbollah. Un sommet dans la longue série des actes guerriers de l’État d’Israël totalement contraires à toute règle internationale officiellement reconnue, et que, depuis 70 ans, il commet régulièrement en toute impunité, grâce au soutien des USA et leurs alliés occidentaux.

Les dirigeants iraniens ont réagi à cet attentat indéfendable par discours et manifestations populaires, et l’envoi vers des objectifs liés à l’agresseur israélien de quelques dizaines de drones porteurs d’explosifs, dont ils savaient bien que la plupart n’atteindraient pas leur but du fait des systèmes défensifs organisés avec l’aide de Washington ou Paris.
Cette réaction n’a entraîné aucun mort.

Tels sont les faits, qu’aucun observateur objectif ne peut nier.

La version ressassée par nos « chaînes d’info » est toute autre, et peut se résumer à un leitmotiv anxiogène :

« Comment et quand les gentils israéliens vont-ils répliquer à « l’agression » des méchants iraniens ? »

Dans la foulée, le Président Macron en rajoute une louche, se répandant d’école en entreprise en déclarations enflammées en tant que « Chef de Guerre », rôle qu’il affectionne depuis qu’il a constaté à quel point la destruction organisée des conquêtes sociales le fait dégringoler dans les sondages. Quand il se proclama Chef de Guerre en épidémie de Covid, ce n’était que ridicule. Nous n’en sommes plus là.
Il déroule aujourd’hui ses paraboles guerrières, affolant une opinion désinformée en affirmant la France menacée par l’envahisseur russe, « qui n’est qu’à 1500 kilomètres », d’où la nécessité selon lui de livrer aux nationalistes de Kiev des milliards en armes, munitions et peut être soldats, que le Parrain US risque de ne plus fournir autant qu’il le faudrait.

Dans la même optique mortifère, il se permet même de jouer les moralistes à la Maurras, prônant « le Réarmement démographique » qui fut en vogue à l’ère pétainiste, incitant femmes et hommes à faire des enfants nécessaires aux champs de bataille futurs, de bons petits « français de souche » pour répondre à l’afflux néfaste de migrants !

Ajoutant l’invraisemblable à l’odieux, il prône aussi « le réarmement industriel », c’est à dire une plus grande production d’armes et munitions nécessaires à la guerre en Europe et ailleurs. Omettant au passage qu’il en fut l’un des plus efficaces complices, il pourfend les délocalisations qui ont détruit les industries productives de France, et promet de renforcer « l’économie de guerre » qui emploie déjà plus de 200 000 personnes et a fait de notre pays l’un des premiers exportateurs de matériel de mort subite au monde. Il espère annihiler par la même occasion les velléités de luttes ouvrières par la corruption militariste.

Ces rhétoriques guerrières, nourries de peurs irraisonnées et de haines xénophobes, transformées en omniprésence par les médias de forte audience, de CNews à RTL, de LCI à France 24, formatent l’opinion vers les dogmes bellicistes et sécuritaires comme jamais ils ne le furent dans l’histoire de notre Nation.

France 2024 : un naufrage historique des forces de paix

Depuis 1900, l’humanité a traversé de nombreux emballements guerriers, embrasant les peuples en haines bellicistes :

  • Le choc des Impérialismes européens qui mit le feu au monde en 1914.
  • L’expansion des Fascismes et Nazisme, qui enfantèrent le Second conflit mondial en 39-45.
  • Quarante ans de Guerre froide anticommuniste, qui s’enflammait en conflits meurtriers, de Corée en Vietnam.
  • Et plusieurs décennies de guerres coloniales, d’Indochine, en Algérie et en Afrique.

    Face à tous ces événements, notre pays n’a pas manqué de va-t-en guerres successifs, de Déroulède en 1900 et son clairon appelant au massacre, au sinistre colonel Bigeard, théoricien de la torture en 56, et de l’exécution sans jugement de militants algériens largués d’hélicoptère en baie d’Alger, les fameuses « crevettes Bigeard ». Un praticien du crime guerrier colonial dont sa ville Toul envisage aujourd’hui de célébrer la mémoire.

Mais en chacune de ces occurrences, la frénésie guerrière n’avait jamais réussi à emporter durablement l’opinion française, qui a toujours inclus de courageux mouvements populaires anti-guerre, devenus assez forts quelquefois pour basculer l’histoire :

  • Des foules ouvrières ont applaudi Jaurès appelant à la paix en 1914, et ont ainsi abouti à fabriquer le Parti Communiste Français en 1920 par haine des tueries impérialistes.
  • Celles du Front Populaire en 1936 exigeant de combattre le Fascisme, préparant ainsi les victoires antinazies de 1945.
  • Celles de « l’après-guerre » qui on su peupler les rues contre les guerres d’Indochine et d’Algérie, et signer par millions un « Appel de Stockholm » pour dénoncer les armes nucléaires, et vingt ans plus tard contre la guerre US du Vietnam.

Nous n’en sommes plus là, dans la France de 2024 décérébrée par l’inondation médiatique ultra-libérale et belliciste. Il semble que les garde-fous de bon sens rationnel les plus élémentaires aient disparu, ou s’effritent. Le mouvement anti-impérialiste est réduit à quelques groupes de militants courageux, isolés, divisés, obstinément attachés à leur idéal communiste malgré les insultes.

. Mais parallèlement, les symptômes se multiplient de l’érosion inédite de l’héritage progressiste de la nation française, et notamment au sein de la Gauche politique, qui en fut le porte-voix depuis plus de deux siècles. Certains des politiciens qui s’en réclament, comme Gluksman du Parti socialiste ou l’Écologiste Sandrine Rousseau rejoignent la meute belliciste en tentant d’aboyer plus fort, au service des nationalistes anti-russes ou des Sionistes anti-Palestiniens.
Et certains autres représentants ou candidats de la Gauche française (PCF, LFI) restent souvent muets par électoralisme, soucieux de ne pas heurter la vague belliciste majoritaire.
Nous filons ainsi droit vers l’abîme, y compris l’extermination nucléaire.
Quel peuple veut mourir le premier pour les colons israéliens, les usa, les fanatiques anti-russes de Kiev et les profits des marchands d’armes ?

Qui stoppera la marche au massacre à venir ?

 LA PHRASE DU JOUR.

 TIRÉE DE ARTICLE DE DANIELLE BLEITRACH 

PUBLIÉ SUR HISTOIRE ET SOCIÉTÉ: 

 

QUAND EST-CE QUE L'ON DOIT S'INTERROGER SUR LA CAPACITÉ A GOUVERNER?




"Nous sommes désormais dans un système capitaliste dans lequel les inégalités ont atteint un tel niveau que ce que l’on subodore être de la folie est devenu déjà la norme, l’habituel, parce qu’il n’y a pas d’autres folies que le jeu des appétits individuels qui s’est totalement substitué à l’intérêt général, même quand cela prend des proportions inouïes comme aujourd’hui. "

 

Note de P.

Sauf respect pour elle, le titre de Danielle aurait pu être : "l'incapacité  à bien gouverner dans l'intérêt des peuples" puisque les voyous qui nous gouvernent ne le font que  dans l'intérêt des plus riches afin d' appauvrir les plus pauvres, et leur ôter toute velléité de réflexion et de résistance au rouleau compresseur impérialiste.

Les médias et les réseaux sociaux n'ont pas été créés pour nous distraire. Mais pour nous abrutir et nous asservir. Ils roulent tous ou presque pour l'impérialisme et le fascisme qui en découle.

Le ciel pourra leur tomber sur la tête sans qu'ils aient le temps ou l'idée de réagir, les jeunes générations qui arrivent ont le regard rivé sur leurs smartphones. Et les chaines d'abrutissement ou d'abêtissement télé creusent en boucle 24 heures sur 24 le puits de l'inculture.

Tous, smartphones et télé, pour nous mieux asservir. Quand les adultes réagiront ne sera-t-il pas trop, tard?

Sans la renaissance ou la remise sur ses rails d'un vrai Parti Communiste, ne comptons pas sur la social démocratie de Gluksmann et ses amis pour mettre fin au capitalisme. 

Et au désastre que nous réservent les incapables qui ne gouvernent que pour nous contraindre à subir leur folie guerrière.

 

 LA PHRASE DU JOUR


 

 

«Contrairement aux idées reçues, les entreprises ne choisissent pas la Chine comme base de production pour des raisons de coûts salariaux (les salaires y augmentent en conformité avec la productivité, contrairement aux pays occidentaux ou ceux-ci stagnent depuis une bonne vingtaine d’années ndlr) mais pour la pléthore de main d’œuvre qualifiée, grâce à un système d’éducation sans pareil. » Dixit Tim Cook, Directeur général du fabricant américain de produits électroniques grand public « Apple ».