A PATRICK ET
ISABELLE C.......
Quels
merveilleux moments nous avons partagés. Les douceurs épicuriennes
complétaient dans la joie les heures d’aficion. Et Gisèle, je le
répète, vivait pleinement ces moments simples de convivialité et
d’affection avec les gens formidablement agréables tels que vous,
je suis au moins heureux de lui avoir fait découvrir et partager
avec des gens agréables cet univers où elle s’est tellement plu.
Mais pourquoi, pourquoi est-elle partie si tôt, à me laisser si
seul, désemparé ? Anéanti ? Moi qui avais tant besoin
d’elle, de son amour, de son aide ? Putain de putain de mal
abominable, qui ne laisse aucune chance aux êtres les plus aimables,
inoffensifs, foncièrement bons, admirables, comme Gisèle le restera
à jamais.
Vos mots me
touchent intensément, ils sont à la mesure de mon immense chagrin.
« El tiempo que va pasando, no borrara mis ojos »
Encore une
fois mille mercis pour votre part à ma peine, votre amitié que je
n’oublierai pas et qu’elle aurait tant voulu prolonger.
A PATRICK,
DE SALON …..
Ces
souvenirs communs que vous évoquez resteront gravés dans ma mémoire
, ils demeurent enfouis au plus profond de notre âme commune, à ma
perle chérie et à moi. A vous lire, Patrick, mon cœur saigne,
c’était ma raison de vivre, que j’ai perdue, et je vous remercie
de partager vous aussi comme ceux qui l’ont connu et aimée mon
chagrin. Nous étions à chaque fois heureux de retrouver ces amis
aficionados que d’aucuns traitent d’assassins, mais qui ont
souvent des sentiments que devraient leur envier ceux qui les insultent et les
méprisent : simplement parce qu’ils ne croient juste que ce
qu’ils éprouvent, le reste, autrui, n’étant que "rustrerie"
sauvage. Comme si Gisèle, par exemple, pouvait être capable
de cruauté, d’inhumanité, d'agressivité,elle qui ne fit jamais aucun mal à
personne, mais qui ne fut par contre pas épargnée.
Merci mille
et mille fois, cher Patrick, pour la votre, d’humanité fraternelle.
A MA CHÈRE
DELPHINE....
Comme elle
vous aimait, vous appréciait, comme nous vous aimons, nous
t’aimions, depuis que nous vous avons connue. Les choses sont
ainsi : les sentiments naissent, parce que c’est la loi de la
nature, parce que dès les premiers instants on se reconnaît dans
l’autre. Et toi, Delphine, nous t’avons reconnue tout de suite
comme une belle personne, pleine de bien et de bon. Que j’aurais
tant voulu que la vie nous fasse rencontrer et profiter de ces
bonheurs simples encore longtemps.....Longtemps.....La saloperie
d’ordure de cancer en a décidé autrement, et moi, je te garderai
dans mon cœur pour DEUX : pour ma grande chérie, et pour moi,
jusqu’au bout du chemin qui me reste à parcourir.
A CHRISTIAN,
DES LANDES.....
Toi aussi,
récemment, tu as du faire ton grand deuil : perdre une mère,
c’est qu’elle chose de cruel, de très cruel. Et tu prends part à
mon deuil à moi avec beaucoup de vérité et de sincérité, tu sais
que Gisèle t’aimait beaucoup, comme elle aimait tous ces amis avec
qui nous avons partagés tant de bons moments d’amitié vraie,
d’affection, de convivialité, de virées « tras los montes », au pays frère,
des moments qui forgent les sentiments qui marquent à jamais une
vie, qui ont marqué NOS vies.
Merci cher
Christian, pour tes mots, pour ton attachement et ton affection pour
ma petite perle, ma « biche » que j’adorais, pour le
chagrin immense qu’elle me procure aujourd’hui, et pour la part
que tu prends à ma peine.Tu te souviendras de "ma biche", j'en suis certain.
Je
t’embrasse très fort, tu resteras dans NOTRE cœur à tous les
deux.
ANNY ET JEAN
CLAUDE....
On devait se
revoir cet été, lorsque vous descendiez de ce cher NORD que j’ai
connu et aimé. Mauvais présage : çà n’a pas pu se faire,
Gisèle s’en faisait pourtant une grande joie, mais.....Pourtant, nous nous
connaissions depuis peu, mais le courant était tout de suite passé,
et ma petite femme chérie vous avait de suite reconnus comme
des chouettes gens, et aimés....Et nous aurions tant voulu continuer
de partager avec vous d’autres belles heures, comme celles que nous
avions connues.
Merci mille
fois pour votre amitié, merci d’avoir apprécié et aimé ma
petite perle, elle le méritait tant, n’est-ce-pas ?
Je vous
embrasse très fort.
BASTIEN EL
PUMA.....
Ah ! El
Puma ! Comme elle t’aimait aussi, ma Gisèle adorée, comme
ton image lui était devenue familière et agréable, à l’ombre
des platanes de l’andanada Parentissoise, au milieu de toute
l’équipe avec qui nous aimions nous retrouver. Quelle douleur, à
la pensée qu'elle ne sera plus jamais auprès de moi, pour
revivre ces heures de fraternité et de bonheurs simples partagés. Et que ferais-je donc là-bas, ou
ailleurs, sans elle, alors qu’elle m’a laissé si désemparé ?
Est-ce que le temps qui passe sera à la hauteur, pour m’accorder la
moindre motivation ? J’en doute....J’ai un tel mal
là-dedans.....
Merci pour
tes mots de réconfort. Je t’embrasse. Passe quand tu veux, si tu
le peux......
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire