25 juin 2020 Blog Pcf Littoral
Trois victimes du
médiator qui ont refusé la prime au silence et surmonté des années de
procédure entrent dans l'histoire. Ce qu'elles toucheront ou pas ne
nous concerne pas. Par contre leur long combat aura permis d'avancer.
* la procureure représentant la France, Aude Le Guilcher a posé les vrais questions : Comment un produit à l'efficacité aussi modeste et de surcroît dangereux a-t-il pu rester si longtemps commercialisé ?
* L'agence du Médicament ne passe pas à travers les gouttes.Censée être l'expert et le gendarme du médicament, elle s'est révélée incapable de prendre les mesures qui s'imposaient et de percer le brouillard entretenu par Servier.* La mort de Servier en 2014 a interdit l'opération bouc émissaire qui aurait fait de lui une exception : le groupe Servier persiste et signe dans ce mariage du médicament et du profit qui se moque des malades.* les faits sont accablants. Dans un état de droit, un coupe faim contesté peut devenir sans problème un médicament contre le diabète remboursé par la sécu en 1969 et le procès de cette escroquerie n' a lieu qu'en 2020. La montagne accouchera sans doute d'une souris au niveau du verdict en ce qui concerne l'entreprise, mais un grand pas vient d'être franchi afin que ce que réclame le docteur Prud'homme dans l'Huma se réalise : une agence du médicament qui cherche à savoir si un médicament est utile et sans danger et ne soit plus un instrument de big pharma.
* la procureure représentant la France, Aude Le Guilcher a posé les vrais questions : Comment un produit à l'efficacité aussi modeste et de surcroît dangereux a-t-il pu rester si longtemps commercialisé ?
* L'agence du Médicament ne passe pas à travers les gouttes.Censée être l'expert et le gendarme du médicament, elle s'est révélée incapable de prendre les mesures qui s'imposaient et de percer le brouillard entretenu par Servier.* La mort de Servier en 2014 a interdit l'opération bouc émissaire qui aurait fait de lui une exception : le groupe Servier persiste et signe dans ce mariage du médicament et du profit qui se moque des malades.* les faits sont accablants. Dans un état de droit, un coupe faim contesté peut devenir sans problème un médicament contre le diabète remboursé par la sécu en 1969 et le procès de cette escroquerie n' a lieu qu'en 2020. La montagne accouchera sans doute d'une souris au niveau du verdict en ce qui concerne l'entreprise, mais un grand pas vient d'être franchi afin que ce que réclame le docteur Prud'homme dans l'Huma se réalise : une agence du médicament qui cherche à savoir si un médicament est utile et sans danger et ne soit plus un instrument de big pharma.
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