Du constat de faillite au constat de décès
Publié le 4 Avril 2020
Quand les éditos s'affolent,
c'est que les murs tremblent
Ce qui suit est l'édito daté du 03 avril du Parisien,
Derrière les rodomontades adressées aux égoïstes donnant à voir la réalité de ce monde perle la sueur aigre et paniquée de la peur.
Oui la démonstration se fait. Le capital et son verger européen se révèle partout à l'identhique de là où il s'ébroue dans le sang : une jungle où pour vivre et survivre il faut tuer l'autre et marcher sur son cadavre pour perdurer. l'épisode des masques,la tragédie des EHPAD, révélateurs, resteront comme marques indélébiles dans l'histoire du capital et de son impérialisme de son inhumanité.
Alors que Cuba exporte des medecins , les Dalton boursiers écument les tarmacs pour chercher des extincteurs à l'incendie que pyromanes ils ont allumé.
Mis à plat et à nu sous les projecteurs glaçants, le voila cet espace de concurence libre et non faussée qui devait nous apporter "paix et concorde éternelle dans la fraternité des peuples".
Derrière les rodomontades adressées aux égoïstes donnant à voir la réalité de ce monde perle la sueur aigre et paniquée de la peur.
Oui la démonstration se fait. Le capital et son verger européen se révèle partout à l'identhique de là où il s'ébroue dans le sang : une jungle où pour vivre et survivre il faut tuer l'autre et marcher sur son cadavre pour perdurer. l'épisode des masques,la tragédie des EHPAD, révélateurs, resteront comme marques indélébiles dans l'histoire du capital et de son impérialisme de son inhumanité.
Alors que Cuba exporte des medecins , les Dalton boursiers écument les tarmacs pour chercher des extincteurs à l'incendie que pyromanes ils ont allumé.
Mis à plat et à nu sous les projecteurs glaçants, le voila cet espace de concurence libre et non faussée qui devait nous apporter "paix et concorde éternelle dans la fraternité des peuples".
Paix
et fraterrnité ? Mon cul oui! -merci Zazie pour le droit à citation
- à l'arrivée, c'est la haine, la mort, les armes et les larmes, le
racket sur la santé, l'embargo, les blocus et au bout toujours les
peuples qui saignent et garnissent les cimetières.
Cela alarme Valérie Hacot l'éditorialiste du jour :
|
||
Vous
remarquerez que la nature revenant au galop, les vampires ont une
avocate qui malgré la nature des crimes leur trouve des excuses.
L'urgence justifiant leur délinquance. Cela dans le journal qui trouve
normal par ailleurs qu'on inflige trois mois fermes avec mandat de dépot
à un SDF crevant de faim lequel ,sans violence, se sert un sandwich
dans les rayons d'un de ces géants de la grande distrib.
Voir le Parisien, héritier d'un journal de la collaboration, conclure son édito par la dernière phrase de la dernière lettre de Gabriel Péri, pour protester face à l'égoïsme des regles du capital est d'une part jubilatoire et d'autre part doit conforter celles et ceux qui refusent de plier.
Nous pouvons vivre le temps des révolutions.
Avec un bon rapport de force, l'utopie est à portée de la main. Malgré les baillons dont le pouvoir est déterminer à user, malgré le patronat qui applaudit et se sert de ce que lui offre comme outil de coercition le pouvoir, plus que jamais occupons nous vite de préparer "les lendemains qui chantent" pour offrir au monde avec l'idéeakl communiste une nouvelle jeunesse .
*Fusillé
le 15 décembre 1941, Gabriel Péri rédacteur en chef de l'Humanité,
député d'Argenteuil, LE dénonciateur à la Chambre de la trahison de
Munich, a été arrêté à Paris par la police française dirigé par le
Lallement du moment, la date n'est pas anodine, le 18 mai 1941.
Pucheu, le VIDOC-22 de
l'époque, détaché par le MEDEF de l'époque pour ce boulot le fera livrer
aux nazis. G. Peri repoussant la proposition de Pucheu contre la vie
sauve, refusant de se renier sera fusillé par les nazis au Mont
Valérien.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire