jeudi 4 juin 2020


L'impétrant tel que présenté par la presse bourgeoise, en l'occurrence CAPITAL,  manager et chatelain dans le vignoble, en ligne directe avec le Vatican en 2015
Le nouveau PDG de Renault - après la chute de Ghosn - est un pur produit du sérail des dirigeants des grandes entreprises, chargés par temps lourd de tailler dans les effectifs.
Toujours choisi à l'insu de son gré, aux plus hautes responsabilités par les plus hautes fortunes du pays.
Aujourd'hui, de manière " humaniste " il est chargé de réorganiser Renault en liquidant des emplois massivement TOUT en prétendant sauver l'entreprise ET encaisser les deniers publics, sans avoir de compte à rendre à la nation.
Pas sûr que l'entourloupe fonctionne si l'on prend en compte la réaction des travailleurs et du peuple ce week-end à Maubeuge !
Renault: manifestation à Maubeuge contre le plan d'économies ​​​​​​​
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Jean-Dominique Sénard,  ce grand discret travaillera avec avec Thierry Bolloré, directeur général adjoint du groupe. Voici ce que vous ne savez sûrement pas sur ce gestionnaire rigoureux et réputé humaniste.
C’est officiel, Jean-Dominique Senard va prendre la tête de Renault. Le futur ex-président de Michelin aura fort à faire. A commencer par renouer les liens distendus avec Nissan - depuis l’arrestation en novembre dernier de Carlos Ghosn et sa récente démission - et relancer le groupe qui subit les turbulences du secteur automobile.
Jean-Dominique Senard, est entré chez Michelin comme directeur financier en 2005. Six ans plus tard, il en devient le premier gérant non issu de la famille fondatrice. Toujours tiré à quatre épingles, d’une délicatesse et d’une courtoisie délicieusement surannées, cet HEC de 65 ans avait travaillé auparavant dans les directions financières de grands groupes comme Total, Saint-Gobain et Pechiney.
(Son sale boulot à Pechiney)
“Chez Pechiney, j’ai vécu l’épreuve humaine la plus dure de ma carrière”, raconte Jean-Dominique Senard. Quand le canadien Alcan a lancé une OPA hostile sur le groupe sidérurgique en 2004, c’est lui qui a été chargé de fusionner les deux ensembles. A la clé, des centaines de suppressions de postes, notamment dans les sièges en France. Dix ans plus tard, certains collègues racontent comment il a tenté de sauver le maximum d’emplois. “Il s’est battu bec et ongles pour préserver les salariés”, confie une ancienne collaboratrice. La mission finira par l’épuiser : alors que l’encre des accords signés avec les syndicats n’était pas encore sèche, il téléphonera à Travis Engen, le patron d’Alcan, pour lui annoncer son départ.
(Son coup de foudre pour Edouard)
C’est un coup de fil dont il se souvient encore. Trois semaines après son départ de Pechiney, JDS recevait un appel d’Edouard Michelin en personne. “J’ai cru à une blague”, se souvient-il. Les deux hommes se rencontrent et se découvrent des points communs : même analyse de l’industrie, même vision sociale du management.
La naissance d'une marque
Dès lors, Edouard Michelin va tout faire pour que son nouvel ami prenne la direction financière du groupe. Au point de le rappeler pendant ses vacances, alors qu’il était sous la tente avec son épouse dans un coin perdu d’Afrique du Sud, en 2005. “Nous nous sommes mis d’accord ce jour-là, sur une simple parole”, se raconte-t-il. On connaît la suite : le décès accidentel d’Edouard Michelin, un an plus tard, propulsera Michel Rollier au poste de gérant (l’équivalent de P-DG dans la commandite), tandis que Jean-Dominique Senard deviendra cogérant aux côtés de Didier Miraton.

(Sa victime collatérale)
Promis, il n’y est pour rien ! Quand on lui parle de la démission de Didier Miraton pendant l’été 2011, Senard l’affirme, la main sur le cœur : “Je suis tombé de ma chaise en apprenant que j’étais choisi pour succéder à Michel Rollier.” Entre 2007 et 2011, les deux lieutenants s’étaient pourtant partagé les rôles et les ambitions. A Miraton, arrivé en 1982 chez Michelin, les pneus de tourisme et la recherche. A JDS les pneus pour poids lourds et les produits spécialisés pour avions ou engins de chantier.
Mais c’est le petit nouveau que les huit membres du conseil de surveillance, dont Pierre Michelin, Laurence Parisot ou Louis Gallois, ont fini par adouber. Sur proposition de Michel Rollier, faut-il préciser. “Jean-Dominique et Didier n’étaient pas en compétition, ce n’est pas le genre de la maison”, nous assure aujourd’hui l’ancien gérant. Dommage que Didier Miraton, aujourd’hui administrateur du semencier Vilmorin, n’ait pas répondu à nos demandes d’interview…
Son deuxième métier : viticulteur
A Saint-Rémy-de-Provence, la famille possède une grande propriété agricole et son château, transmis de génération en génération depuis trois cent cinquante ans. Le clou ? Un vignoble de 18 hectares, où est produit sous la supervision de M. Senard père un vin de pays des Bouches-du-Rhône, le Domaine de Lagoy. Impliqué dans la vie locale, il s’est fait élire conseiller municipal sur une liste de centre droit dans les années 1990. “Pour moi, c’était surtout une étiquette agricole”, souligne le châtelain, qui adorait les veillées avec les paysans du coin.
Sa ligne directe avec le Saint-Siège
Comte par la grâce de Dieu, JDS a beaucoup oeuvré en tant que membre de la Réunion de la noblesse pontificale (RNP). Une association très chic, dont les compagnons jouissent d’un titre de noblesse héréditaire donné par les papes pour services rendus à l’Eglise. Jean-Dominique Senard a œuvré pour lui donner une dimension plus internationale et la faire entrer dans la Cilane : la Commission d’information et de liaison des associations nobles d’Europe. Royal.
Tag(s) : #Capitalisme
Note de Pedrito 
Les promesses de Macron n'étaient pourtant pas feintes. Au vu  des  ravages qui se succèdent dans le paysage social du pays, après les preuves qui s'accumulent de son humanisme au seul service des milliardaires, les gens de gauche ne craindront même pas d'en remettre une couche, et pour "barrer la route au fascisme", ils nous imposeront leur choix mortifère.
Comprenne qui pourra!

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