Kövesi et Ursula : une enquête à la va comme j’te pousse !
AGORA VOX Christelle Néant
Avec le drapeau de l'Ukraine sur la poitrine, épuisée après avoir „sauté” pendant des années sur les politiciens roumains extraits avec une pince à épiler par Coldea, la procureure en chef Kovesi sirote son café chaque matin dans son élégant bureau au Luxembourg, réfléchissant à la manière de dépenser ses 15 000 euros de cachet.
Il y a des signaux clairs que des actes graves de corruption se déroulent à Bruxelles, au plus haut niveau. Après environ deux ans d'enquête, nous n'avons toujours rien de tangible sur l'affaire Ursula-Pfizer. Sous prétexte de préserver la confidentialité des informations, Kovesi refuse de nous dire si elle a inculpé ne serait-ce que le chauffeur d'Albert Bourla. En incident connexe, peu de temps après la publication de mon article sur le stratagème des vaccins et l'implication probable de Heiko von der Leyen, j'ai reçu un appel d'une dame se présentant comme une "étudiante en journalisme" dans une université occidentale. Elle m'a chaleureusement félicité pour l'article (peut-être un peu trop chaleureusement) et m'a demandé de lui fournir la liste des sources utilisées dans la rédaction de l'article de presse. Bien sûr, à des fins pédagogiques, pour un travail "scientifique" sur la corruption de haut niveau.
Je suppose que ce moment a coïncidé avec le lancement de la pseudo-enquête par le procureur en chef Kovesi. Évidemment, je n'ai rien envoyé à cette dame, mais la tentative mérite d'être mentionnée. C'était beaucoup plus élégant que si les forces spéciales avaient débarqué à ma porte. Tout aussi élégante a été la tentative du journaliste Borzou Daragahi (un Iranien diplômé aux États-Unis) du célèbre journal britannique The Independent. Trois fois finaliste du prix Pulitzer, membre principal non résident du Conseil de l'Atlantique, Daragahi m'a approché pour obtenir de nouvelles informations sur l'enquête Ursula-Pfizer. En particulier sur l'implication du fonds d'investissement Vanguard. Il s'est même dit prêt à venir jusqu'à Bucarest pour discuter autour d'un café.
Par la suite, réalisant que les chances d'obtenir quelque chose tendaient vers zéro, la marionnette des services américains a jeté un article "édifiant" dans le journal The Independent, me qualifiant d'agent du KGB (ou au moins de collaborateur, puisque Sputnik a repris mon enquête !).
Revenons à l'héroïne anti-corruption Kovesi. Peut-être que quelqu'un a cru, emporté par le courant, que Mme Kovesi avait été nommée chef du Parquet européen pour arrêter les politiciens corrompus de Bruxelles, à la manière bien connue de la Roumanie. Erreur ! En fait, notre compatriote se bat contre les voleurs de voitures bulgares, et plus récemment contre un groupe de mafieux du même pays, qui auraient détourné des fonds européens pour la construction de chemins de fer. Plus de 100 policiers et agents de renseignement du pays voisin ont participé aux perquisitions jeudi, sur ordre de l'héroïne Kovesi.
Si vous aviez encore des doutes, il n'y a pas de corruption à Bruxelles. Ni dans l'affaire des vaccins, ni dans les méga-affaires d'armement ou de gaz naturel liquéfié (pour ne citer que trois exemples). Il n'y a pas de corruption à Paris, Berlin ou Madrid. Seuls les petits pays insignifiants, principalement d'Europe de l'Est, gaspillent l'argent public au lieu de le diriger vers Kiev. C'est pourquoi nous n'avons pas suffisamment de fonds pour le régime de Zelensky - parce que des politiciens irresponsables de Bulgarie, de Roumanie et de Hongrie détournent les fonds européens si laborieusement collectés par les „politocards” de Bruxelles.
En parlant de la Hongrie, en 2022, les fonctionnaires de l'entourage d'Ursula von der Leyen ont menacé Viktor Orban de perdre ses fonds européens si son pays ne rejoignait pas le Parquet européen. En d'autres termes, si Orban n'autorise pas Kovesi à ternir son image par des enquêtes menées à Budapest (comme autrefois à Bucarest) et dictées par les hommes de Soros.
L'image de l'Union européenne n'a jamais été aussi mauvaise. Et cela est dû à de véritables "professionnels" tels qu'Ursula, Borrell, Timmermans ou Kovesi.
Source : Adrian Onciu, le journaliste roumain qui a fait connaître ce scandale financier, médical et familial … https://opozitia.net/2023/08/12/eroina-anticoruptie-si-anchetele-lui-peste-prajit/
Je me permets de rajouter quelques précisions concernant le travail de mon ami Adrian Onciu avec ces liens :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ursula-von-der-liar-et-ses-237592
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/procureur-europeen-un-emploi-240214
Sur la photo en-tête on voit la procureur de l’UE avec le drapeau ukrainien, pays qui ne relève pas de sa juridiction mais où elle se rend à nos frais ...
Note de Pedrito
Que ne ferait pas Macron, le gamin capricieux et caractériel, locataire de l'Élysée par la grâce de tous nos politiciens de droite - çà se comprend un peu, même si on ne les excusera jamais de nous avoir imposé ce trublion maléfique, aussi prétentieux que psychopathe, - mais aussi les politiciens de cette "gôche" moribonde, plus caviar que prolétarienne, pour plaire au sénile Biden et engraisser un peu plus et toujours avec notre fric le régime corrompu américano ukrainien?
Parce que tous sont corrompus: l'Ukrainien et le Yankee, père et fils!
Mais chez nous, c'est pas mal non plus !!La mafia macronienne fait aussi chaque jour la preuve de sa dangerosité. Le petit roi décide de tout et tout seul. Avec le fric des Français et majoritairement contre leur gré.
Qu'est devenue notre République ? Qu'est devenu le Parlement?
Qui va rétablir un pouvoir propre et populaire? Et comment? Vu l'état du Parti Communiste, très affaibli par ses choix suicidaires de lutte des places, à la remorque d'un parti socialiste champion de la la collaboration des classes, pas plus socialiste que le roi Sézet, un PC seul garant des profonds changements nécessaires pour sortir des crises qui ébranlent dangereusement la société civile et effacent les repaires sociaux qui la maintenaient vivable il y a peu encore....
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