Canaille le Rouge, son c@rnet,
ses p@ges.
Le push soft du printemps continue et
s'intensifie à l'automne.
Publié le 12 Septembre 2018
On
pourrait presque en rire
si
ce n'est pas si grave
Le 21 juillet, Canaille le Rouge
mettait cette p@ge en ligne
Ce n'est pas l'affaire Benalla C'est une affaire Macron* Derrière
l'épopée barbouzarde macronnienne, parce qu'il ne faut pas s'y
tromper, ce n'est pas une affaire Benalla &C° mais bien d'une
af...
Chacun pourra y retrouver ceci :
"Nous
sommes dans une phase d'accélération qui peut déboucher sur un
putsch institutionnel à l'occasion de la remise en
cause de la constitution qui est dans le même moment en débat et
que l’Élysée, pour répondre aux attentes impératives du
capital, se doit à tout prix de pousser à son terme.
La
partie la plus visible de ce putsch est ce refus anticonstitutionnel
du gouvernement de venir rendre des comptes devant les deux chambres
du parlement, la façon obscène dont la majorité tente d'empêcher
la mise en place puis le fonctionnement des commissions d'enquête,
de qui devra y venir en témoigne."
La logique d'une opération
politique d'envergure se poursuit et s’aggrave.
Ce qu'on nous présente comme une
passe d'arme entre le barbouze délinquant et le Sénat est en fait
la poursuite d'une opération plus conséquente qui vise à la mise
au pas Quelle que soit sa composition des élus de chacune des deux
chambres.
Imaginez un petit délinquant
s'adresser dans ces termes à un élus ou a un
fonctionnaire muni d'une charge officielle. le tôlée serait général
.
Imaginez le secrétaire général d'un
confédération syndicale parlant du
Sénat et de ses élus déclarer : " "Le
Sénat français (...), je n'ai aucun respect pour eux", (sic)
Imaginez un gamin s'adresser au
au président de la république, ou s'adressant à
un(e) sénateur (trice) ou un.e député.e de
"Petit marquis" (sic) le gamin s'en prendrait plein la
tronche et serait inscrit sur toute les listes rouges interdites
par la CNIL. Là on lui tend les micros.
En plus, le valet de pieds de Manu
El Monarc ayant rang de ministre prend la défense du
provocateur.
Une situation (la déclaration du barbouzard) et celle du haut parleur du pouvoir, aussi inédite
qu'insupportable demandant immédiatement poursuite pour le premier
et départ pour le second la conteste, on l’applique ou on la change.
Il ne s'agit pas de faux pas mais
bien d'une offensive délibérée contre le bicamérisme, la
séparation du pouvoir et les principes constitutionnels. Battu
politiquement dans l'opinion publique tant sa politique fait lever
les mécontentement l'Élysée tente un passage en force qui sert
aussi à faire diversion.
Cela a des limites qui vont à terme
revenir en pleine figure au Calife, ses barons et à la valetaille à
son service. Pour détendre l'atmosphère - enfin peut-être - on est
impatient d'entendre les âneries que ne manquera pas de proférer
Horreur Bergé.
En attendant, la Constitution, on la conteste, on l’applique ou on la change. Mais
on ne la viole pas sinon cela relève pour le président,
les ministres et parlementaires de la haute cour de justice de la
République et pour tout autre suivant la gravité de l'éventail des
tribunaux qui existent dans le droit français.
Note de P.:
Il se sent tellement à l'abri de tout, de TOUT, même de l'Institution Républicaine, tellement il est protégé par son petit chef de monarque, le barbouze de Macron qui cassait du manifestant populaire - après avoir goûté, gamin, à la soupe du Secours Populaire souvent offerte, d'ailleurs, par ceux-là mêmes qu'il matraquait plus tard-, que sa réponse négative à la convocation de la commission du Sénat signifiait exactement ceci: " Votre convocation, je m'en bats les c......", selon le langage coutumier des délinquants des banlieues pour tout ce qui concerne la Loi et ses représentants chargés de la faire respecter.
Barbouze, le mot me parait même faible. Crapule lui conviendrait mieux......
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire