Il faut négocier, dit Laurent Berger de la Cfdt
Avant de faire grève, sinon c'est la fin des haricots pour moudre un peu de grain avec le partenaire social qu'est le patronat, semble dire le patron de la Cfdt et de la Ces aux grévistes des raffineries.
Pour les pensions de retraite minimum, le président Emmanuel Macron promet une retraite minimum à 1 100 € pour une carrière complète.
Ah, vous voyez qu'il faut négocier, disent les affolés du stylo pour avaliser n'importe quoi venu du Capital. Sauf que le palais de l'Elysée conditionne celle-ci au recul de l’âge légal de départ en retraite et que le montant de cette pension minimum s’élève tout juste au niveau du seuil de pauvreté. Ah bon?
La CGT revendique qu'aucune retraite ne doit être inférieure à 2 000 euros pour une carrière complète, avec indexation de la pension sur le salaire moyen et possibilité de partir à 60 ans. La Cfdt songe "à discuter, mais on sera ferme". Et sans aucune action d'envergure préventive. Ah bon?
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