Le mystère de l’homosexualité décrypté par les chercheurs ?
Le philosophe Platon considérait que les membres de l'espèce humaine étaient originellement joints par paires :
deux hommes, deux femmes et un homme/une femme. Zeus sépara chaque
couple pour assoir l'emprise des Dieux sur les hommes et que les humains
passent leur temps sur terre à chercher leur partenaire avec lequel ils
puissent fusionner en amour.
A notre époque le psychologue Michael J.Bailey assisté du Dr Richard Pillard a étudié les jumeaux authentiques d'homosexuels :
52 % des jumeaux homozygotes d'homosexuels sont eux mêmes homosexuels.
Si l'homosexualité était uniquement une question génétique cela aurait
été 100 %. Et le chiffre tombe à 22 % pour les faux jumeaux.
Tandis que le pourcentage de frères adoptés est inférieur à 10%.
Selon le généticien Dean Harmer c'est une erreur de penser qu'il y a un gène gay.
Depuis les années 70, les médecins allemands ont identifié des
différences anatomiques dans l'hypothalamus du cerveau des hommes
hétérosexuels et celui des hommes homosexuels.
Simon Levay de l'institut Gay et Lesbien d'Hollywood a trouvé dans des
autopsies des différences anatomiques entre les cerveaux
d'homosexuels et des hétérosexuels. Levay identifie que l' aire
pré-optique de l'hypothalamus, centre de l'appétit sexuel et de
l'instinct est de plus petite taille chez les homosexuels. une étude à
prendre avec un brin de recul en sens que les sujets étaient atteints du
SIDA et que celui ci a entrainé une destruction de cellules cérébrales
néanmoins le reste du cerveau était identique aux hétérosexuels.
La commissure antérieure connectant la partie droite et la partie gauche
du cerveau est une autre région montrant des différences, celle-ci est
de taille inférieure chez les hommes hétéros tandis que la région des
femmes et celle des hommes homosexuels est de même taille.
Ancien vétérinaire reconverti naturopathe Joel Wallach a observé à
maintes reprises des malformations génitales chez les animaux tels que
des hermaphrodites. Ces malformations comparables à celles des humains
ont pour lui une origine très simple : des carences nutritionnelles
lors de la grossesse.
Il interrogea des centaines de mères d'homosexuels et a découvert que
presque toutes ont été en état de stress nutritionnel durant la
grosesse : alcoolisme, intolérance au gluten (faible absorption des
nutriments), des revenus insuffisants avec un accès réduit à des
aliments sains...
Selon lui les populations occidentales sont en carences de minéraux
depuis le début de l'ère industrielle et c'est à peu près depuis
cette période que la proportion d'homosexuels tend à augmenter.
Alors que la science semble proche d'élucider l'origine de
l'homosexualité de manière dépassionnée curieusement on n'a jamais
autant parlé de lesbianisme, de transsexualité et ce souvent avec un ton
polémique comme s'il y avait volonté de destabiliser la société, de
déchainer les passions.
Peut être de créer de la division comme des querelles de religions ont pu le faire par le passé.
Réchauffement climatique, guerre en Ukraine, crise énergétique il ne
manque pourtant pas de problèmes sérieux sur le globe actuellement...
wearechangeparis.eklablog. com
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