Et maintenant le quart d'heure du poète
Grace à la Muse du jour :
Ode au Déroulède
de la pensée complexe
Il dominait son sujet
comme Canigou sa plaine.
Cela lui donnait
suffisance et devoir
d’imposer l’arrière salle
pour bannir le comptoir,
plus debout c'est étrange,
à coup sûr
lieu d’échange
qu'assis le guéridon l’est.
Dans les trains bondés
comme dans les cars Macron
de Brest à Poitiers
Interdit de manger
De toucher au flacon
le parcours est à risque.
nous raconte son disque.
Albatros messager
de la pensée complexe,
il n’était que cloporte ;
c’est la place de Castex.
Note de P.
Ah ! Qu'en termes d'humour ces choses-là sont dites.
Car il faut en convenir et s'en inquiéter: jusqu'où, dans quel gouffre dangereux nous précipite cette politique de la peur permanente et qui s'accélère, où l'opinion de certains scientifiques, ma foi aussi respectables que ceux qui nous assènent à tour de bras un jour après l'autre leurs mesures restrictives, est tournée en dérision. Comme si l'éminent docteur Macron qui mène notre pays comme un souverain aussi prétentieux qu'autoritaire et sûr de son impunité, n'était animé que des bonnes intentions sanitaires qui nous seraient destinées, à nous, petit peuple écrasé par son gouvernement de riches POUR ses amis les milliardaires, et comme si nous ne comprenions pas que chacun de ses actes n'est guidé QUE par sa réélection.
Enfin, le ou la Covid finit par nous inquiéter beaucoup plus par les coups qui pleuvent de partout sur notre niveau de vie et nos conquêtes sociales, que par ses dégâts que d'aucun prétendent beaucoup moins graves et inquiétants que ce qui nous est rabâché chaque jour sur des médias, aux ordres de celui qui a le pouvoir, ainsi que de celui ou celles qui s'y voient déjà, financés par les milliardaires sans foi ni loi, que celles de leur fric.
On nous promet de nouvelles hausses pour l'année qui arrive: comme celles que nous subissons depuis le ou la Covid et même avant, ajoutées aux salaires qui n'augmentent pas ou trop peu, et à la baisse continue des retraites, n'avaient pas suffisamment aggravé les conditions de vie des citoyens, sans compter le niveau de pauvreté qui prend des proportions de plus en plus dramatiques.
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