vendredi 28 octobre 2022

 

Qui a sabordé l’Etat de droit en France ? Mmes Mrs les parlementaires, abrogez la « loi sanitaire » !


 

Les Français doutent aujourd’hui de l’existence même d’un Etat de droit dans notre pays, mais je ne reviendrai pas sur les affaires actuelles qui sensibilisent l’opinion publique. Je voudrais simplement évoquer un passé très récent.

Des millions de Français ont aujourd’hui la certitude que la Puissance publique leur a menti, que les institutions n’ont pas correctement fonctionné et n’ont pas protégé. Pourtant ce qui s’est produit au cours de années passées est oublié.

La crise et le doute ont explosé depuis 2020 lors de la crise dite du Covid et les parlementaires ont les moyens de reconstruire la confiance dans la République. Il leur faudrait préférer la Science à la doxa médiatique…

Nul ne devrait oublier les milliers de vieux sacrifiés en 2020, nul ne peut passer sous silence le sort de milliers de Français privés d’emplois, mis au ban de la société à la suite de mensonges aujourd’hui avérés. La loi d’aout 2021, revue en aout 2022 est totalement en contradiction avec le savoir scientifique. Ne pas l’abroger c’est tordre le coup avec l’Etat de droit.

Que dire enfin de ces centaines de médecins qui ont osé sauver des vies et qui sont menacés par l’Ordre ?

Que dire encore de cette propagande niant les risques mis en évidences par les scientifiques en continuant les injections.

En 2022 les scandales du tabac, de l’hormone de croissance, du sang contaminé, du Médiator, de la Dépakine, auraient-ils pu être dénoncés ? J’en doute …

Le scandale des opioïdes ne peut éclater dans notre pays et ceux de la Covid sont couverts par un voile d’indifférence …

Je me souviens encore d’un certain Olivier Véran qui au printemps 2020 autorisa une molécule léthale pour les personnes âgées en détresse respiratoire, atteintes de la covid. Il leur refusa les traitements proposés par les professeurs Raoult et Perronne et ne leur laissa aucune chance de survie. Le Rivotril accentue en effet la détresse respiratoire comme le rappelle le Vidal

Entre le mois de mars et le mois de mai 2020, 13 464 doses « supplémentaires » de Rivotril ont été délivrées Cela pourrait représenter un tiers voire la moitié de tous les décès pendant la pandémie ! 

Dans un Etat de droit les commissions d’enquête se seraient-elles contentées d’un simple constat ?

Au moins auraient-elles comparées les mortalité entre les EHPAD où l’on a soigné et les autres ?

La réponse du ministre au Sénat fait froid dans le dos : traiter la détresse respiratoire avec une molécule qui aggrave la détresse respiratoire

Réponse du Ministère des solidarités et de la santé

publiée dans le JO Sénat du 30/07/2020 – page 3406

Commission de l’Assemblée Nationale

https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/rivotril-8874.html

https://www.alliancevita.org/2020/05/nouvelle-autorisation-de-prescription-du-rivotril/

2) Je me souviens encore d’un certain Emmanuel Macron qui s’adressa aux Français pour annoncer la mise en place d’un pass vaccinal et une obligation vaccinale pour plusieurs professions

Pour justifier ces mesures il annonce que les vaccins divisent par 12 le pouvoir de transmission du virus et de 95% les formes graves. C‘est un mensonge. Personne ne peut nier aujourd’hui que les essais vaccinaux ne portaient pas sur la transmission et donc le pouvoir de contamination. La firme Pfizer l’a reconnu mais ceux qui voulaient le savoir le savaient.

Au moment où le Président de la République s’exprimait, ses représentants signaient avec la société Pfizer un contrat stipulant :

“L’Etat … reconnaît en outre que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus”.

voir le PDF :

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/25/document-le-contrat-entre-pfizer-biontech-et-le-gouvernement-slovene-version-non-caviardee-par-la-censure-de-lue/

Les études observationnelles témoignent toute de l’incapacité des vaccins à éviter la contamination et pire, elles mettent en évidence une EFFICACITÉ NÉGATIVE y compris contre les formes graves.

Mais nous apprenons aujourd’hui que les études observationnelles connues du président en juillet 2021 étaient biaisées et ne pouvaient en aucun cas conclure à une division par 12 de la contamination et de 95% des formes graves.

 Le gouvernement communique à l’appui de la déclaration du Président, 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet 2021, il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Dans les jours qui suivront la Drees admettra l’omission. Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message sur l’efficacité contre les formes graves

La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande Bretagne, ainsi en aout 2021, en Israël, 390 personnes vaccinées deux ou trois doses sont décédées soit 58 ,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS

Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.

Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient pour l’été 2021, 8 décès pour 100 000 non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…

Encore faut-il savoir que les non vaccinés étaient certainement plus nombreux.

La Drees a effectivement admis pour octobre 2022 une sous évaluation des non vaccinés de 50% à 100% : D’après @SantePubliqueFr, 6,5% des personnes majeures ne sont pas vaccinées contre le #Covid19… …mais d’après une analyse fouillée de la @DREESanteSocial, cette part serait en réalité comprise entre 8,5 et 12% (et entre 14% et 17,5% autour de 30 ans) !

A ce jour les études se sont multipliées prouvant que les injections ne protègent pas mais sont également responsables de maladies cardio vasculaires et de maladies auto immunes ainsi que des cancers. Pourquoi ces études sont-elles passées sous silence en France

Une nouvelle étude de l’Université d’Harvard enterre le récit politico médiatique, les pays et les régions les plus injectés n’ont pas été plus protégés, au contraire…

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591202/

Les chercheurs israéliens ont étudié l’incidence des myocardites/péricardites sur près de 200 000 adultes non vaccinés ayant contracté le SARS-CoV-2 et ont comparé les résultats avec ceux du groupe placebo constitué de près de 600 000 adultes.

Le résultat est sans appel : il n’y a aucune différence statistique des taux d’incidence des myopéricardites entre les deux groupes !

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35456309/

Les chercheurs suisses ont mesuré la troponomie de près d’un millier de soignants dans les 3 jours qui suivaient l’injection, les résultats sont effrayants.

L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.

https://cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19…

Le blog scientifique ScienceFiles a maintenant publié une liste détaillée de 53 maladies graves qui ont été prouvées par un total de 160 études scientifiques comme étant des dommages de la « vaccination » contre le Cov19. » https://sciencefiles.org/2022/10/19/160-studien-53-schwere-erkrankungen-die-liste-der-nachweislichen-covid-19-impfschaeden-wird-laenger/… https://gettr.com/post/p1vlk2q2e90

Comment parler d’Etat de droit en sachant que des mesures liberticides ont été prises contre l’évidence et les données factuelles.

La LOI n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire (modifiée le 1er aout 2022) maintient l’obligation vaccinale pour plusieurs professions.

La HAS a refusé les réintégrations en justifiant sa décision en s’appuyant la doxa médiatique :

 la HAS considère donc que « le contexte actuel marqué par une nouvelle vague épidémique due au sous-lignage BA.5 du variant Omicron » justifie le maintien de l’obligation vaccinale pour les soignants. Deuxièmement, l’autorité évoque « la disponibilité de vaccins sûrs et efficaces face au variant Omicron » qui « participent à la limitation de la diffusion de l’épidémie ».

Comment croire en l’Etat de droit alors qu’ailleurs, en Démocratie ces mesures discriminatoires sont abandonnées ?

Cliquer pour accéder à 85163_2022_George_Garvey_et_al_v_City_of_New_York_et_al_DECISION___ORDER_ON_37.pdf

 

Nous serons nombreux à observer la capacité des parlementaires à abroger la loi sanitaire d’aout 2021 modifiée en 2022.

Nous serons nombreux à attendre des commissions d’enquêtes sur les effets secondaires des injections.

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