samedi 8 décembre 2018

ENCORE ET TOUJOURS, MES REMERCIEMENTS, POUR MA PERLE CHÉRIE A JAMAIS PERDUE POUR MOI...

 MI VIDA , TODA MI VIDA , MI AMOR PERDIDO.....QUE TU ES BELLE! COMMENT NE PAS T'AIMER?
PHOTO DU HAUT: DÉJÀ LA SOUFFRANCE S'EST INSTALLÉE, ELLE FIGE TON BEAU SOURIRE: SALOPERIE DE MAL!!!
EN BAS: TU PARAIS EN RÉPIT, PLUS SEREINE....PAS POUR LONGTEMPS!
A ROSINE ET BERNARD....Vous étiez près de moi, hier, pour me témoigner de cette affection dont on a tant besoin dans des moments si cruels, si difficiles. J'ai passé quelques courtes heures en votre présence, mais combien réconfortantes. Depuis votre Lauragais qui fut aussi le mien pendant 22 ans, vous pensiez à moi, ma douleur, ma solitude. Et vous êtes venus jusqu'à moi, pour pleurer avec moi. Du fond du cœur, je vous en remercie, et je vous embrasse très fort. Les belles amitiés sont des piliers de réconfort: la votre m'est si précieuse....

A MARIO..... Il est encore bientôt pour que je sache ce que mon demain sera fait: là-dedans, il y a encore une terrible tempête qui me secoue dans tous les sens. J'ai atteint le sommet de la colline, mais j'ai surtout le vertige. L'horizon est encore trouble....  Et ma boussole s'est affolée. Veremos. Mille mercis pour tes signes d'amitié et de secours.

A GISELLE ET HERVÉ......Quels délicieux souvenirs nous conservions de nos mémorables virées à Sommières, dans votre belle maison ensoleillée, suivies des sorties Alésiennes. Que nous étions heureux! Même si nous le savions, il faut le répéter encore et encore, car l'absence de ma grande chérie me laisse aujourd'hui un goût d'autant plus amer. Je vous garde au plus profond de mon cœur, par  contre  quelque ancien témoin de ce bonheur perdu a elle aussi perdu surtout la mémoire, les sentiments, un  cœur de pierre, je lui souhaite simplement de souffrir, souffrir, comme elle a laissé souffrir Gisèle sans un mot, sans un signe: preuve sans doute d'une sensibilité ou intelligence supérieure à la notre, à celle de Gisèle, qui l'aimait pourtant comme une sœur, n'a jamais mégoté ni amitié ni amour. Mais la roue tourne, tournera/....A vous deux, mes chers amis gardois, à vos enfants, je vous souhaite de vivre longtemps longtemps ensemble, en meilleure santé possible.
Je vous embrasse de tout mon cœur.
 
A FLORENT ....Nous t'avons aimé, ma Gisèle adorée et moi, puis quelque chose, un petit grain de sable, a enrayé cette belle mécanique. Puis aujourd'hui, tu prends part à mon IMMENSE deuil. Je suis sûr que Gisèle se réjouirait, comme moi, mais surtout pour moi, qu'elle voulait protéger de tout, elle était tellement inquiète de partir en me laissant seul, ces dernières semaines où elle lâchait prise, cela, j'en ai la conviction profonde. Ton message me réchauffe le cœur. Et c'est pas banal. Le soir où elle m'a parlé - très faiblement - pour la dernière fois, le mercredi 28, je quittais la chambre après l'avoir embrassée , plusieurs fois, comme chaque soir, vers 20 H, je déposais sur son lit la sonnette, le téléphone- j'appelais, deux sonneries, en arrivant à la maison, pour la rassurer, avant qu'elle ne s'endorme - . Arrivé à la porte de la chambre, je l'entends m'appeler, si faiblement que je n'ai pas compris ce qu'elle me disait. Je suis retourné à son lit, me suis penché vers elle, elle voulait simplement me répéter " à demain, mon bichon"- c'est ainsi, même à 80 balais, ou plutôt surtout, à 80 balais, on peut aimer très fort-  comme pour s'assurer que nous nous reverrions, que nous nous reparlerions. Je lui ai dit à peu près ceci, comme CHAQUE SOIR: " à demain, à tout à l'heure, ma biche chérie, je t'aime, repose toi bien, dors bien ,appelle, si tu as mal"....
Le lendemain matin, jeudi, à mon arrivée, elle ne s'est même pas réveillée. A croire qu'elle pressentait son départ. Et s'est éteinte à 3H30 le lendemain matin, vendredi . De toute la journée, je ne l'ai entendue que râler. C'était atroce, insupportable....
Depuis, je revis sans cesse cet horrible film. J'ai essayé pendant près de 3 ans de l'entourer de toute ma tendresse, de la protéger, même de l'infâme  connerie  d'un ami - ancien, pour nous - commun. Il n'a rien compris! Il bavait, même, alors qu'elle souffrait, que NOUS souffrions du crabe. Il bavait, comme bavent les cons, les faux culs, les ignares, et j'en passe... J'ai souvent enragé pour elle. J'ai de la haine, même, surtout pour un  facho qui ne s'en croit pourtant pas, et qui se croit socialiste.
Tu partages un peu de ma douleur: je t'en remercie de tout cœur. ET je te saluerai avec plaisir, si je retourne aux arènes
Abrazo fuerte, merci encore pour tes mots de réconfort.

A JOËL YAN , A PIERRE ET FRANÇOISE, A RENÉ, A CLÉMENT, A ANNIE, QUI SUIVENT MES ÉCRITS SUR LE BLOG, MES TRÈS SINCÈRES REMERCIEMENTS POUR LEURS MOTS DE RÉCONFORT.

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