dimanche 21 juillet 2024

 Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Heureuse capture d'écran

Heureuse capture d'écran

- Alors content, monsieur le président?

- Plus que cela, je suis devenu député du NFP en Corrèze, député du Parti socialiste dont je ne goutais guère son alliance avec Lfi de Mélenchon. Et puis, abracadabra, désigné candidat socialiste par le parti dont je n'aimais guère Olivier Faure, son patron qui s'était abouché avec la Nupes de Mélenchon.

- On parle de vous comme futur président de l'Assemblée nationale...

- A juste titre, ne fus-je pas locataire de l'Elysée durant 5 années en rassemblant autour de moi des personnalités politiques d'exception comme Emmanuel Macron aux Finances, madame Myriam El Khomry au Travail et l'inégalable Manuel Valls avant qu'il ne parte en vacances à droite en Catalogne espagnole. Oui, c'est certain, je peux fédérer autour de moi.

- Les lois Macron qui ont rabougri le rôle des conseil de prud'hommes, la loi El khomry qui a sabordé le Code du travail et les 49-3 à répétition de votre premier chambellan Manuel Valls sous votre présidence, c'est donc du passé?

- Ben oui et du passé faisons table rase. Je suis député du NFP libre et non faussé au nom du parti socialiste dirigé par mon meilleur camarade Olivier Faure.

- Et comme premier chambellan dont on attend avec grande impatience que de la fumée blanche s'échappe du conclave unitaire des pontifes du NFP?

- Naturellement, je pourrai être candidat sans difficulté. Ne suis-je pas député socialiste de Corrèze par le NFP. Mais j'en ai fait assez lorsque je fus président de la République. Non? Président de l'Assemblée nationale, puis après président du Conseil constitutionnel, pour arrondir mes fins de moi, me va comme un gant. Non, premier ministre: c'est Olivier Faure ou rien! Il rassemble si bien autour de lui. La preuve, avec ma propre et éminente personne qui ne l'aimait guère il y a peu. Non?

- Merci monsieur Hollande. Quant à moi, vous mes amis et camarades qui me lisez, comme doucement, doucement, doucement s'en va le jour (air connu), je m'en vais m'absenter. Avec un masque à gaz à mes côtés, question couleur de la fumée qui s'échapperait d'un certain conclave qui veut tant de bien aux forces de progrès, de la paix et de la justice sociale en France. Adiu! Adieu en occitan, en cet an de grâce à Macron de juillet 2024.

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